Les lesbiennes, une bande de femmes. Réalité ou mythe ?
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- Nombre de pages158
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-24331-6
- EAN9782296243316
- Date de parution01/12/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La lesbienne. cette inconnue, rompt avec la conception du monde d'un féminin magnifié. La psychanalyse a, depuis Freud, tenté d'expliquer la dualité féminin-masculin autour du complexe de castration. Ce concept s'est malheureusement banalisé et psychologisé. D'abord. nous soulignons ici la particularité des séductions lesbiennes, puis nous analysons le phénomène très minoritaire d'appartenance à une bande de femmes au nom du rituel initiatique et de la soumission à un totem fondateur.
Nous préférons en psychanalyse utiliser le concept d'identification en nous demandant si l'homosexualité féminine est une dérive de celui-ci. Ensuite. nous transposons le mythe de la secte anandryne de Lesbos à Nouméa. en Nouvelle-Calédonie dans le Pacifique. sur une île aux antipodes. de nos jours, en incluant la mise en scène d'une fiction clinique : L'Amante du Phare Amédée dans notre texte. Il y a dans cette exhibition initiatique.
L&S, une véritable configuration métaphysique qui exalte la pétrification des corps. Fallait-il retrancher du mythe grec de Lesbos et de Sappho de simples Lili et Sidonie ? Pas de mal, pas de péché ! Une femme est-elle obligée de passer par l'homme ?
Nous préférons en psychanalyse utiliser le concept d'identification en nous demandant si l'homosexualité féminine est une dérive de celui-ci. Ensuite. nous transposons le mythe de la secte anandryne de Lesbos à Nouméa. en Nouvelle-Calédonie dans le Pacifique. sur une île aux antipodes. de nos jours, en incluant la mise en scène d'une fiction clinique : L'Amante du Phare Amédée dans notre texte. Il y a dans cette exhibition initiatique.
L&S, une véritable configuration métaphysique qui exalte la pétrification des corps. Fallait-il retrancher du mythe grec de Lesbos et de Sappho de simples Lili et Sidonie ? Pas de mal, pas de péché ! Une femme est-elle obligée de passer par l'homme ?
La lesbienne. cette inconnue, rompt avec la conception du monde d'un féminin magnifié. La psychanalyse a, depuis Freud, tenté d'expliquer la dualité féminin-masculin autour du complexe de castration. Ce concept s'est malheureusement banalisé et psychologisé. D'abord. nous soulignons ici la particularité des séductions lesbiennes, puis nous analysons le phénomène très minoritaire d'appartenance à une bande de femmes au nom du rituel initiatique et de la soumission à un totem fondateur.
Nous préférons en psychanalyse utiliser le concept d'identification en nous demandant si l'homosexualité féminine est une dérive de celui-ci. Ensuite. nous transposons le mythe de la secte anandryne de Lesbos à Nouméa. en Nouvelle-Calédonie dans le Pacifique. sur une île aux antipodes. de nos jours, en incluant la mise en scène d'une fiction clinique : L'Amante du Phare Amédée dans notre texte. Il y a dans cette exhibition initiatique.
L&S, une véritable configuration métaphysique qui exalte la pétrification des corps. Fallait-il retrancher du mythe grec de Lesbos et de Sappho de simples Lili et Sidonie ? Pas de mal, pas de péché ! Une femme est-elle obligée de passer par l'homme ?
Nous préférons en psychanalyse utiliser le concept d'identification en nous demandant si l'homosexualité féminine est une dérive de celui-ci. Ensuite. nous transposons le mythe de la secte anandryne de Lesbos à Nouméa. en Nouvelle-Calédonie dans le Pacifique. sur une île aux antipodes. de nos jours, en incluant la mise en scène d'une fiction clinique : L'Amante du Phare Amédée dans notre texte. Il y a dans cette exhibition initiatique.
L&S, une véritable configuration métaphysique qui exalte la pétrification des corps. Fallait-il retrancher du mythe grec de Lesbos et de Sappho de simples Lili et Sidonie ? Pas de mal, pas de péché ! Une femme est-elle obligée de passer par l'homme ?
A propos de Alain Lefèvre
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