Les imaginaires du corps. Tome 1, Littérature
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- Nombre de pages296
- FormatPDF
- ISBN2-296-42078-8
- EAN9782296420786
- Date de parution01/11/2000
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce que l'homme possède de plus profond c'est sa peau déclarait en forme de boutade Paul Valery. C'est cette " profondeur " paradoxale dont Les Imaginaires du corps, réflexion collective menée sous la direction de Claude Fintz, tentent de décliner les différents aspects en analysant comment le corps peut être saisi c'est-à-dire en dernier ressort " imagé " ou mieux encore imaginé, en une multiplicité souvent contradictoire.
En effet quel rapport peut-il exister entre ces différents corps : corps mis en mots des poètes, corps sommés de devenir eux-mêmes œuvre d'art des danseurs et des athlètes, corps souffrants et médicalisés que prennent en charge les travailleurs sociaux ? Le corps dans son ambiguïté se présente comme un paradoxe irritant pour la pensée toujours en surplus de sens, ailleurs, autrement alors même qu'il est intimement vécu comme un.
Là se situe pour chacun de nous le sens ultime, le point par où le questionnement sur l'humain s'enracine, questionnement que les bouleversements apportés par la technique et les nouvelles biologies rendent encore plus pressant.
En effet quel rapport peut-il exister entre ces différents corps : corps mis en mots des poètes, corps sommés de devenir eux-mêmes œuvre d'art des danseurs et des athlètes, corps souffrants et médicalisés que prennent en charge les travailleurs sociaux ? Le corps dans son ambiguïté se présente comme un paradoxe irritant pour la pensée toujours en surplus de sens, ailleurs, autrement alors même qu'il est intimement vécu comme un.
Là se situe pour chacun de nous le sens ultime, le point par où le questionnement sur l'humain s'enracine, questionnement que les bouleversements apportés par la technique et les nouvelles biologies rendent encore plus pressant.
Ce que l'homme possède de plus profond c'est sa peau déclarait en forme de boutade Paul Valery. C'est cette " profondeur " paradoxale dont Les Imaginaires du corps, réflexion collective menée sous la direction de Claude Fintz, tentent de décliner les différents aspects en analysant comment le corps peut être saisi c'est-à-dire en dernier ressort " imagé " ou mieux encore imaginé, en une multiplicité souvent contradictoire.
En effet quel rapport peut-il exister entre ces différents corps : corps mis en mots des poètes, corps sommés de devenir eux-mêmes œuvre d'art des danseurs et des athlètes, corps souffrants et médicalisés que prennent en charge les travailleurs sociaux ? Le corps dans son ambiguïté se présente comme un paradoxe irritant pour la pensée toujours en surplus de sens, ailleurs, autrement alors même qu'il est intimement vécu comme un.
Là se situe pour chacun de nous le sens ultime, le point par où le questionnement sur l'humain s'enracine, questionnement que les bouleversements apportés par la technique et les nouvelles biologies rendent encore plus pressant.
En effet quel rapport peut-il exister entre ces différents corps : corps mis en mots des poètes, corps sommés de devenir eux-mêmes œuvre d'art des danseurs et des athlètes, corps souffrants et médicalisés que prennent en charge les travailleurs sociaux ? Le corps dans son ambiguïté se présente comme un paradoxe irritant pour la pensée toujours en surplus de sens, ailleurs, autrement alors même qu'il est intimement vécu comme un.
Là se situe pour chacun de nous le sens ultime, le point par où le questionnement sur l'humain s'enracine, questionnement que les bouleversements apportés par la technique et les nouvelles biologies rendent encore plus pressant.