Les grévistes de la guerre
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- Nombre de pages248
- FormatePub
- ISBN2-7062-1070-2
- EAN9782706210709
- Date de parution01/01/1971
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille778 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard (réédition numérique Feni...
Résumé
Suite à son cri d'alarme, La Bombe ou la Vie, Jean Toulat publie aujourd'hui Les Grévistes de la guerre. L'auteur, à juste titre fait remarquer que nous vivons sur une poudrière, l'arsenal atomique équivalant à quinze tonnes d'explosifs par habitant du globe. Des armes sont vendues « tous azimuts ». Plus de trois cents conflits armés ont éclaté depuis 1945. A cette course à la guerre, des hommes et des femmes disent : NON.
Objecteurs de conscience, des jeunes demandent un service civil. D'autres renvoient leur livret militaire, affectent à des ouvres de la vie la part « militaire » de leurs impôts, refusent, dans les laboratoires ou les usines, de préparer des engins de mort. Des officiers rejettent la doctrine nucléaire de représailles massives. Et partout dans le monde, de Joan Baez et des frères Berrighan aux bouddhistes du Vietnam, se lèvent des militants qui résistent au dieu Mars.
Ces « grévistes de la guerre » se veulent en même temps bâtisseurs de la paix. Ils se mettent au service du tiers monde, fondent des équipes d'action non violente, cherchent à faire prévaloir, sur la stratégie de la terreur, le dynamisme de l'amour, cette arme absolue. Jean Toulat dédie son enquête à José Beunza, objecteur de conscience espagnol, qui a reçu en prison le Prix Jean XXIII.
Objecteurs de conscience, des jeunes demandent un service civil. D'autres renvoient leur livret militaire, affectent à des ouvres de la vie la part « militaire » de leurs impôts, refusent, dans les laboratoires ou les usines, de préparer des engins de mort. Des officiers rejettent la doctrine nucléaire de représailles massives. Et partout dans le monde, de Joan Baez et des frères Berrighan aux bouddhistes du Vietnam, se lèvent des militants qui résistent au dieu Mars.
Ces « grévistes de la guerre » se veulent en même temps bâtisseurs de la paix. Ils se mettent au service du tiers monde, fondent des équipes d'action non violente, cherchent à faire prévaloir, sur la stratégie de la terreur, le dynamisme de l'amour, cette arme absolue. Jean Toulat dédie son enquête à José Beunza, objecteur de conscience espagnol, qui a reçu en prison le Prix Jean XXIII.
Suite à son cri d'alarme, La Bombe ou la Vie, Jean Toulat publie aujourd'hui Les Grévistes de la guerre. L'auteur, à juste titre fait remarquer que nous vivons sur une poudrière, l'arsenal atomique équivalant à quinze tonnes d'explosifs par habitant du globe. Des armes sont vendues « tous azimuts ». Plus de trois cents conflits armés ont éclaté depuis 1945. A cette course à la guerre, des hommes et des femmes disent : NON.
Objecteurs de conscience, des jeunes demandent un service civil. D'autres renvoient leur livret militaire, affectent à des ouvres de la vie la part « militaire » de leurs impôts, refusent, dans les laboratoires ou les usines, de préparer des engins de mort. Des officiers rejettent la doctrine nucléaire de représailles massives. Et partout dans le monde, de Joan Baez et des frères Berrighan aux bouddhistes du Vietnam, se lèvent des militants qui résistent au dieu Mars.
Ces « grévistes de la guerre » se veulent en même temps bâtisseurs de la paix. Ils se mettent au service du tiers monde, fondent des équipes d'action non violente, cherchent à faire prévaloir, sur la stratégie de la terreur, le dynamisme de l'amour, cette arme absolue. Jean Toulat dédie son enquête à José Beunza, objecteur de conscience espagnol, qui a reçu en prison le Prix Jean XXIII.
Objecteurs de conscience, des jeunes demandent un service civil. D'autres renvoient leur livret militaire, affectent à des ouvres de la vie la part « militaire » de leurs impôts, refusent, dans les laboratoires ou les usines, de préparer des engins de mort. Des officiers rejettent la doctrine nucléaire de représailles massives. Et partout dans le monde, de Joan Baez et des frères Berrighan aux bouddhistes du Vietnam, se lèvent des militants qui résistent au dieu Mars.
Ces « grévistes de la guerre » se veulent en même temps bâtisseurs de la paix. Ils se mettent au service du tiers monde, fondent des équipes d'action non violente, cherchent à faire prévaloir, sur la stratégie de la terreur, le dynamisme de l'amour, cette arme absolue. Jean Toulat dédie son enquête à José Beunza, objecteur de conscience espagnol, qui a reçu en prison le Prix Jean XXIII.