Les grandes entreprises et la base de la pyramide. Cinq histoires françaises
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- Nombre de pages162
- FormatPDF
- ISBN978-2-35671-302-5
- EAN9782356713025
- Date de parution21/09/2015
- Protection num.pas de protection
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurPresses des Mines - Transvalor
Résumé
Faire du business avec les pauvres pour améliorer leur condition : l'idée lancée dans les années 2000 par Coimbatore Prahalad (BOP) puis Muhammad Yunus (social business) a fait son chemin. Dans de nombreux secteurs, des petits acteurs et des grandes entreprises multinationales tentent d'inventer de nouveaux modèles économiques adaptés aux populations à bas revenus (la Base de la Pyramide), afin de construire avec elles une relation gagnant-gagnant.
Spontanément, leurs pratiques inspirent bien souvent un optimisme excessif, ou au contraire des suspicions infondées ou simplistes. Les auteurs ont enquêté, pendant une année, auprès de dirigeants et de cadres de cinq grandes entreprises françaises pionnières de ce mouvement : Danone (nutrition infantile, Bangladesh), Veolia Environnement (eau potable, Bangladesh), Lafarge (habitat, Indonésie), Schneider Electric (énergie, Inde et Afrique) et Essilor (santé visuelle, Inde).
Alors que les réflexions théoriques abondent sur le sujet, ils ont choisi de se placer du point de vue des entreprises pour relater la naissance de ces concepts. Que représentent le social business et le BOP pour leurs principaux acteurs ? Comment les projets sont-ils vécus à l'intérieur des sociétés ? Et que peut-on espérer de l'arrivée des multinationales dans le monde du développement ?
Spontanément, leurs pratiques inspirent bien souvent un optimisme excessif, ou au contraire des suspicions infondées ou simplistes. Les auteurs ont enquêté, pendant une année, auprès de dirigeants et de cadres de cinq grandes entreprises françaises pionnières de ce mouvement : Danone (nutrition infantile, Bangladesh), Veolia Environnement (eau potable, Bangladesh), Lafarge (habitat, Indonésie), Schneider Electric (énergie, Inde et Afrique) et Essilor (santé visuelle, Inde).
Alors que les réflexions théoriques abondent sur le sujet, ils ont choisi de se placer du point de vue des entreprises pour relater la naissance de ces concepts. Que représentent le social business et le BOP pour leurs principaux acteurs ? Comment les projets sont-ils vécus à l'intérieur des sociétés ? Et que peut-on espérer de l'arrivée des multinationales dans le monde du développement ?
Faire du business avec les pauvres pour améliorer leur condition : l'idée lancée dans les années 2000 par Coimbatore Prahalad (BOP) puis Muhammad Yunus (social business) a fait son chemin. Dans de nombreux secteurs, des petits acteurs et des grandes entreprises multinationales tentent d'inventer de nouveaux modèles économiques adaptés aux populations à bas revenus (la Base de la Pyramide), afin de construire avec elles une relation gagnant-gagnant.
Spontanément, leurs pratiques inspirent bien souvent un optimisme excessif, ou au contraire des suspicions infondées ou simplistes. Les auteurs ont enquêté, pendant une année, auprès de dirigeants et de cadres de cinq grandes entreprises françaises pionnières de ce mouvement : Danone (nutrition infantile, Bangladesh), Veolia Environnement (eau potable, Bangladesh), Lafarge (habitat, Indonésie), Schneider Electric (énergie, Inde et Afrique) et Essilor (santé visuelle, Inde).
Alors que les réflexions théoriques abondent sur le sujet, ils ont choisi de se placer du point de vue des entreprises pour relater la naissance de ces concepts. Que représentent le social business et le BOP pour leurs principaux acteurs ? Comment les projets sont-ils vécus à l'intérieur des sociétés ? Et que peut-on espérer de l'arrivée des multinationales dans le monde du développement ?
Spontanément, leurs pratiques inspirent bien souvent un optimisme excessif, ou au contraire des suspicions infondées ou simplistes. Les auteurs ont enquêté, pendant une année, auprès de dirigeants et de cadres de cinq grandes entreprises françaises pionnières de ce mouvement : Danone (nutrition infantile, Bangladesh), Veolia Environnement (eau potable, Bangladesh), Lafarge (habitat, Indonésie), Schneider Electric (énergie, Inde et Afrique) et Essilor (santé visuelle, Inde).
Alors que les réflexions théoriques abondent sur le sujet, ils ont choisi de se placer du point de vue des entreprises pour relater la naissance de ces concepts. Que représentent le social business et le BOP pour leurs principaux acteurs ? Comment les projets sont-ils vécus à l'intérieur des sociétés ? Et que peut-on espérer de l'arrivée des multinationales dans le monde du développement ?