Les évêques et les évènements politiques en Côte d'Ivoire (1980-1989). Tome 1
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- Nombre de pages140
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-23418-5
- EAN9782296234185
- Date de parution01/05/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les années 1980, qui sont étudiées dans cet ouvrage, nous font voir premièrement l'entrée en scène de la conférence épiscopale aussitôt après la première visite de Jean-Paul II, visite au cours de laquelle les évêques avaient été invités à la fois à la loyauté et à la liberté vis-à-vis du pouvoir politique. Ce qui frappe en second lieu, pendant ces années, ce sont les difficultés économiques du pays - difficultés dont les causes sont la chute des prix des matières premières, le gaspillage et le détournement des fonds publics, les réalisations pharaoniques, etc.
- malgré une timide ouverture sur le plan politique. Pour la première fois, en effet, députés et conseillers municipaux ne sont plus nommés par le président de la République mais obligés de solliciter directement les suffrages des électeurs. C'est aussi, au cours de cette période, que la capitale politique est transférée d'Abidjan à Yamoussoukro, le village natal d'Houphouet-Boigny. Lorsqu'ils se prononcent sur ces évènements, les prélats ivoiriens donnent l'impression d'être timorés et trop prudents comme s'ils redoutaient de déplaire au pouvoir politique.
Or, affirme J.-B. Metz, " notre temps a besoin d'hommes attentifs à ce qui se passe marginalement et capables d'un discernement des esprits d'où la peur est exclue, qui se donnent de manière si conséquente à la suite de Jésus qu'ils se sentent contraints de rejoindre la foule de ceux qui souffrent dans l'histoire et la société humaines "
- malgré une timide ouverture sur le plan politique. Pour la première fois, en effet, députés et conseillers municipaux ne sont plus nommés par le président de la République mais obligés de solliciter directement les suffrages des électeurs. C'est aussi, au cours de cette période, que la capitale politique est transférée d'Abidjan à Yamoussoukro, le village natal d'Houphouet-Boigny. Lorsqu'ils se prononcent sur ces évènements, les prélats ivoiriens donnent l'impression d'être timorés et trop prudents comme s'ils redoutaient de déplaire au pouvoir politique.
Or, affirme J.-B. Metz, " notre temps a besoin d'hommes attentifs à ce qui se passe marginalement et capables d'un discernement des esprits d'où la peur est exclue, qui se donnent de manière si conséquente à la suite de Jésus qu'ils se sentent contraints de rejoindre la foule de ceux qui souffrent dans l'histoire et la société humaines "
Les années 1980, qui sont étudiées dans cet ouvrage, nous font voir premièrement l'entrée en scène de la conférence épiscopale aussitôt après la première visite de Jean-Paul II, visite au cours de laquelle les évêques avaient été invités à la fois à la loyauté et à la liberté vis-à-vis du pouvoir politique. Ce qui frappe en second lieu, pendant ces années, ce sont les difficultés économiques du pays - difficultés dont les causes sont la chute des prix des matières premières, le gaspillage et le détournement des fonds publics, les réalisations pharaoniques, etc.
- malgré une timide ouverture sur le plan politique. Pour la première fois, en effet, députés et conseillers municipaux ne sont plus nommés par le président de la République mais obligés de solliciter directement les suffrages des électeurs. C'est aussi, au cours de cette période, que la capitale politique est transférée d'Abidjan à Yamoussoukro, le village natal d'Houphouet-Boigny. Lorsqu'ils se prononcent sur ces évènements, les prélats ivoiriens donnent l'impression d'être timorés et trop prudents comme s'ils redoutaient de déplaire au pouvoir politique.
Or, affirme J.-B. Metz, " notre temps a besoin d'hommes attentifs à ce qui se passe marginalement et capables d'un discernement des esprits d'où la peur est exclue, qui se donnent de manière si conséquente à la suite de Jésus qu'ils se sentent contraints de rejoindre la foule de ceux qui souffrent dans l'histoire et la société humaines "
- malgré une timide ouverture sur le plan politique. Pour la première fois, en effet, députés et conseillers municipaux ne sont plus nommés par le président de la République mais obligés de solliciter directement les suffrages des électeurs. C'est aussi, au cours de cette période, que la capitale politique est transférée d'Abidjan à Yamoussoukro, le village natal d'Houphouet-Boigny. Lorsqu'ils se prononcent sur ces évènements, les prélats ivoiriens donnent l'impression d'être timorés et trop prudents comme s'ils redoutaient de déplaire au pouvoir politique.
Or, affirme J.-B. Metz, " notre temps a besoin d'hommes attentifs à ce qui se passe marginalement et capables d'un discernement des esprits d'où la peur est exclue, qui se donnent de manière si conséquente à la suite de Jésus qu'ils se sentent contraints de rejoindre la foule de ceux qui souffrent dans l'histoire et la société humaines "