Les éternelles

Par : Yves Simon
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  • Nombre de pages280
  • FormatePub
  • ISBN2-246-64699-5
  • EAN9782246646990
  • Date de parution10/03/2004
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille620 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

« Il y a des femmes que l'on rencontre pour une seule nuit, certaines pour quelques mois ou quelques années, d'autres que l'on côtoie une vie entière : elles ont toutes ce point commun : n'être pas oubliées. Elles reposent dans nos mémoires comme de précieux bijoux que l'on aurait portés, et qui ne se seraient jamais altérés. Ce sont elles les Eternelles. » Cinq femmes, quatre amantes et la mère du narrateur, sont les héroïnes de ce roman.
Par ordre d'entrée en scène : Irène ; la mère ; Marie ; Céleste ; et la très jeune Lola, passion d'une nuit dans un hôtel de Bruxelles. Irène, hôtesse de l'air dévoreuse, assoiffée de chair et d'odeurs, est une « fille espagnole aux cheveux jais », un corps céleste qui se donne entre deux escales. Quand elle quitte le narrateur, après vingt-huit mois de folle passion, elle le laisse anéanti. Seule l'écriture le sauvera. L'écriture ? Mais aussi les appels téléphoniques, chaque soir, à sa mère, la « femme des plus longs chemins ».
Notre écrivain se confesse à elle, pleure, conte son amour malheureux, lui dit « je t'aime » comme à une compagne. La mère au corps généreux, seule, fatiguée, serre contre elle ce fils comme elle serrait le petit garçon, dans l'Est de son enfance, quand son mari cheminot partait dans l'aube vers les sémaphores... Céleste sauve le narrateur ; par son corps, par ses sourires. Photographe, elle le rédime, lui rend son visage et ses mots.
C'est une « fille du réel », sans tourment, sans jalousie, sans mensonges. Le fils d'Yvonne Simon revoit ses proches : Walser, l'éternel ami, le confident ; Frédéric, patron de l'agence de communication KFBI, et son amie Marie. Marie est la troisième amante, celle par qui tout bascule : malheureuse avec Frédéric, elle se laisse emporter par l'écrivain dans un amour fou, peut-être destructeur. « J'entrai dans votre vie comme dans un tabernacle.
Je n'osais m'y déplacer. J'effleurais votre peau, les fins tendons de vos mains, la jointure de votre pouce. » Mais le narrateur est-il l'homme de sa vie ? Et qui donc est cette créature magnifique et froide ?
« Il y a des femmes que l'on rencontre pour une seule nuit, certaines pour quelques mois ou quelques années, d'autres que l'on côtoie une vie entière : elles ont toutes ce point commun : n'être pas oubliées. Elles reposent dans nos mémoires comme de précieux bijoux que l'on aurait portés, et qui ne se seraient jamais altérés. Ce sont elles les Eternelles. » Cinq femmes, quatre amantes et la mère du narrateur, sont les héroïnes de ce roman.
Par ordre d'entrée en scène : Irène ; la mère ; Marie ; Céleste ; et la très jeune Lola, passion d'une nuit dans un hôtel de Bruxelles. Irène, hôtesse de l'air dévoreuse, assoiffée de chair et d'odeurs, est une « fille espagnole aux cheveux jais », un corps céleste qui se donne entre deux escales. Quand elle quitte le narrateur, après vingt-huit mois de folle passion, elle le laisse anéanti. Seule l'écriture le sauvera. L'écriture ? Mais aussi les appels téléphoniques, chaque soir, à sa mère, la « femme des plus longs chemins ».
Notre écrivain se confesse à elle, pleure, conte son amour malheureux, lui dit « je t'aime » comme à une compagne. La mère au corps généreux, seule, fatiguée, serre contre elle ce fils comme elle serrait le petit garçon, dans l'Est de son enfance, quand son mari cheminot partait dans l'aube vers les sémaphores... Céleste sauve le narrateur ; par son corps, par ses sourires. Photographe, elle le rédime, lui rend son visage et ses mots.
C'est une « fille du réel », sans tourment, sans jalousie, sans mensonges. Le fils d'Yvonne Simon revoit ses proches : Walser, l'éternel ami, le confident ; Frédéric, patron de l'agence de communication KFBI, et son amie Marie. Marie est la troisième amante, celle par qui tout bascule : malheureuse avec Frédéric, elle se laisse emporter par l'écrivain dans un amour fou, peut-être destructeur. « J'entrai dans votre vie comme dans un tabernacle.
Je n'osais m'y déplacer. J'effleurais votre peau, les fins tendons de vos mains, la jointure de votre pouce. » Mais le narrateur est-il l'homme de sa vie ? Et qui donc est cette créature magnifique et froide ?