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  • Nombre de pages496
  • FormatePub
  • ISBN978-2-404-02447-9
  • EAN9782404024479
  • Date de parution22/08/2024
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurÉditions Gallmeister
  • TraducteurFrançois Happe

Résumé

Au mi-temps des années 1980, Ava, Afro-Américaine d'une quarantaine d'années, débarque à Philadelphie. Chassée par son mari, elle s'installe avec Toussaint, son fils de dix ans, dans un centre d'hébergement. L'endroit est sordide. Et elle est déterminée à tout faire pour s'en échapper. Ava rêve d'émancipation. Mais la vie n'offre que peu de choix aux gens comme elle. Originaire d'un petit village de l'Alabama, elle a rompu tout contact avec sa mère et ne peut plus compter sur personne.
Lorsque le père du garçon réapparaît dans sa vie, elle retombe immédiatement sous l'emprise de cet homme charismatique, autoritaire et engagé. Dans le même temps, un puissant atavisme pousse Toussaint vers ce Sud lointain, qu'il ne connait pas. Vers le village de Bonaparte, freetown afro-américaine, où plongent ses racines et où vit encore Dutchess, sa mythique grand-mère. Sans complaisance aucune, Les Égarés dresse le portrait poignant d'une mère prête à tout pour protéger son enfant de la froideur du monde, quitte à se brûler les ailes.
Au mi-temps des années 1980, Ava, Afro-Américaine d'une quarantaine d'années, débarque à Philadelphie. Chassée par son mari, elle s'installe avec Toussaint, son fils de dix ans, dans un centre d'hébergement. L'endroit est sordide. Et elle est déterminée à tout faire pour s'en échapper. Ava rêve d'émancipation. Mais la vie n'offre que peu de choix aux gens comme elle. Originaire d'un petit village de l'Alabama, elle a rompu tout contact avec sa mère et ne peut plus compter sur personne.
Lorsque le père du garçon réapparaît dans sa vie, elle retombe immédiatement sous l'emprise de cet homme charismatique, autoritaire et engagé. Dans le même temps, un puissant atavisme pousse Toussaint vers ce Sud lointain, qu'il ne connait pas. Vers le village de Bonaparte, freetown afro-américaine, où plongent ses racines et où vit encore Dutchess, sa mythique grand-mère. Sans complaisance aucune, Les Égarés dresse le portrait poignant d'une mère prête à tout pour protéger son enfant de la froideur du monde, quitte à se brûler les ailes.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Sasha M.Decitre Annemasse
4/5
Une lecture obligatoire
Une lecture qui tourne autour des thèmes du racisme, de la ségrégation, de la pauvreté et du trauma générationnel. Ce livre n’est pas une lecture facile, mais c’est une lecture obligatoire. Il fait naître l’espoir pour le renverser.
Une lecture qui tourne autour des thèmes du racisme, de la ségrégation, de la pauvreté et du trauma générationnel. Ce livre n’est pas une lecture facile, mais c’est une lecture obligatoire. Il fait naître l’espoir pour le renverser.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 2 notes dont 3 avis lecteurs
Très jolie découverte
Ava part avec son fils, Toussaint. En fait, elle ne part pas, c’est son mari qui la fout dehors parce que ? Parce que c’est un homme et qu’elle ne lui appartient pas à 100%. Alors on passe en mode survie, c’est pas des zombies qui la poursuivent, c’est les angoisses, les mêmes qu’ont vécues les mamans célibataires des années 80 dans un monde qui ne veut pas d’elles, ah oui j’oubliais, ils sont noirs en plus. Prends ton ticket, on embarque en 4ᵉ classe parmi les marginaux, les juste au-dessus qui voudraient t’aider à devenir médiocre et leur cruauté médiocre. Seule contre tous, parce que trop consciente, imagine, tu vis tout comme une agression. Tu regardes les gens, sans la petite touche d’optimisme qui atténue la laideur. Tu prends tes décisions, tu ne connais pas le compromis. Peut-être que tu es folle, peut-être que c’est toi qui ne comprends pas les gens et non l’inverse ? Mais l’espoir, ça appartient à tout le monde. « La moitié des gens qui étaient là pleuraient, ou s’efforçaient de ne pas pleurer. Pourtant, pas une des personnes présentes ne voulait en regarder une autre dans les yeux. » « Quand vous êtes la mère d’un enfant, vous ne pouvez pas admettre que vous n’arrivez pas à assumer la maternité. Vous ne pouvez pas dire : je suis entraînée vers le fond par un amour pesant, et lui et moi, nous sommes en train de nous noyer dans cet amour.” « Les nuits consacrées aux souvenirs finissaient toujours ainsi : le passé clignotait doucement entre elles, comme des lucioles dans le crépuscule. » Merci @gleeph et Gallmeister pour ce partenariat ???? Trad : François Happe
Ava part avec son fils, Toussaint. En fait, elle ne part pas, c’est son mari qui la fout dehors parce que ? Parce que c’est un homme et qu’elle ne lui appartient pas à 100%. Alors on passe en mode survie, c’est pas des zombies qui la poursuivent, c’est les angoisses, les mêmes qu’ont vécues les mamans célibataires des années 80 dans un monde qui ne veut pas d’elles, ah oui j’oubliais, ils sont noirs en plus. Prends ton ticket, on embarque en 4ᵉ classe parmi les marginaux, les juste au-dessus qui voudraient t’aider à devenir médiocre et leur cruauté médiocre. Seule contre tous, parce que trop consciente, imagine, tu vis tout comme une agression. Tu regardes les gens, sans la petite touche d’optimisme qui atténue la laideur. Tu prends tes décisions, tu ne connais pas le compromis. Peut-être que tu es folle, peut-être que c’est toi qui ne comprends pas les gens et non l’inverse ? Mais l’espoir, ça appartient à tout le monde. « La moitié des gens qui étaient là pleuraient, ou s’efforçaient de ne pas pleurer. Pourtant, pas une des personnes présentes ne voulait en regarder une autre dans les yeux. » « Quand vous êtes la mère d’un enfant, vous ne pouvez pas admettre que vous n’arrivez pas à assumer la maternité. Vous ne pouvez pas dire : je suis entraînée vers le fond par un amour pesant, et lui et moi, nous sommes en train de nous noyer dans cet amour.” « Les nuits consacrées aux souvenirs finissaient toujours ainsi : le passé clignotait doucement entre elles, comme des lucioles dans le crépuscule. » Merci @gleeph et Gallmeister pour ce partenariat ???? Trad : François Happe
Très jolie découverte
Ava part avec son fils, Toussaint. En fait, elle ne part pas, c’est son mari qui la fout dehors parce que ? Parce que c’est un homme et qu’elle ne lui appartient pas à 100%. Alors on passe en mode survie, c’est pas des zombies qui la poursuivent, c’est les angoisses, les mêmes qu’ont vécues les mamans célibataires des années 80 dans un monde qui ne veut pas d’elles, ah oui j’oubliais, ils sont noirs en plus. Prends ton ticket, on embarque en 4ᵉ classe parmi les marginaux, les juste au-dessus qui voudraient t’aider à devenir médiocre et leur cruauté médiocre. Seule contre tous, parce que trop consciente, imagine, tu vis tout comme une agression. Tu regardes les gens, sans la petite touche d’optimisme qui atténue la laideur. Tu prends tes décisions, tu ne connais pas le compromis. Peut-être que tu es folle, peut-être que c’est toi qui ne comprends pas les gens et non l’inverse ? Mais l’espoir, ça appartient à tout le monde. « La moitié des gens qui étaient là pleuraient, ou s’efforçaient de ne pas pleurer. Pourtant, pas une des personnes présentes ne voulait en regarder une autre dans les yeux. » « Quand vous êtes la mère d’un enfant, vous ne pouvez pas admettre que vous n’arrivez pas à assumer la maternité. Vous ne pouvez pas dire : je suis entraînée vers le fond par un amour pesant, et lui et moi, nous sommes en train de nous noyer dans cet amour.” « Les nuits consacrées aux souvenirs finissaient toujours ainsi : le passé clignotait doucement entre elles, comme des lucioles dans le crépuscule. » Merci @gleeph et Gallmeister pour ce partenariat ???? Trad : François Happe
Ava part avec son fils, Toussaint. En fait, elle ne part pas, c’est son mari qui la fout dehors parce que ? Parce que c’est un homme et qu’elle ne lui appartient pas à 100%. Alors on passe en mode survie, c’est pas des zombies qui la poursuivent, c’est les angoisses, les mêmes qu’ont vécues les mamans célibataires des années 80 dans un monde qui ne veut pas d’elles, ah oui j’oubliais, ils sont noirs en plus. Prends ton ticket, on embarque en 4ᵉ classe parmi les marginaux, les juste au-dessus qui voudraient t’aider à devenir médiocre et leur cruauté médiocre. Seule contre tous, parce que trop consciente, imagine, tu vis tout comme une agression. Tu regardes les gens, sans la petite touche d’optimisme qui atténue la laideur. Tu prends tes décisions, tu ne connais pas le compromis. Peut-être que tu es folle, peut-être que c’est toi qui ne comprends pas les gens et non l’inverse ? Mais l’espoir, ça appartient à tout le monde. « La moitié des gens qui étaient là pleuraient, ou s’efforçaient de ne pas pleurer. Pourtant, pas une des personnes présentes ne voulait en regarder une autre dans les yeux. » « Quand vous êtes la mère d’un enfant, vous ne pouvez pas admettre que vous n’arrivez pas à assumer la maternité. Vous ne pouvez pas dire : je suis entraînée vers le fond par un amour pesant, et lui et moi, nous sommes en train de nous noyer dans cet amour.” « Les nuits consacrées aux souvenirs finissaient toujours ainsi : le passé clignotait doucement entre elles, comme des lucioles dans le crépuscule. » Merci @gleeph et Gallmeister pour ce partenariat ???? Trad : François Happe
Belle découverte
J’ai aimé l’écriture de cette auteure avec quelques notes de poésie, malgré la gravité du sujet, la vie des afro américains aux États Unis. Dans ce roman nous suivons la vie de Ava et de son fils Toussaint à Philadelphie de 1985 à 1988 L’amour inconditionnel d’une mère qui ne cesse de vouloir protéger son fils mais aussi l’amour Aveugle pour un homme En parallèle la vie de Dutchess , la mère de Ava qui est restée en Alabama et se bat pour conserver ses biens Le dénouement sera t’il heureux ou pas ? Je vous conseille de le lire pour le savoir. En conclusion j’ai beaucoup aimé ce livre poignant avec des personnages Forts et attachants @gleephapp, @editionsgallmeister
J’ai aimé l’écriture de cette auteure avec quelques notes de poésie, malgré la gravité du sujet, la vie des afro américains aux États Unis. Dans ce roman nous suivons la vie de Ava et de son fils Toussaint à Philadelphie de 1985 à 1988 L’amour inconditionnel d’une mère qui ne cesse de vouloir protéger son fils mais aussi l’amour Aveugle pour un homme En parallèle la vie de Dutchess , la mère de Ava qui est restée en Alabama et se bat pour conserver ses biens Le dénouement sera t’il heureux ou pas ? Je vous conseille de le lire pour le savoir. En conclusion j’ai beaucoup aimé ce livre poignant avec des personnages Forts et attachants @gleephapp, @editionsgallmeister
Les égarés
4/5
5/5
Ayana Mathis
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Les Douze Tribus d'Hattie
4/5
3.8/5
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