Les dessous de la crise ivoirienne. D'Houphouët à Guéï
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- Nombre de pages268
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-22388-2
- EAN9782296223882
- Date de parution01/05/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Beaucoup d'encre a coulé à propos des principaux facteurs qui sont à la base de la crise ivoirienne. Selon la grande majorité des analystes, l'ivoirité est la boîte de Pandore dont l'ouverture a provoqué les sept plaies d'Israël sur la Côte d'Ivoire. L'auteur est en porte-à-faux contre cet argument fallacieux ne résistant à aucune analyse sérieuse confondant causes et effets. Il démontre que la quête du pouvoir et du prestige conjuguée à la crise économique a donné le cocktail explosif que nous avons aujourd'hui.
Il s'accorde avec les experts des questions de conflits et de paix que les crises interpersonnelles sont les plus difficiles à transformer. Il déplore que les questions ethniques soient exploitées, manipulées par ceux qui ont des intérêts politiques ou économiques personnels à défendre. Philippe Assalé soutient que la Côte d'Ivoire, comme le voyageur de Jéricho, est tombée aux mains des bandits pour ne pas dire des intérêts égocentriques et nombrilistes.
Le bon Samaritain, selon l'auteur, ce sont tous les Ivoiriens et les amis de la Côte d'Ivoire qui ne ménagent aucun effort pour combattre pour leur pays ; le bon combat : celui du développement, "de tout homme et de l'homme" pour emprunter les mots de Paul VI.
Il s'accorde avec les experts des questions de conflits et de paix que les crises interpersonnelles sont les plus difficiles à transformer. Il déplore que les questions ethniques soient exploitées, manipulées par ceux qui ont des intérêts politiques ou économiques personnels à défendre. Philippe Assalé soutient que la Côte d'Ivoire, comme le voyageur de Jéricho, est tombée aux mains des bandits pour ne pas dire des intérêts égocentriques et nombrilistes.
Le bon Samaritain, selon l'auteur, ce sont tous les Ivoiriens et les amis de la Côte d'Ivoire qui ne ménagent aucun effort pour combattre pour leur pays ; le bon combat : celui du développement, "de tout homme et de l'homme" pour emprunter les mots de Paul VI.
Beaucoup d'encre a coulé à propos des principaux facteurs qui sont à la base de la crise ivoirienne. Selon la grande majorité des analystes, l'ivoirité est la boîte de Pandore dont l'ouverture a provoqué les sept plaies d'Israël sur la Côte d'Ivoire. L'auteur est en porte-à-faux contre cet argument fallacieux ne résistant à aucune analyse sérieuse confondant causes et effets. Il démontre que la quête du pouvoir et du prestige conjuguée à la crise économique a donné le cocktail explosif que nous avons aujourd'hui.
Il s'accorde avec les experts des questions de conflits et de paix que les crises interpersonnelles sont les plus difficiles à transformer. Il déplore que les questions ethniques soient exploitées, manipulées par ceux qui ont des intérêts politiques ou économiques personnels à défendre. Philippe Assalé soutient que la Côte d'Ivoire, comme le voyageur de Jéricho, est tombée aux mains des bandits pour ne pas dire des intérêts égocentriques et nombrilistes.
Le bon Samaritain, selon l'auteur, ce sont tous les Ivoiriens et les amis de la Côte d'Ivoire qui ne ménagent aucun effort pour combattre pour leur pays ; le bon combat : celui du développement, "de tout homme et de l'homme" pour emprunter les mots de Paul VI.
Il s'accorde avec les experts des questions de conflits et de paix que les crises interpersonnelles sont les plus difficiles à transformer. Il déplore que les questions ethniques soient exploitées, manipulées par ceux qui ont des intérêts politiques ou économiques personnels à défendre. Philippe Assalé soutient que la Côte d'Ivoire, comme le voyageur de Jéricho, est tombée aux mains des bandits pour ne pas dire des intérêts égocentriques et nombrilistes.
Le bon Samaritain, selon l'auteur, ce sont tous les Ivoiriens et les amis de la Côte d'Ivoire qui ne ménagent aucun effort pour combattre pour leur pays ; le bon combat : celui du développement, "de tout homme et de l'homme" pour emprunter les mots de Paul VI.
