Les conciles ocuméniques - Tome 1. Le premier millénaire
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- FormatPDF
- ISBN978-2-7189-0733-8
- EAN9782718907338
- Date de parution21/08/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille8 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurMame-Desclée
Résumé
Cet ouvrage est le premier d'une publication qui en comprendra deux. Il présente les conciles ocuméniques du 1er millénaire, de Nicée I, en 325 à Constantinople IV, en 869-870 ; un second tome traitera du IIe millénaire. (Le concile Vatican II fera l'objet d'un ouvrage à part). Le titre d'ocuménique, « universel », se rencontre pour la première fois au concile de Chalcédoine (451), appliqué à ce dernier ainsi qu'au « grand et saint concile de Nicée ».
Par la suite, les conciles se définiront toujours comme « le grand et saint concile ocuménique ». Pendant le premier millénaire, les conciles ocuméniques se sont réunis en Orient, sur l'initiative des empereurs, Constantin le premier, et indépendamment de l'évêque de Rome. La participation des Pères orientaux y fut forte et la représentation de l'Occident faible. La présence des légats du pape garantissait le caractère ocuménique ou « universel » de ces conciles, réunis d'abord pour résoudre des difficultés ou problèmes doctrinaux et définir ou proclamer la Foi de l'Église.
En dernière analyse, l'autorité du concile dépendait de la ratification romaine.À une époque de la vie de l'Église où le mot « concile » et l'adjectif « conciliaire » occupent une place exceptionnelle, ce parcours historique et doctrinal sera des plus précieux.
Par la suite, les conciles se définiront toujours comme « le grand et saint concile ocuménique ». Pendant le premier millénaire, les conciles ocuméniques se sont réunis en Orient, sur l'initiative des empereurs, Constantin le premier, et indépendamment de l'évêque de Rome. La participation des Pères orientaux y fut forte et la représentation de l'Occident faible. La présence des légats du pape garantissait le caractère ocuménique ou « universel » de ces conciles, réunis d'abord pour résoudre des difficultés ou problèmes doctrinaux et définir ou proclamer la Foi de l'Église.
En dernière analyse, l'autorité du concile dépendait de la ratification romaine.À une époque de la vie de l'Église où le mot « concile » et l'adjectif « conciliaire » occupent une place exceptionnelle, ce parcours historique et doctrinal sera des plus précieux.
Cet ouvrage est le premier d'une publication qui en comprendra deux. Il présente les conciles ocuméniques du 1er millénaire, de Nicée I, en 325 à Constantinople IV, en 869-870 ; un second tome traitera du IIe millénaire. (Le concile Vatican II fera l'objet d'un ouvrage à part). Le titre d'ocuménique, « universel », se rencontre pour la première fois au concile de Chalcédoine (451), appliqué à ce dernier ainsi qu'au « grand et saint concile de Nicée ».
Par la suite, les conciles se définiront toujours comme « le grand et saint concile ocuménique ». Pendant le premier millénaire, les conciles ocuméniques se sont réunis en Orient, sur l'initiative des empereurs, Constantin le premier, et indépendamment de l'évêque de Rome. La participation des Pères orientaux y fut forte et la représentation de l'Occident faible. La présence des légats du pape garantissait le caractère ocuménique ou « universel » de ces conciles, réunis d'abord pour résoudre des difficultés ou problèmes doctrinaux et définir ou proclamer la Foi de l'Église.
En dernière analyse, l'autorité du concile dépendait de la ratification romaine.À une époque de la vie de l'Église où le mot « concile » et l'adjectif « conciliaire » occupent une place exceptionnelle, ce parcours historique et doctrinal sera des plus précieux.
Par la suite, les conciles se définiront toujours comme « le grand et saint concile ocuménique ». Pendant le premier millénaire, les conciles ocuméniques se sont réunis en Orient, sur l'initiative des empereurs, Constantin le premier, et indépendamment de l'évêque de Rome. La participation des Pères orientaux y fut forte et la représentation de l'Occident faible. La présence des légats du pape garantissait le caractère ocuménique ou « universel » de ces conciles, réunis d'abord pour résoudre des difficultés ou problèmes doctrinaux et définir ou proclamer la Foi de l'Église.
En dernière analyse, l'autorité du concile dépendait de la ratification romaine.À une époque de la vie de l'Église où le mot « concile » et l'adjectif « conciliaire » occupent une place exceptionnelle, ce parcours historique et doctrinal sera des plus précieux.