Les astrologues à la fin du Moyen Âge
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- Nombre de pages274
- FormatePub
- ISBN10-376-1386-4
- EAN9791037613868
- Date de parution01/01/1984
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille625 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurJC Lattès (réédition numérique F...
Résumé
Plus que d'un livre sur l'astrologie, ses vérités, ses erreurs ou sa poésie, c'est d'un ouvrage sur les astrologues eux-mêmes qu'il s'agit, leurs véritables occupations, leur rôle auprès des grands personnages du Moyen Âge finissant, leur influence sur la politique du temps. Si, à bien des égards, cette époque n'est pas beaucoup plus superstitieuse que la nôtre, force est de constater l'omniprésence des astrologues à la cour des princes, petits et grands, en France, en Angleterre, en Italie.
Et pourtant, il semble bien qu'avant tout ce soit leur pratique de la médecine, dont l'astrologie ne serait qu'un adjuvant, qui leur ait permis de trouver grâce auprès de leurs clients, de même que leurs connaissances générales et leurs qualités personnelles ; ainsi jouent-ils fréquemment un rôle de conseiller, d'ambassadeur, de négociateur, d'observateur, voire d'espion. Quant à l'Église, même si elle comptait en son sein des astrologues professionnels ou amateurs, elle ne voyait pas officiellement d'un très bon oil les pratiques astrologiques, notamment en raison de l'épineuse question du déterminisme astral, incompatible avec le libre arbitre ; ce qui explique que les astrologues se soient trouvés, si souvent, à la lisière de l'hérésie, et que certains d'entre eux aient eu à en souffrir.
Maxime Préaud ne cherche pas ici à prendre parti pour ou contre l'astrologie. Il n'a pas d'autre ambition que de sensibiliser le public à un aspect de la mentalité médiévale enveloppé, trop souvent, encore d'obscurité.
Et pourtant, il semble bien qu'avant tout ce soit leur pratique de la médecine, dont l'astrologie ne serait qu'un adjuvant, qui leur ait permis de trouver grâce auprès de leurs clients, de même que leurs connaissances générales et leurs qualités personnelles ; ainsi jouent-ils fréquemment un rôle de conseiller, d'ambassadeur, de négociateur, d'observateur, voire d'espion. Quant à l'Église, même si elle comptait en son sein des astrologues professionnels ou amateurs, elle ne voyait pas officiellement d'un très bon oil les pratiques astrologiques, notamment en raison de l'épineuse question du déterminisme astral, incompatible avec le libre arbitre ; ce qui explique que les astrologues se soient trouvés, si souvent, à la lisière de l'hérésie, et que certains d'entre eux aient eu à en souffrir.
Maxime Préaud ne cherche pas ici à prendre parti pour ou contre l'astrologie. Il n'a pas d'autre ambition que de sensibiliser le public à un aspect de la mentalité médiévale enveloppé, trop souvent, encore d'obscurité.
Plus que d'un livre sur l'astrologie, ses vérités, ses erreurs ou sa poésie, c'est d'un ouvrage sur les astrologues eux-mêmes qu'il s'agit, leurs véritables occupations, leur rôle auprès des grands personnages du Moyen Âge finissant, leur influence sur la politique du temps. Si, à bien des égards, cette époque n'est pas beaucoup plus superstitieuse que la nôtre, force est de constater l'omniprésence des astrologues à la cour des princes, petits et grands, en France, en Angleterre, en Italie.
Et pourtant, il semble bien qu'avant tout ce soit leur pratique de la médecine, dont l'astrologie ne serait qu'un adjuvant, qui leur ait permis de trouver grâce auprès de leurs clients, de même que leurs connaissances générales et leurs qualités personnelles ; ainsi jouent-ils fréquemment un rôle de conseiller, d'ambassadeur, de négociateur, d'observateur, voire d'espion. Quant à l'Église, même si elle comptait en son sein des astrologues professionnels ou amateurs, elle ne voyait pas officiellement d'un très bon oil les pratiques astrologiques, notamment en raison de l'épineuse question du déterminisme astral, incompatible avec le libre arbitre ; ce qui explique que les astrologues se soient trouvés, si souvent, à la lisière de l'hérésie, et que certains d'entre eux aient eu à en souffrir.
Maxime Préaud ne cherche pas ici à prendre parti pour ou contre l'astrologie. Il n'a pas d'autre ambition que de sensibiliser le public à un aspect de la mentalité médiévale enveloppé, trop souvent, encore d'obscurité.
Et pourtant, il semble bien qu'avant tout ce soit leur pratique de la médecine, dont l'astrologie ne serait qu'un adjuvant, qui leur ait permis de trouver grâce auprès de leurs clients, de même que leurs connaissances générales et leurs qualités personnelles ; ainsi jouent-ils fréquemment un rôle de conseiller, d'ambassadeur, de négociateur, d'observateur, voire d'espion. Quant à l'Église, même si elle comptait en son sein des astrologues professionnels ou amateurs, elle ne voyait pas officiellement d'un très bon oil les pratiques astrologiques, notamment en raison de l'épineuse question du déterminisme astral, incompatible avec le libre arbitre ; ce qui explique que les astrologues se soient trouvés, si souvent, à la lisière de l'hérésie, et que certains d'entre eux aient eu à en souffrir.
Maxime Préaud ne cherche pas ici à prendre parti pour ou contre l'astrologie. Il n'a pas d'autre ambition que de sensibiliser le public à un aspect de la mentalité médiévale enveloppé, trop souvent, encore d'obscurité.