Leçons du territoire. Nouvelle géographie de la région Provence - Alpes - Côte d'Azur
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- Nombre de pages324
- FormatPDF
- ISBN2-7449-1879-2
- EAN9782744918797
- Date de parution01/01/1983
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille113 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurÉdisud (réédition numérique Feni...
Résumé
Lire le présent inscrit dans le territoire ! Voilà bien le cour de l'ambition géographique. Pour repérer, et donner à voir et à comprendre ce qui est le plus observable dans nos lieux de vie, ce qui est le plus observé aussi par l'immense appareil statistique de la société contemporaine, tout cet immense « corps visible » du monde d'aujourd'hui. Et replacer ce décor « immédiat » de nos existences dans une interrogation plus large sur les mécanismes « souterrains » qui traversent nos aventures vitales, comme celle du Cosmos, et dont l'observation persévérante du territoire livre les signes...
Géographie alors de l'invisible, qui dialogue avec le visible, possible seulement parce que nous détenons déjà quelques savoirs sur les jeux multiples de ce territoire ancien et difficile, et sur les mécanismes de longue durée qui en commandent l'évolution. Géographie du savoir-vivre-ici-et-maintenant, qui puise dans l'observation persévérante du territoire des savoirs et des savoir-faire qui aident à vivre, « leçons de chose » qui nous rendent plus vif le sens de l'espace et du temps, et nous refondent sujet infime et irremplaçable dans l'espace et le temps d'aujourd'hui.
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur nous est donc apparue comme un émetteur puissant de messages territoriaux, susceptibles de commander à l'homme de choisir certaines conduites et de préférer certaines solutions qui ont pu être tôt expérimentées. En un émetteur qui module ses leçons territoriales selon des mélodies aux harmoniques complexes et durables. Ainsi, ces terres méridionales et alpines sont des partenaires actifs dans l'ouvre inlassable où les hommes multiplient les outils qui équipent le territoire, pour continuer à y travailler, et plus encore à y habiter...
C'est en cela que cette analyse des outils du territoire livre sans doute autant d'enseignements, et dessine autant de lendemains, si du moins nous savons rester suffisamment tolérants et échapper à l'holocauste nucléaire... Alors la théorisation recommencée de l'objet local et régional ouvrirait une autre intelligibilité des choses, des lieux, et aussi de nos destins, comme l'histoire recompose nos avant-hiers, et nous réapprend à voir couler les jours et vivre nos voisins reconnus.
La leçon de ce territoire serait alors de continuer à chercher à comprendre le monde contemporain, en ne se privant, ni des héritages de notre passé, ni des fruits les plus évolués de notre technologie, pour y créer un peu de solidarité. Jean-Paul Ferrier est né le 17 février 1937 à Nice. Maître-assistant à l'Institut de géographie de l'université d'Aix-Marseille II, il est l'un des fondateurs du groupe Dupont qui a participé à la diffusion et aux progrès de la géographie quantitative en France.
Il vit avec sa famille à Toulon, où il exerce plusieurs responsabilités électives et fait partie d'un centre coopératif de recherche et d'action sur le développement (IDREES).
Géographie alors de l'invisible, qui dialogue avec le visible, possible seulement parce que nous détenons déjà quelques savoirs sur les jeux multiples de ce territoire ancien et difficile, et sur les mécanismes de longue durée qui en commandent l'évolution. Géographie du savoir-vivre-ici-et-maintenant, qui puise dans l'observation persévérante du territoire des savoirs et des savoir-faire qui aident à vivre, « leçons de chose » qui nous rendent plus vif le sens de l'espace et du temps, et nous refondent sujet infime et irremplaçable dans l'espace et le temps d'aujourd'hui.
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur nous est donc apparue comme un émetteur puissant de messages territoriaux, susceptibles de commander à l'homme de choisir certaines conduites et de préférer certaines solutions qui ont pu être tôt expérimentées. En un émetteur qui module ses leçons territoriales selon des mélodies aux harmoniques complexes et durables. Ainsi, ces terres méridionales et alpines sont des partenaires actifs dans l'ouvre inlassable où les hommes multiplient les outils qui équipent le territoire, pour continuer à y travailler, et plus encore à y habiter...
C'est en cela que cette analyse des outils du territoire livre sans doute autant d'enseignements, et dessine autant de lendemains, si du moins nous savons rester suffisamment tolérants et échapper à l'holocauste nucléaire... Alors la théorisation recommencée de l'objet local et régional ouvrirait une autre intelligibilité des choses, des lieux, et aussi de nos destins, comme l'histoire recompose nos avant-hiers, et nous réapprend à voir couler les jours et vivre nos voisins reconnus.
La leçon de ce territoire serait alors de continuer à chercher à comprendre le monde contemporain, en ne se privant, ni des héritages de notre passé, ni des fruits les plus évolués de notre technologie, pour y créer un peu de solidarité. Jean-Paul Ferrier est né le 17 février 1937 à Nice. Maître-assistant à l'Institut de géographie de l'université d'Aix-Marseille II, il est l'un des fondateurs du groupe Dupont qui a participé à la diffusion et aux progrès de la géographie quantitative en France.
Il vit avec sa famille à Toulon, où il exerce plusieurs responsabilités électives et fait partie d'un centre coopératif de recherche et d'action sur le développement (IDREES).
Lire le présent inscrit dans le territoire ! Voilà bien le cour de l'ambition géographique. Pour repérer, et donner à voir et à comprendre ce qui est le plus observable dans nos lieux de vie, ce qui est le plus observé aussi par l'immense appareil statistique de la société contemporaine, tout cet immense « corps visible » du monde d'aujourd'hui. Et replacer ce décor « immédiat » de nos existences dans une interrogation plus large sur les mécanismes « souterrains » qui traversent nos aventures vitales, comme celle du Cosmos, et dont l'observation persévérante du territoire livre les signes...
Géographie alors de l'invisible, qui dialogue avec le visible, possible seulement parce que nous détenons déjà quelques savoirs sur les jeux multiples de ce territoire ancien et difficile, et sur les mécanismes de longue durée qui en commandent l'évolution. Géographie du savoir-vivre-ici-et-maintenant, qui puise dans l'observation persévérante du territoire des savoirs et des savoir-faire qui aident à vivre, « leçons de chose » qui nous rendent plus vif le sens de l'espace et du temps, et nous refondent sujet infime et irremplaçable dans l'espace et le temps d'aujourd'hui.
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur nous est donc apparue comme un émetteur puissant de messages territoriaux, susceptibles de commander à l'homme de choisir certaines conduites et de préférer certaines solutions qui ont pu être tôt expérimentées. En un émetteur qui module ses leçons territoriales selon des mélodies aux harmoniques complexes et durables. Ainsi, ces terres méridionales et alpines sont des partenaires actifs dans l'ouvre inlassable où les hommes multiplient les outils qui équipent le territoire, pour continuer à y travailler, et plus encore à y habiter...
C'est en cela que cette analyse des outils du territoire livre sans doute autant d'enseignements, et dessine autant de lendemains, si du moins nous savons rester suffisamment tolérants et échapper à l'holocauste nucléaire... Alors la théorisation recommencée de l'objet local et régional ouvrirait une autre intelligibilité des choses, des lieux, et aussi de nos destins, comme l'histoire recompose nos avant-hiers, et nous réapprend à voir couler les jours et vivre nos voisins reconnus.
La leçon de ce territoire serait alors de continuer à chercher à comprendre le monde contemporain, en ne se privant, ni des héritages de notre passé, ni des fruits les plus évolués de notre technologie, pour y créer un peu de solidarité. Jean-Paul Ferrier est né le 17 février 1937 à Nice. Maître-assistant à l'Institut de géographie de l'université d'Aix-Marseille II, il est l'un des fondateurs du groupe Dupont qui a participé à la diffusion et aux progrès de la géographie quantitative en France.
Il vit avec sa famille à Toulon, où il exerce plusieurs responsabilités électives et fait partie d'un centre coopératif de recherche et d'action sur le développement (IDREES).
Géographie alors de l'invisible, qui dialogue avec le visible, possible seulement parce que nous détenons déjà quelques savoirs sur les jeux multiples de ce territoire ancien et difficile, et sur les mécanismes de longue durée qui en commandent l'évolution. Géographie du savoir-vivre-ici-et-maintenant, qui puise dans l'observation persévérante du territoire des savoirs et des savoir-faire qui aident à vivre, « leçons de chose » qui nous rendent plus vif le sens de l'espace et du temps, et nous refondent sujet infime et irremplaçable dans l'espace et le temps d'aujourd'hui.
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur nous est donc apparue comme un émetteur puissant de messages territoriaux, susceptibles de commander à l'homme de choisir certaines conduites et de préférer certaines solutions qui ont pu être tôt expérimentées. En un émetteur qui module ses leçons territoriales selon des mélodies aux harmoniques complexes et durables. Ainsi, ces terres méridionales et alpines sont des partenaires actifs dans l'ouvre inlassable où les hommes multiplient les outils qui équipent le territoire, pour continuer à y travailler, et plus encore à y habiter...
C'est en cela que cette analyse des outils du territoire livre sans doute autant d'enseignements, et dessine autant de lendemains, si du moins nous savons rester suffisamment tolérants et échapper à l'holocauste nucléaire... Alors la théorisation recommencée de l'objet local et régional ouvrirait une autre intelligibilité des choses, des lieux, et aussi de nos destins, comme l'histoire recompose nos avant-hiers, et nous réapprend à voir couler les jours et vivre nos voisins reconnus.
La leçon de ce territoire serait alors de continuer à chercher à comprendre le monde contemporain, en ne se privant, ni des héritages de notre passé, ni des fruits les plus évolués de notre technologie, pour y créer un peu de solidarité. Jean-Paul Ferrier est né le 17 février 1937 à Nice. Maître-assistant à l'Institut de géographie de l'université d'Aix-Marseille II, il est l'un des fondateurs du groupe Dupont qui a participé à la diffusion et aux progrès de la géographie quantitative en France.
Il vit avec sa famille à Toulon, où il exerce plusieurs responsabilités électives et fait partie d'un centre coopératif de recherche et d'action sur le développement (IDREES).