Parler d'un thriller est toujours compliqué, mais avec Le voleur de regards, ne pas en parler aurait été un crime méritant de périr en enfer pour l'éternité, et tout le monde sait que cela peut être légèrement long.
Ce titre est de Sebastian Fitzek, un auteur que j'affectionne puisque c'est son cinquième livre que je lis. Je le trouvais bon avec ses précédents romans mais il lui manquait un petit quelque chose pour atteindre l'exceptionnel. Et putain, il l'a fait avec Le voleur des regards. Preuve à l'appui, Paul Cleave, auteur des géniaux L'employé modèle, Un père idéal et Nécrologie, dit de ce livre qu'il est "Brillant". Je ne peux que confirmer ses dires et redire que c'est une tuerie.
Le résumé met l'eau à la bouche vous ne trouvez pas, un ancien flic au lourd passif devenant journaliste, Alexander Zorbach. Il est prit dans l'engrenage de l'enquête et va tout faire pour arrêter le tueur. Alina, une extralucide aveugle entre également dans le jeu. Elle nous ouvre les yeux sur un monde qui nous est totalement inconnu pour la plupart. On est pris d'affection pour Alexander Zorbach dès le "premier" chapitre, ce personnage est un homme entier, écorché vif, passionné par son travail. J'avoue que le duo Alexandre-Alina est plutôt atypique mais tellement attachant et propice à plein de moments comiques. Point étonnant du titre donnant son originalité est que les chapitres sont dégressifs. Le voleur des regards commence par le chapitre 83, puis le 82 et ainsi de suite. Lorsqu'on arrive au chapitre 1 donc le dernier, l'histoire ne s'achève pourtant pas mais se poursuit, cela rend ce titre tellement prenant, tellement marquant.
Je disais plus haut que Sebastian Fitzek avec ce titre était à son apogée. Je trouve que l'écriture est plus experte, elle donne l'impression d'être plus adulte, plus contemporaine, plus réaliste, plus sombre. Je dois avouer avoir un faible pour les livres où l'assassin est insaisissable, intelligent, et ambigu le rendant plus troublant lorsqu'on lui trouve des circonstances atténuantes. L'histoire est sans faille, on suit nos deux héros avec la peur au ventre car l'horreur ne cesse de grandir. Plus l'histoire avance, plus les réponses se dévoilent mais ne sommes-nous pas les pauvres victimes du talentueux Sebastian Fitzek, où la réponse n'est jamais celle que l'on pense?
Parler d'un thriller est toujours compliqué, mais avec Le voleur de regards, ne pas en parler aurait été un crime méritant de périr en enfer pour l'éternité, et tout le monde sait que cela peut être légèrement long.
Ce titre est de Sebastian Fitzek, un auteur que j'affectionne puisque c'est son cinquième livre que je lis. Je le trouvais bon avec ses précédents romans mais il lui manquait un petit quelque chose pour atteindre l'exceptionnel. Et putain, il l'a fait avec Le voleur des regards. Preuve à l'appui, Paul Cleave, auteur des géniaux L'employé modèle, Un père idéal et Nécrologie, dit de ce livre qu'il est "Brillant". Je ne peux que confirmer ses dires et redire que c'est une tuerie.
Le résumé met l'eau à la bouche vous ne trouvez pas, un ancien flic au lourd passif devenant journaliste, Alexander Zorbach. Il est prit dans l'engrenage de l'enquête et va tout faire pour arrêter le tueur. Alina, une extralucide aveugle entre également dans le jeu. Elle nous ouvre les yeux sur un monde qui nous est totalement inconnu pour la plupart. On est pris d'affection pour Alexander Zorbach dès le "premier" chapitre, ce personnage est un homme entier, écorché vif, passionné par son travail. J'avoue que le duo Alexandre-Alina est plutôt atypique mais tellement attachant et propice à plein de moments comiques. Point étonnant du titre donnant son originalité est que les chapitres sont dégressifs. Le voleur des regards commence par le chapitre 83, puis le 82 et ainsi de suite. Lorsqu'on arrive au chapitre 1 donc le dernier, l'histoire ne s'achève pourtant pas mais se poursuit, cela rend ce titre tellement prenant, tellement marquant.
Je disais plus haut que Sebastian Fitzek avec ce titre était à son apogée. Je trouve que l'écriture est plus experte, elle donne l'impression d'être plus adulte, plus contemporaine, plus réaliste, plus sombre. Je dois avouer avoir un faible pour les livres où l'assassin est insaisissable, intelligent, et ambigu le rendant plus troublant lorsqu'on lui trouve des circonstances atténuantes. L'histoire est sans faille, on suit nos deux héros avec la peur au ventre car l'horreur ne cesse de grandir. Plus l'histoire avance, plus les réponses se dévoilent mais ne sommes-nous pas les pauvres victimes du talentueux Sebastian Fitzek, où la réponse n'est jamais celle que l'on pense?