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  • Nombre de pages430
  • FormatePub
  • ISBN978-2-08-044575-9
  • EAN9782080445759
  • Date de parution21/08/2024
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

En se rendant au musée de l'Orangerie, voici que, devant Les Nymphéas de Monet, l'auteur est pris d'une crise d'angoisse. Contre toute attente, les Grands Panneaux déclenchent chez lui un vrai malaise. Sans doute l'art doit-il autant à l'artiste qu'au "regardeur" - mais encore ? Redevenant pour l'occasion le détective Bmore, Grégoire Bouillier décide d'en avoir le cour net. Les Nymphéas de Monet cacheraient-ils un sombre secret ? Monet y aurait-il enterré quelque chose ou même quelqu'un ? Et pourquoi des nymphéas, d'abord ? Pourquoi Monet peignit-il les fleurs de son jardin jusqu'à l'obsession - au bas mot quatre cents fois pendant trente ans ? Obsession pour obsession, commence alors une folle enquête qui, entre botanique, vie amoureuse de Monet et inconscient de l'ouvre, mènera Bmore de l'Orangerie à Giverny en passant par le Japon et même par Auschwitz-Birkenau, pour tenter d'élucider son "syndrome de l'Orangerie".
Lequel concerne plus de monde qu'on l'imagine. Lequel dit qu'entre l'oil qui voit et la chose qui est vue, il y a un mystère qui n'est pas seulement celui de la peinture.
En se rendant au musée de l'Orangerie, voici que, devant Les Nymphéas de Monet, l'auteur est pris d'une crise d'angoisse. Contre toute attente, les Grands Panneaux déclenchent chez lui un vrai malaise. Sans doute l'art doit-il autant à l'artiste qu'au "regardeur" - mais encore ? Redevenant pour l'occasion le détective Bmore, Grégoire Bouillier décide d'en avoir le cour net. Les Nymphéas de Monet cacheraient-ils un sombre secret ? Monet y aurait-il enterré quelque chose ou même quelqu'un ? Et pourquoi des nymphéas, d'abord ? Pourquoi Monet peignit-il les fleurs de son jardin jusqu'à l'obsession - au bas mot quatre cents fois pendant trente ans ? Obsession pour obsession, commence alors une folle enquête qui, entre botanique, vie amoureuse de Monet et inconscient de l'ouvre, mènera Bmore de l'Orangerie à Giverny en passant par le Japon et même par Auschwitz-Birkenau, pour tenter d'élucider son "syndrome de l'Orangerie".
Lequel concerne plus de monde qu'on l'imagine. Lequel dit qu'entre l'oil qui voit et la chose qui est vue, il y a un mystère qui n'est pas seulement celui de la peinture.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
LAURA BDecitre Chambéry
4/5
Délirant
Tout part de la découverte des grands panneaux des Nymphéas de Monet au Musée de l'Orangerie. Notre protagoniste Bmore, un détective loufoque, se retrouve confronté à ces œuvres célèbres et se pose des questions. Questions qui vont l'emmener jusqu'à Giverny et Auschwitz-Birkenau. Un récit bourré de phrases originales, de questionnements et déductions rocambolesques, mais bien ficelé que la lecture en devient unique et addictive.
Tout part de la découverte des grands panneaux des Nymphéas de Monet au Musée de l'Orangerie. Notre protagoniste Bmore, un détective loufoque, se retrouve confronté à ces œuvres célèbres et se pose des questions. Questions qui vont l'emmener jusqu'à Giverny et Auschwitz-Birkenau. Un récit bourré de phrases originales, de questionnements et déductions rocambolesques, mais bien ficelé que la lecture en devient unique et addictive.
Marion LiévalDecitre Grenoble
5/5
Le syndrome de l'Orangerie
Bmore a encore frappé ! En reprenant le fameux duo d'enquêteurs à l'oeuvre dans "Le coeur ne cède pas", Bouillier nous annonce le programme d'entrée de jeu : il y aura de l'humour à haute dose, mais surtout la quête de la Vérité (oui, celle avec un grand V, pas une autre) (mais avec quelle modestie dans l'exercice !) On pourrait être tenté de se dire que certaines conclusions de l'enquête sont capillotractées, mais le cheminement est tellement convaincant, que de l'ensemble se dégage un parfum d'évidence. Et puis Bouillier est de ces auteurs qui peuvent tisser un lien entre Auschwitz-Birkenau et Giverny sans se prendre les pieds dans le tapis, et ça, ce n'est pas rien. Le Syndrome de l'Orangerie n'est évidemment pas une étude sur les nymphéas de Monet (non mais pour qui le prend-on ? Il s'agit quand même de Bmore, le célèbre inspecteur !). Alors il s'agit peut-être d'un essai sur l'art de la parenthèse ? Ce serait un peu court. Ou tout simplement, une fois encore une fois, d'un grand roman sur la littérature...
Bmore a encore frappé ! En reprenant le fameux duo d'enquêteurs à l'oeuvre dans "Le coeur ne cède pas", Bouillier nous annonce le programme d'entrée de jeu : il y aura de l'humour à haute dose, mais surtout la quête de la Vérité (oui, celle avec un grand V, pas une autre) (mais avec quelle modestie dans l'exercice !) On pourrait être tenté de se dire que certaines conclusions de l'enquête sont capillotractées, mais le cheminement est tellement convaincant, que de l'ensemble se dégage un parfum d'évidence. Et puis Bouillier est de ces auteurs qui peuvent tisser un lien entre Auschwitz-Birkenau et Giverny sans se prendre les pieds dans le tapis, et ça, ce n'est pas rien. Le Syndrome de l'Orangerie n'est évidemment pas une étude sur les nymphéas de Monet (non mais pour qui le prend-on ? Il s'agit quand même de Bmore, le célèbre inspecteur !). Alors il s'agit peut-être d'un essai sur l'art de la parenthèse ? Ce serait un peu court. Ou tout simplement, une fois encore une fois, d'un grand roman sur la littérature...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Psychanalyse artisitique
Les livres-enquêtes de Grégoire Bouillier disent autant de lui que de son sujet. C’est d’autant plus flagrant lorsque, comme ici, il est question de rencontre artistique, autrement dit de la confrontation de deux inconscients, celui du « regardeur » et celui de l’oeuvre. Plus que jamais se dévoilent sous l’humour de l’auteur ses propres obsessions face à la vie et à la mort, alors qu'explorant la biographie de Monet, il se lance tous azimuts dans une auscultation très personnelle de sa peinture. Troublé que, contrairement à tant d’autres visiteurs, le terme « morbide » soit le premier qui lui vienne à l’esprit devant l’ensemble mural des Nymphéas de Monet au musée de l’Orangerie, l’auteur s’interroge. Ne s’agit-il que de son humeur, où se cacherait-il dans le bassin des nymphéas quelque triste motif lui renvoyant en miroir ses propres dispositions ? Convoquant aussitôt son alter ego le détective Bmore, déjà à l’oeuvre dans Le coeur ne cède pas, voilà notre homme qui, faisant fi des protestations de Penny, l’assistante fictive qui, non sans cocasserie, lui sert dans cette histoire de Jiminy Cricket, s’immerge dans une nouvelle enquête de son cru. Divaguant comme à son habitude – quoique de manière un peu plus contrôlée, son éditeur, plaisante-t-il, l’ayant enjoint à moins de bavardage délibéré – de digressions en associations d’idées reflétées avec humour par l’imbrication de ses phrases et de ses parenthèses, il enchevêtre les fils narratifs, explore les hypothèses les plus diverses, même farfelues, enfin fouille son sujet à la lumière de ses obsessions sans craindre de se perdre ou de se contredire parfois. « Je fais partie du livre », écrit-il, et il se met en scène dans ce récit qui est en même temps un voyage, un cheminement personnel et un questionnement aussi scrupuleux que subjectif. Ainsi, à la biographie de Monet, aux fantômes de la guerre, du fils aîné et de l’irremplaçable Camille, enfin aux affres du peintre perdant la vue, se mêlent des souvenirs personnels de l’auteur, le malaise persistant ramené d’une visite à Auschwitz-Birkenau, et tant d’autres expériences susceptibles d’avoir plus ou moins maille à partir avec ses sombres projections artistiques. D’une prétendue psychanalyse des tableaux de Monet à celle de l’écrivain, il n’y a qu’un pas… Brillant, drôle, d’une dextérité formelle illustrant à merveille le propos, ce dernier ouvrage de Grégoire Bouillier s’avère ainsi au final, au travers du miroir aux reflets changeants tendu par le bassin des nymphéas de Monet, une formidable et fort originale entreprise d’introspection, en même temps qu’un hommage extrêmement personnel – au risque de parfois distancer le lecteur ? – à Monet, à sa peinture et à l’art en général. « Ce qu’il faudrait, c’est accéder à sa propre voyance. C’est dépasser la légende qui se trouve sous le tableau comme la légende qui l’auréole au-dessus. Histoire de se doter d’un regard à soi, d’un regard neuf, d’un regard d’abord muet. » Mission parfaitement accomplie !
Les livres-enquêtes de Grégoire Bouillier disent autant de lui que de son sujet. C’est d’autant plus flagrant lorsque, comme ici, il est question de rencontre artistique, autrement dit de la confrontation de deux inconscients, celui du « regardeur » et celui de l’oeuvre. Plus que jamais se dévoilent sous l’humour de l’auteur ses propres obsessions face à la vie et à la mort, alors qu'explorant la biographie de Monet, il se lance tous azimuts dans une auscultation très personnelle de sa peinture. Troublé que, contrairement à tant d’autres visiteurs, le terme « morbide » soit le premier qui lui vienne à l’esprit devant l’ensemble mural des Nymphéas de Monet au musée de l’Orangerie, l’auteur s’interroge. Ne s’agit-il que de son humeur, où se cacherait-il dans le bassin des nymphéas quelque triste motif lui renvoyant en miroir ses propres dispositions ? Convoquant aussitôt son alter ego le détective Bmore, déjà à l’oeuvre dans Le coeur ne cède pas, voilà notre homme qui, faisant fi des protestations de Penny, l’assistante fictive qui, non sans cocasserie, lui sert dans cette histoire de Jiminy Cricket, s’immerge dans une nouvelle enquête de son cru. Divaguant comme à son habitude – quoique de manière un peu plus contrôlée, son éditeur, plaisante-t-il, l’ayant enjoint à moins de bavardage délibéré – de digressions en associations d’idées reflétées avec humour par l’imbrication de ses phrases et de ses parenthèses, il enchevêtre les fils narratifs, explore les hypothèses les plus diverses, même farfelues, enfin fouille son sujet à la lumière de ses obsessions sans craindre de se perdre ou de se contredire parfois. « Je fais partie du livre », écrit-il, et il se met en scène dans ce récit qui est en même temps un voyage, un cheminement personnel et un questionnement aussi scrupuleux que subjectif. Ainsi, à la biographie de Monet, aux fantômes de la guerre, du fils aîné et de l’irremplaçable Camille, enfin aux affres du peintre perdant la vue, se mêlent des souvenirs personnels de l’auteur, le malaise persistant ramené d’une visite à Auschwitz-Birkenau, et tant d’autres expériences susceptibles d’avoir plus ou moins maille à partir avec ses sombres projections artistiques. D’une prétendue psychanalyse des tableaux de Monet à celle de l’écrivain, il n’y a qu’un pas… Brillant, drôle, d’une dextérité formelle illustrant à merveille le propos, ce dernier ouvrage de Grégoire Bouillier s’avère ainsi au final, au travers du miroir aux reflets changeants tendu par le bassin des nymphéas de Monet, une formidable et fort originale entreprise d’introspection, en même temps qu’un hommage extrêmement personnel – au risque de parfois distancer le lecteur ? – à Monet, à sa peinture et à l’art en général. « Ce qu’il faudrait, c’est accéder à sa propre voyance. C’est dépasser la légende qui se trouve sous le tableau comme la légende qui l’auréole au-dessus. Histoire de se doter d’un regard à soi, d’un regard neuf, d’un regard d’abord muet. » Mission parfaitement accomplie !
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