Le roman français du XVIIIe siècle, un genre en question
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- Nombre de pages324
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17812-0
- EAN9782296178120
- Date de parution01/10/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille11 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierFrédéric François
Résumé
A partir d'un terme générique " unificateur ", le roman, on réfléchit ici à la façon dont ce terme vit, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, une " instabilité ". On envisage alors un genre qui était contesté et ouvre sur les débats, à propos de La Princesse de Clèves notamment, où les notions de fiction, de vraisemblance, de vérité, d'histoire, participent d'une dynamique de la réception. Un entrelacs de notions qui ne permettent pas d'identifier une fois pour toute un " genre " définitif.
Le genre s'érige ainsi notamment dans la dynamique des commentaires, indiquant par-là des façons de lire effectives, prescrites, imaginées, etc. Une perspective historique du genre se dessine alors dans l'observation des textes choisis, et dans ce qui constitue notre perception des rapports au(x) lire(s) des lecteurs de la seconde moitié du XVIIe siècle. On dessine ainsi un concept de genre qui n'est donc pas uniquement la déclinaison de typologies diverses.
Il s'actualise notamment dans l'efficience du discours, mais aussi dans le commentaire que chacun fait de son propre discours et du discours de l'autre.
Le genre s'érige ainsi notamment dans la dynamique des commentaires, indiquant par-là des façons de lire effectives, prescrites, imaginées, etc. Une perspective historique du genre se dessine alors dans l'observation des textes choisis, et dans ce qui constitue notre perception des rapports au(x) lire(s) des lecteurs de la seconde moitié du XVIIe siècle. On dessine ainsi un concept de genre qui n'est donc pas uniquement la déclinaison de typologies diverses.
Il s'actualise notamment dans l'efficience du discours, mais aussi dans le commentaire que chacun fait de son propre discours et du discours de l'autre.
A partir d'un terme générique " unificateur ", le roman, on réfléchit ici à la façon dont ce terme vit, dans la seconde moitié du XVIIe siècle, une " instabilité ". On envisage alors un genre qui était contesté et ouvre sur les débats, à propos de La Princesse de Clèves notamment, où les notions de fiction, de vraisemblance, de vérité, d'histoire, participent d'une dynamique de la réception. Un entrelacs de notions qui ne permettent pas d'identifier une fois pour toute un " genre " définitif.
Le genre s'érige ainsi notamment dans la dynamique des commentaires, indiquant par-là des façons de lire effectives, prescrites, imaginées, etc. Une perspective historique du genre se dessine alors dans l'observation des textes choisis, et dans ce qui constitue notre perception des rapports au(x) lire(s) des lecteurs de la seconde moitié du XVIIe siècle. On dessine ainsi un concept de genre qui n'est donc pas uniquement la déclinaison de typologies diverses.
Il s'actualise notamment dans l'efficience du discours, mais aussi dans le commentaire que chacun fait de son propre discours et du discours de l'autre.
Le genre s'érige ainsi notamment dans la dynamique des commentaires, indiquant par-là des façons de lire effectives, prescrites, imaginées, etc. Une perspective historique du genre se dessine alors dans l'observation des textes choisis, et dans ce qui constitue notre perception des rapports au(x) lire(s) des lecteurs de la seconde moitié du XVIIe siècle. On dessine ainsi un concept de genre qui n'est donc pas uniquement la déclinaison de typologies diverses.
Il s'actualise notamment dans l'efficience du discours, mais aussi dans le commentaire que chacun fait de son propre discours et du discours de l'autre.