Nouveauté
Le regard perdu. A l'origine de l'art pariétal animal
Par :Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages268
- FormatPDF
- ISBN978-2-330-21403-6
- EAN9782330214036
- Date de parution08/10/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurActes Sud
- PréfacierBoris Valentin
Résumé
Pourquoi les humains de la préhistoire ont-ils peint des animaux, dans des grottes, de cette manière-là et dans ces milieux-là, au coeur du dernier âge glaciaire européen ? C'est l'une des questions qui taraudent la communauté des préhistoriens depuis bien longtemps et qui suscitent les hypothèses les plus variées. Grâce à son expérience du pistage des grands mammifères en milieu sauvage, Baptiste Morizot renouvelle notre regard sur l'origine de cet art pariétal et libère nos lointains ancêtres du rôle écrasant de l'Artiste.
En conceptualisant le regard-jizz si familier des naturalistes contemporains, il tente de raviver la manière d'être humain propre aux chasseurs paléolithiques. À une époque où les animaux sauvages étaient souvent rencontrés comme des silhouettes fugaces entraperçues dans les hautes herbes de la steppe, le jizz était cette expérience visuelle synthétique originale : la saisie d'un style d'apparaître propre à chaque animal, un regard aujourd'hui perdu.
Un art de voir désormais oublié - qu'il est pourtant possible de réactiver en nous. Que veut dire créer lorsque les formes ne sont pas dans l'esprit du créateur mais dans la relation écologique quotidienne qu'il habite ? Au croisement de l'investigation préhistorique, de l'histoire de l'art et de la philosophie du vivant, Baptiste Morizot enquête sur les arts de l'attention de notre espèce. Il excave pour aujourd'hui des manières possibles de créer qu'on peut réexplorer dans des formes de vie libérées du mythe tardif de la primauté de l'intériorité : un monde où la relation est première.
En conceptualisant le regard-jizz si familier des naturalistes contemporains, il tente de raviver la manière d'être humain propre aux chasseurs paléolithiques. À une époque où les animaux sauvages étaient souvent rencontrés comme des silhouettes fugaces entraperçues dans les hautes herbes de la steppe, le jizz était cette expérience visuelle synthétique originale : la saisie d'un style d'apparaître propre à chaque animal, un regard aujourd'hui perdu.
Un art de voir désormais oublié - qu'il est pourtant possible de réactiver en nous. Que veut dire créer lorsque les formes ne sont pas dans l'esprit du créateur mais dans la relation écologique quotidienne qu'il habite ? Au croisement de l'investigation préhistorique, de l'histoire de l'art et de la philosophie du vivant, Baptiste Morizot enquête sur les arts de l'attention de notre espèce. Il excave pour aujourd'hui des manières possibles de créer qu'on peut réexplorer dans des formes de vie libérées du mythe tardif de la primauté de l'intériorité : un monde où la relation est première.
Pourquoi les humains de la préhistoire ont-ils peint des animaux, dans des grottes, de cette manière-là et dans ces milieux-là, au coeur du dernier âge glaciaire européen ? C'est l'une des questions qui taraudent la communauté des préhistoriens depuis bien longtemps et qui suscitent les hypothèses les plus variées. Grâce à son expérience du pistage des grands mammifères en milieu sauvage, Baptiste Morizot renouvelle notre regard sur l'origine de cet art pariétal et libère nos lointains ancêtres du rôle écrasant de l'Artiste.
En conceptualisant le regard-jizz si familier des naturalistes contemporains, il tente de raviver la manière d'être humain propre aux chasseurs paléolithiques. À une époque où les animaux sauvages étaient souvent rencontrés comme des silhouettes fugaces entraperçues dans les hautes herbes de la steppe, le jizz était cette expérience visuelle synthétique originale : la saisie d'un style d'apparaître propre à chaque animal, un regard aujourd'hui perdu.
Un art de voir désormais oublié - qu'il est pourtant possible de réactiver en nous. Que veut dire créer lorsque les formes ne sont pas dans l'esprit du créateur mais dans la relation écologique quotidienne qu'il habite ? Au croisement de l'investigation préhistorique, de l'histoire de l'art et de la philosophie du vivant, Baptiste Morizot enquête sur les arts de l'attention de notre espèce. Il excave pour aujourd'hui des manières possibles de créer qu'on peut réexplorer dans des formes de vie libérées du mythe tardif de la primauté de l'intériorité : un monde où la relation est première.
En conceptualisant le regard-jizz si familier des naturalistes contemporains, il tente de raviver la manière d'être humain propre aux chasseurs paléolithiques. À une époque où les animaux sauvages étaient souvent rencontrés comme des silhouettes fugaces entraperçues dans les hautes herbes de la steppe, le jizz était cette expérience visuelle synthétique originale : la saisie d'un style d'apparaître propre à chaque animal, un regard aujourd'hui perdu.
Un art de voir désormais oublié - qu'il est pourtant possible de réactiver en nous. Que veut dire créer lorsque les formes ne sont pas dans l'esprit du créateur mais dans la relation écologique quotidienne qu'il habite ? Au croisement de l'investigation préhistorique, de l'histoire de l'art et de la philosophie du vivant, Baptiste Morizot enquête sur les arts de l'attention de notre espèce. Il excave pour aujourd'hui des manières possibles de créer qu'on peut réexplorer dans des formes de vie libérées du mythe tardif de la primauté de l'intériorité : un monde où la relation est première.