Le pardon ou la joie de Dieu. Histoire et théologie de la Réconciliation et de l'Onction des malades
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- Nombre de pages296
- FormatePub
- ISBN978-2-7554-1141-6
- EAN9782755411416
- Date de parution26/07/2018
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFrancois-Xavier de Guibert
Résumé
La conversion (métanoïa) étant moins la "pénitence" que le regret des péchés et la décision de changer son coeur. Le fait de changer de vie en donnant la priorité à l'amour fait partie des dispositions spirituelles qui conditionnent l'efficacité des Sacrements, et en particulier des quatre Sacrements qui ont le pouvoir de remettre les péchés : le Baptême, la Réconciliation, l'Onction des malades et l'Eucharistie.
Le Baptême incorpore au Christ et confère la filiation adoptive. Il pardonne les péchés, si le baptisé en a commis et s'il les regrette. Il purifie également des séquelles du péché, ce qui suppose au moins la contrition, et probablement davantage. La Réconciliation a pour objet le pardon des péchés graves commis après le Baptême, mais elle remet aussi les péchés véniels. Elle efface également les séquelles du péché, si elle rencontre des dispositions de charité ou de conversion du coeur qui vont au-delà d'une contrition minimale.
L'Onction soulage le malade (même si la nature de ce soulagement n'a pas fait l'objet d'une définition de foi), elle le guérit éventuellement, et elle remet ses péchés, s'il en a commis et s'il les regrette. Quant aux séquelles du péché, on peut au moins supposer que, comme le Baptême et la Réconciliation, l'Onction les efface, si le malade a les dispositions voulues.
Le Baptême incorpore au Christ et confère la filiation adoptive. Il pardonne les péchés, si le baptisé en a commis et s'il les regrette. Il purifie également des séquelles du péché, ce qui suppose au moins la contrition, et probablement davantage. La Réconciliation a pour objet le pardon des péchés graves commis après le Baptême, mais elle remet aussi les péchés véniels. Elle efface également les séquelles du péché, si elle rencontre des dispositions de charité ou de conversion du coeur qui vont au-delà d'une contrition minimale.
L'Onction soulage le malade (même si la nature de ce soulagement n'a pas fait l'objet d'une définition de foi), elle le guérit éventuellement, et elle remet ses péchés, s'il en a commis et s'il les regrette. Quant aux séquelles du péché, on peut au moins supposer que, comme le Baptême et la Réconciliation, l'Onction les efface, si le malade a les dispositions voulues.
La conversion (métanoïa) étant moins la "pénitence" que le regret des péchés et la décision de changer son coeur. Le fait de changer de vie en donnant la priorité à l'amour fait partie des dispositions spirituelles qui conditionnent l'efficacité des Sacrements, et en particulier des quatre Sacrements qui ont le pouvoir de remettre les péchés : le Baptême, la Réconciliation, l'Onction des malades et l'Eucharistie.
Le Baptême incorpore au Christ et confère la filiation adoptive. Il pardonne les péchés, si le baptisé en a commis et s'il les regrette. Il purifie également des séquelles du péché, ce qui suppose au moins la contrition, et probablement davantage. La Réconciliation a pour objet le pardon des péchés graves commis après le Baptême, mais elle remet aussi les péchés véniels. Elle efface également les séquelles du péché, si elle rencontre des dispositions de charité ou de conversion du coeur qui vont au-delà d'une contrition minimale.
L'Onction soulage le malade (même si la nature de ce soulagement n'a pas fait l'objet d'une définition de foi), elle le guérit éventuellement, et elle remet ses péchés, s'il en a commis et s'il les regrette. Quant aux séquelles du péché, on peut au moins supposer que, comme le Baptême et la Réconciliation, l'Onction les efface, si le malade a les dispositions voulues.
Le Baptême incorpore au Christ et confère la filiation adoptive. Il pardonne les péchés, si le baptisé en a commis et s'il les regrette. Il purifie également des séquelles du péché, ce qui suppose au moins la contrition, et probablement davantage. La Réconciliation a pour objet le pardon des péchés graves commis après le Baptême, mais elle remet aussi les péchés véniels. Elle efface également les séquelles du péché, si elle rencontre des dispositions de charité ou de conversion du coeur qui vont au-delà d'une contrition minimale.
L'Onction soulage le malade (même si la nature de ce soulagement n'a pas fait l'objet d'une définition de foi), elle le guérit éventuellement, et elle remet ses péchés, s'il en a commis et s'il les regrette. Quant aux séquelles du péché, on peut au moins supposer que, comme le Baptême et la Réconciliation, l'Onction les efface, si le malade a les dispositions voulues.