"Je ne suis pas l'ami d'André Chaix, et aurais-je d'ailleurs su l'être, moi que presque rien ne relie à lui ? Juste un nom sur le mur.
Chaix était un résistant, un maquisard, un jeune homme à la vie brève comme il y en eut beaucoup.
Je ne savais rien de lui. J'ai posé des questions, j'ai recueilli des fragments d'une mémoire collective, j'ai un peu appris qui il était.
Quatre-vingts années ont passé depuis sa mort.
Mais à regarder le monde tel qu'il va, je ne doute pas qu'il faille toujours parler de l'Occupation, de la collaboration et du fascisme, du rejet de l'autre jusqu'à sa destruction. Ce livre donne la parole aux idéaux pour lesquels il est mort et questionne notre nature profonde, ce désir d'appartenir à plus grand que nous, qui conduit au meilleur et au pire."
H. L. T.
"Un livre de fraternité, splendide, intime et inclassable." Olivia de Lamberterie, Télématin, France 2.
"Une reconstitution touchante de la mémoire de la Résistance, nourrie de digressions et d'ironies." Augustin Trapenard, La Grande Librairie.
"Un des textes les plus personnels de l'auteur, les plus politiques et les plus engagés." Denis Cosnard, Le Monde des livres.
"L'humilité souriante et la délicatesse de dentellière avec lesquelles écrit Hervé Le Tellier donnent à ce très beau livre une grâce inattendue." Blandine Rinkel, Le Masque et la Plume.
"Un livre très beau et un geste politique salutaire." Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
"Un manifeste fulgurant, qui dénonce le fascisme d'hier et d'aujourd'hui." Philippe Chevilley, Les Échos.
"Je ne suis pas l'ami d'André Chaix, et aurais-je d'ailleurs su l'être, moi que presque rien ne relie à lui ? Juste un nom sur le mur.
Chaix était un résistant, un maquisard, un jeune homme à la vie brève comme il y en eut beaucoup.
Je ne savais rien de lui. J'ai posé des questions, j'ai recueilli des fragments d'une mémoire collective, j'ai un peu appris qui il était.
Quatre-vingts années ont passé depuis sa mort.
Mais à regarder le monde tel qu'il va, je ne doute pas qu'il faille toujours parler de l'Occupation, de la collaboration et du fascisme, du rejet de l'autre jusqu'à sa destruction. Ce livre donne la parole aux idéaux pour lesquels il est mort et questionne notre nature profonde, ce désir d'appartenir à plus grand que nous, qui conduit au meilleur et au pire."
H. L. T.
"Un livre de fraternité, splendide, intime et inclassable." Olivia de Lamberterie, Télématin, France 2.
"Une reconstitution touchante de la mémoire de la Résistance, nourrie de digressions et d'ironies." Augustin Trapenard, La Grande Librairie.
"Un des textes les plus personnels de l'auteur, les plus politiques et les plus engagés." Denis Cosnard, Le Monde des livres.
"L'humilité souriante et la délicatesse de dentellière avec lesquelles écrit Hervé Le Tellier donnent à ce très beau livre une grâce inattendue." Blandine Rinkel, Le Masque et la Plume.
"Un livre très beau et un geste politique salutaire." Nelly Kaprièlian, Les Inrockuptibles.
"Un manifeste fulgurant, qui dénonce le fascisme d'hier et d'aujourd'hui." Philippe Chevilley, Les Échos.