Le nom divin dans le Nouveau Testament
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- Nombre de pages356
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17609-6
- EAN9782296176096
- Date de parution01/06/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille15 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierGérard Gertoux
Résumé
Pour des milliards de chrétiens dans le monde, Jésus Christ est Dieu. Ce dogme est si fondamental qu'il constitue l'essence du christianisme moderne, sa condition sine qua non. Cette croyance s'appuie notamment sur la constatation que, dans le Nouveau Testament, les disciples de Jésus appliquent à leur Maître les citations bibliques qui intéressent le Dieu d'Israël. Mais ce rapprochement n'est possible que par suite d'un processus historique dont fait état la présente étude.
En effet, quand furent rédigées les premières copies du Nouveau Testament, tout indique que la coutume juive d'employer le nom divin sous une forme hébraïque fut adoptée au sein du texte grec néotestamentaire. Avec l'extension phénoménale du christianisme, et les revers qu'il subit dans ses terres d'origine, le message évangélique se répandit en terrain gentil, où non seulement l'hébreu était inconnu, mais encore étrangère l'idée que le Dieu Suprême pût être nommé.
Le nom divin disparut donc au gré des nouvelles copies, et fut remplacé par un vocable plus en vogue à l'époque : " Seigneur ". Cela eut pour fâcheux résultat une formidable confusion sur l'identité de Dieu et de Jésus, tous deux " Seigneurs ", qui subsiste à ce jour. Aussi peut-on comparer le nom divin dans le Nouveau Testament à une météorite pulvérisée après avoir creusé un cratère. Il était. Il n'est plus.
Son impact est énorme.
En effet, quand furent rédigées les premières copies du Nouveau Testament, tout indique que la coutume juive d'employer le nom divin sous une forme hébraïque fut adoptée au sein du texte grec néotestamentaire. Avec l'extension phénoménale du christianisme, et les revers qu'il subit dans ses terres d'origine, le message évangélique se répandit en terrain gentil, où non seulement l'hébreu était inconnu, mais encore étrangère l'idée que le Dieu Suprême pût être nommé.
Le nom divin disparut donc au gré des nouvelles copies, et fut remplacé par un vocable plus en vogue à l'époque : " Seigneur ". Cela eut pour fâcheux résultat une formidable confusion sur l'identité de Dieu et de Jésus, tous deux " Seigneurs ", qui subsiste à ce jour. Aussi peut-on comparer le nom divin dans le Nouveau Testament à une météorite pulvérisée après avoir creusé un cratère. Il était. Il n'est plus.
Son impact est énorme.
Pour des milliards de chrétiens dans le monde, Jésus Christ est Dieu. Ce dogme est si fondamental qu'il constitue l'essence du christianisme moderne, sa condition sine qua non. Cette croyance s'appuie notamment sur la constatation que, dans le Nouveau Testament, les disciples de Jésus appliquent à leur Maître les citations bibliques qui intéressent le Dieu d'Israël. Mais ce rapprochement n'est possible que par suite d'un processus historique dont fait état la présente étude.
En effet, quand furent rédigées les premières copies du Nouveau Testament, tout indique que la coutume juive d'employer le nom divin sous une forme hébraïque fut adoptée au sein du texte grec néotestamentaire. Avec l'extension phénoménale du christianisme, et les revers qu'il subit dans ses terres d'origine, le message évangélique se répandit en terrain gentil, où non seulement l'hébreu était inconnu, mais encore étrangère l'idée que le Dieu Suprême pût être nommé.
Le nom divin disparut donc au gré des nouvelles copies, et fut remplacé par un vocable plus en vogue à l'époque : " Seigneur ". Cela eut pour fâcheux résultat une formidable confusion sur l'identité de Dieu et de Jésus, tous deux " Seigneurs ", qui subsiste à ce jour. Aussi peut-on comparer le nom divin dans le Nouveau Testament à une météorite pulvérisée après avoir creusé un cratère. Il était. Il n'est plus.
Son impact est énorme.
En effet, quand furent rédigées les premières copies du Nouveau Testament, tout indique que la coutume juive d'employer le nom divin sous une forme hébraïque fut adoptée au sein du texte grec néotestamentaire. Avec l'extension phénoménale du christianisme, et les revers qu'il subit dans ses terres d'origine, le message évangélique se répandit en terrain gentil, où non seulement l'hébreu était inconnu, mais encore étrangère l'idée que le Dieu Suprême pût être nommé.
Le nom divin disparut donc au gré des nouvelles copies, et fut remplacé par un vocable plus en vogue à l'époque : " Seigneur ". Cela eut pour fâcheux résultat une formidable confusion sur l'identité de Dieu et de Jésus, tous deux " Seigneurs ", qui subsiste à ce jour. Aussi peut-on comparer le nom divin dans le Nouveau Testament à une météorite pulvérisée après avoir creusé un cratère. Il était. Il n'est plus.
Son impact est énorme.