Le mouvement étudiant québécois des années 1960 et ses relations avec le mouvement international. La dynamique Québec - Canada - Etats - Unis - France
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages180
- FormatePub
- ISBN978-2-89448-282-7
- EAN9782894482827
- Date de parution16/11/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurÉditions du Septentrion
Résumé
Au cours des années 1960, de nombreux mouvements de contestation ont lieu partout dans le monde. De Paris à Berlin, de Berkeley à Toronto, de New York à Montréal, la jeunesse étudiante est au coeur de cette remise en question sociale. Les étudiants prennent la rue et font des marches de protestation pour revendiquer leurs droits, ils organisent des sit-in, des teach-in et des grèves de la faim. Tous les moyens sont bons pour se faire entendre.
Alors que l'on pourrait penser que les mouvements étudiants nationaux fonctionnent de façon indépendante et autonome, la simultanéité des contestations, la similitude des discours revendicateurs et le recours à des moyens de pression semblables amènent Jean Lamarre à se questionner sur les liens internationaux qui ont pu exister entre ces mouvements. Jean Lamarre est professeur titulaire au Département d'histoire du Collège militaire royal du Canada, à Kingston (Ontario).
Il est spécialiste en histoire sociale nord-américaine et s'intéresse depuis plusieurs années aux mouvements sociaux des années 1960. Il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques portant sur l'histoire des États-Unis et du Québec et s'intéresse particulièrement à l'histoire de la société canadienne-française.
Alors que l'on pourrait penser que les mouvements étudiants nationaux fonctionnent de façon indépendante et autonome, la simultanéité des contestations, la similitude des discours revendicateurs et le recours à des moyens de pression semblables amènent Jean Lamarre à se questionner sur les liens internationaux qui ont pu exister entre ces mouvements. Jean Lamarre est professeur titulaire au Département d'histoire du Collège militaire royal du Canada, à Kingston (Ontario).
Il est spécialiste en histoire sociale nord-américaine et s'intéresse depuis plusieurs années aux mouvements sociaux des années 1960. Il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques portant sur l'histoire des États-Unis et du Québec et s'intéresse particulièrement à l'histoire de la société canadienne-française.
Au cours des années 1960, de nombreux mouvements de contestation ont lieu partout dans le monde. De Paris à Berlin, de Berkeley à Toronto, de New York à Montréal, la jeunesse étudiante est au coeur de cette remise en question sociale. Les étudiants prennent la rue et font des marches de protestation pour revendiquer leurs droits, ils organisent des sit-in, des teach-in et des grèves de la faim. Tous les moyens sont bons pour se faire entendre.
Alors que l'on pourrait penser que les mouvements étudiants nationaux fonctionnent de façon indépendante et autonome, la simultanéité des contestations, la similitude des discours revendicateurs et le recours à des moyens de pression semblables amènent Jean Lamarre à se questionner sur les liens internationaux qui ont pu exister entre ces mouvements. Jean Lamarre est professeur titulaire au Département d'histoire du Collège militaire royal du Canada, à Kingston (Ontario).
Il est spécialiste en histoire sociale nord-américaine et s'intéresse depuis plusieurs années aux mouvements sociaux des années 1960. Il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques portant sur l'histoire des États-Unis et du Québec et s'intéresse particulièrement à l'histoire de la société canadienne-française.
Alors que l'on pourrait penser que les mouvements étudiants nationaux fonctionnent de façon indépendante et autonome, la simultanéité des contestations, la similitude des discours revendicateurs et le recours à des moyens de pression semblables amènent Jean Lamarre à se questionner sur les liens internationaux qui ont pu exister entre ces mouvements. Jean Lamarre est professeur titulaire au Département d'histoire du Collège militaire royal du Canada, à Kingston (Ontario).
Il est spécialiste en histoire sociale nord-américaine et s'intéresse depuis plusieurs années aux mouvements sociaux des années 1960. Il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques portant sur l'histoire des États-Unis et du Québec et s'intéresse particulièrement à l'histoire de la société canadienne-française.