Le langage meurtrier
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages310
- FormatPDF
- ISBN2-7056-7244-3
- EAN9782705672447
- Date de parution07/02/1996
- Protection num.Adobe DRM
- Taille92 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Après ses Langages totalitaires d'il y a un quart de siècle, le voici alerté par les récents appels au meurtre et leur action néfaste sur des innocents devenant criminels. Il rappelle comment de simples mots, de saints mots même, peuvent engendrer le mal, le mal absolu. Le langage meurtrier du vingtième siècle, puisant à plusieurs sources antérieures, a façonné des trames meurtrières, aussi dangereuses que des armes.
Et sans lesquelles les armes n'auraient pas parlé. Tissées sur la grille lourde des nappes économiques, elles anticipent déjà sur le règne des média. Rien n 'arrête plus, semble-t-il, la machine abominable. Une fois ourdie sur la chaîne de l'Histoire et des dispositifs d'État. Qu'il s'agisse du roman criminel par quoi est produit le Reich nazi ou d 'autres figures du langage meurtrier. La montée des trames de meurtre, on peut encore l'observer sous des formes différentes.
Il s'agit toujours de détruire la parole de l'autre, et d'en arracher l'inscription. La langue de meurtre peut se retourner sur elle-même. Pour devenir, au nom prétendu des victimes, la mise à mort du principe de paix. C'est pourtant lui, au futur, qui pourra les sauver.
Et sans lesquelles les armes n'auraient pas parlé. Tissées sur la grille lourde des nappes économiques, elles anticipent déjà sur le règne des média. Rien n 'arrête plus, semble-t-il, la machine abominable. Une fois ourdie sur la chaîne de l'Histoire et des dispositifs d'État. Qu'il s'agisse du roman criminel par quoi est produit le Reich nazi ou d 'autres figures du langage meurtrier. La montée des trames de meurtre, on peut encore l'observer sous des formes différentes.
Il s'agit toujours de détruire la parole de l'autre, et d'en arracher l'inscription. La langue de meurtre peut se retourner sur elle-même. Pour devenir, au nom prétendu des victimes, la mise à mort du principe de paix. C'est pourtant lui, au futur, qui pourra les sauver.
Après ses Langages totalitaires d'il y a un quart de siècle, le voici alerté par les récents appels au meurtre et leur action néfaste sur des innocents devenant criminels. Il rappelle comment de simples mots, de saints mots même, peuvent engendrer le mal, le mal absolu. Le langage meurtrier du vingtième siècle, puisant à plusieurs sources antérieures, a façonné des trames meurtrières, aussi dangereuses que des armes.
Et sans lesquelles les armes n'auraient pas parlé. Tissées sur la grille lourde des nappes économiques, elles anticipent déjà sur le règne des média. Rien n 'arrête plus, semble-t-il, la machine abominable. Une fois ourdie sur la chaîne de l'Histoire et des dispositifs d'État. Qu'il s'agisse du roman criminel par quoi est produit le Reich nazi ou d 'autres figures du langage meurtrier. La montée des trames de meurtre, on peut encore l'observer sous des formes différentes.
Il s'agit toujours de détruire la parole de l'autre, et d'en arracher l'inscription. La langue de meurtre peut se retourner sur elle-même. Pour devenir, au nom prétendu des victimes, la mise à mort du principe de paix. C'est pourtant lui, au futur, qui pourra les sauver.
Et sans lesquelles les armes n'auraient pas parlé. Tissées sur la grille lourde des nappes économiques, elles anticipent déjà sur le règne des média. Rien n 'arrête plus, semble-t-il, la machine abominable. Une fois ourdie sur la chaîne de l'Histoire et des dispositifs d'État. Qu'il s'agisse du roman criminel par quoi est produit le Reich nazi ou d 'autres figures du langage meurtrier. La montée des trames de meurtre, on peut encore l'observer sous des formes différentes.
Il s'agit toujours de détruire la parole de l'autre, et d'en arracher l'inscription. La langue de meurtre peut se retourner sur elle-même. Pour devenir, au nom prétendu des victimes, la mise à mort du principe de paix. C'est pourtant lui, au futur, qui pourra les sauver.