Le duc et la société. Pouvoirs et groupes sociaux dans la Gascogne bordelaise au XIIe siècle (1075-1199)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages440
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-35613-575-9
- EAN9782356135759
- Date de parution02/03/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurAusonius Éditions
Résumé
Bien éclairée par les cartulaires ecclésiastiques à partir des années 1070-1080, la société du Bordelais offre une organisation des pouvoirs particulière. Cette étude montre que la figure ducale, habituellement minorée par l'historiographie, peut être réévaluée. À la tête d'un domaine dont l'emprise territoriale est reconstituée, dominant un tissu seigneurial marqué par des seigneuries locales et des seigneuries châtelaines ne lui portant pas ombrage, le duc d'Aquitaine reste dans cette partie de la Gascogne, en dépit de ses absences, une figure majeure.
La paysannerie libre y est importante. Le mariage d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt change la donne (1152). Dans les décennies qui suivent, le roi d'Angleterre et son fils, Richard Cour de Lion, engagés dans de fréquents conflits, imposent un renforcement de leur autorité par l'introduction de nouvelles coutumes féodales, le relèvement de la fiscalité et par le biais de la paix du roi.
Les liens sont renforcés avec l'aristocratie, nettement militarisée, ainsi qu'avec les communautés, requises au service militaire ou associées à la perception des revenus publics. Les années 1180 marquent l'acmé de ce premier temps du roi-duc.
La paysannerie libre y est importante. Le mariage d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt change la donne (1152). Dans les décennies qui suivent, le roi d'Angleterre et son fils, Richard Cour de Lion, engagés dans de fréquents conflits, imposent un renforcement de leur autorité par l'introduction de nouvelles coutumes féodales, le relèvement de la fiscalité et par le biais de la paix du roi.
Les liens sont renforcés avec l'aristocratie, nettement militarisée, ainsi qu'avec les communautés, requises au service militaire ou associées à la perception des revenus publics. Les années 1180 marquent l'acmé de ce premier temps du roi-duc.
Bien éclairée par les cartulaires ecclésiastiques à partir des années 1070-1080, la société du Bordelais offre une organisation des pouvoirs particulière. Cette étude montre que la figure ducale, habituellement minorée par l'historiographie, peut être réévaluée. À la tête d'un domaine dont l'emprise territoriale est reconstituée, dominant un tissu seigneurial marqué par des seigneuries locales et des seigneuries châtelaines ne lui portant pas ombrage, le duc d'Aquitaine reste dans cette partie de la Gascogne, en dépit de ses absences, une figure majeure.
La paysannerie libre y est importante. Le mariage d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt change la donne (1152). Dans les décennies qui suivent, le roi d'Angleterre et son fils, Richard Cour de Lion, engagés dans de fréquents conflits, imposent un renforcement de leur autorité par l'introduction de nouvelles coutumes féodales, le relèvement de la fiscalité et par le biais de la paix du roi.
Les liens sont renforcés avec l'aristocratie, nettement militarisée, ainsi qu'avec les communautés, requises au service militaire ou associées à la perception des revenus publics. Les années 1180 marquent l'acmé de ce premier temps du roi-duc.
La paysannerie libre y est importante. Le mariage d'Aliénor d'Aquitaine et d'Henri II Plantagenêt change la donne (1152). Dans les décennies qui suivent, le roi d'Angleterre et son fils, Richard Cour de Lion, engagés dans de fréquents conflits, imposent un renforcement de leur autorité par l'introduction de nouvelles coutumes féodales, le relèvement de la fiscalité et par le biais de la paix du roi.
Les liens sont renforcés avec l'aristocratie, nettement militarisée, ainsi qu'avec les communautés, requises au service militaire ou associées à la perception des revenus publics. Les années 1180 marquent l'acmé de ce premier temps du roi-duc.