Le don du rien. Essai d'anthropologie de la fête
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages218
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-48507-5
- EAN9782296485075
- Date de parution01/03/2012
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille20 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAlain Caillé
Résumé
Publié en 1977, jamais réédité depuis, Le don du rien méritait d'être remis à la disposition des chercheurs et étudiants, mais aussi du public en général, car il permet de jeter un regard étonnamment frais sur notre époque. En effet, les hypothèses qu'il présente " concernant les activités délirantes qui révèlent l'excès de dynamisme ou de vitalité par lequel l'homme se distingue de la bête : le symbolisme, le jeu, la transe, le rire - et surtout le don.
Le don qui, dépouillé de nos idées de négoce, est bien le ''sacrifice inutile'', le don du rien - la meilleure part de l'homme " n'ont pas pris une ride.
Le don qui, dépouillé de nos idées de négoce, est bien le ''sacrifice inutile'', le don du rien - la meilleure part de l'homme " n'ont pas pris une ride.
Publié en 1977, jamais réédité depuis, Le don du rien méritait d'être remis à la disposition des chercheurs et étudiants, mais aussi du public en général, car il permet de jeter un regard étonnamment frais sur notre époque. En effet, les hypothèses qu'il présente " concernant les activités délirantes qui révèlent l'excès de dynamisme ou de vitalité par lequel l'homme se distingue de la bête : le symbolisme, le jeu, la transe, le rire - et surtout le don.
Le don qui, dépouillé de nos idées de négoce, est bien le ''sacrifice inutile'', le don du rien - la meilleure part de l'homme " n'ont pas pris une ride.
Le don qui, dépouillé de nos idées de négoce, est bien le ''sacrifice inutile'', le don du rien - la meilleure part de l'homme " n'ont pas pris une ride.