Le déchet, c'est les autres
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages192
- FormatePub
- ISBN2-7492-1917-5
- EAN9782749219172
- Date de parution14/09/2006
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurEres
Résumé
« Chacun de nous est ce qu'il jette. Si tu évites de regarder ta poubelle en face, si tu te bouches le nez, c'est parce que tu ne veux pas te voir, te sentir » (citation empruntée à l'artiste Arman). Les déchets sont source de psycho-socio-pathologies. Ils sont objets de répulsion pour beaucoup (pouvant aller jusqu'à des phobies et des troubles obsessionnels compulsifs), mais aussi, à l'inverse, d'attraction pour d'autres.
Ce livre vise à montrer : - qu'il peut s'agir de vrais ou de faux déchets, que le déchet « absolu » n'existe pas, qu'il faut relativiser, et que le rebut est susceptible d'être transformé en ressource ; - que la répulsion résulte d'un ordre social et mental construit, qui comporte une part d'arbitraire, et que l'attraction, lorsqu'elle n'est pas instinctive, s'inscrit en réaction contre cet ordre.
L'enjeu consiste à rendre le déchet tolérable, acceptable, ce qui passe par une réappropriation psychosociologique. Gérard Bertolini, directeur de recherche au CNRS (Laboratoire d'analyse des systèmes de santé, Lyon).
Ce livre vise à montrer : - qu'il peut s'agir de vrais ou de faux déchets, que le déchet « absolu » n'existe pas, qu'il faut relativiser, et que le rebut est susceptible d'être transformé en ressource ; - que la répulsion résulte d'un ordre social et mental construit, qui comporte une part d'arbitraire, et que l'attraction, lorsqu'elle n'est pas instinctive, s'inscrit en réaction contre cet ordre.
L'enjeu consiste à rendre le déchet tolérable, acceptable, ce qui passe par une réappropriation psychosociologique. Gérard Bertolini, directeur de recherche au CNRS (Laboratoire d'analyse des systèmes de santé, Lyon).
« Chacun de nous est ce qu'il jette. Si tu évites de regarder ta poubelle en face, si tu te bouches le nez, c'est parce que tu ne veux pas te voir, te sentir » (citation empruntée à l'artiste Arman). Les déchets sont source de psycho-socio-pathologies. Ils sont objets de répulsion pour beaucoup (pouvant aller jusqu'à des phobies et des troubles obsessionnels compulsifs), mais aussi, à l'inverse, d'attraction pour d'autres.
Ce livre vise à montrer : - qu'il peut s'agir de vrais ou de faux déchets, que le déchet « absolu » n'existe pas, qu'il faut relativiser, et que le rebut est susceptible d'être transformé en ressource ; - que la répulsion résulte d'un ordre social et mental construit, qui comporte une part d'arbitraire, et que l'attraction, lorsqu'elle n'est pas instinctive, s'inscrit en réaction contre cet ordre.
L'enjeu consiste à rendre le déchet tolérable, acceptable, ce qui passe par une réappropriation psychosociologique. Gérard Bertolini, directeur de recherche au CNRS (Laboratoire d'analyse des systèmes de santé, Lyon).
Ce livre vise à montrer : - qu'il peut s'agir de vrais ou de faux déchets, que le déchet « absolu » n'existe pas, qu'il faut relativiser, et que le rebut est susceptible d'être transformé en ressource ; - que la répulsion résulte d'un ordre social et mental construit, qui comporte une part d'arbitraire, et que l'attraction, lorsqu'elle n'est pas instinctive, s'inscrit en réaction contre cet ordre.
L'enjeu consiste à rendre le déchet tolérable, acceptable, ce qui passe par une réappropriation psychosociologique. Gérard Bertolini, directeur de recherche au CNRS (Laboratoire d'analyse des systèmes de santé, Lyon).