Le crâne de Schiller. Langue incomparable de la tête de mort
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- Nombre de pages212
- FormatPDF
- ISBN2-7056-7940-5
- EAN9782705679408
- Date de parution05/04/2006
- Protection num.Adobe DRM
- Taille171 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- PréfacierLaurent Cassagnau
Résumé
Langue incomparable de la tête de mort : elle unit l'absence totale d'expression (le noir des orbites) à l'expression la plus sauvage (la grimace de la denture). (Walter Benjamin, Sens unique) 1626, Weimar : Goethe fait exhumer les ossements de son ami Schiller, mort vingt et un ans auparavant. Comme une manière de prolonger le dialogue avec lui, il place le crâne de l'illustre poète sur sa table de travail.
Puisant son inspiration dans cette dépouille macabre, il rédige un magnifique poème imité de Dante, qui fait entendre l'écho de la pensée divine que recèle encore cette muse lugubre. A partir de ce trait historique, Gilles Jallet propose un parcours original dans la littérature, de Goethe à Celan, en passant par Novalis, Hölderlin, Mallarmé, Joë Bousquet, Roger Laporte et André du Bouchet, afin d'étudier cette « langue incomparable » qui, de l'intérieur, vient ruiner, briser et désintégrer, comme une tête de mort, la belle totalité et l'ordonnance harmonieuse du poème goethéen.
Un essai de critique littéraire alerte et fascinant.
Puisant son inspiration dans cette dépouille macabre, il rédige un magnifique poème imité de Dante, qui fait entendre l'écho de la pensée divine que recèle encore cette muse lugubre. A partir de ce trait historique, Gilles Jallet propose un parcours original dans la littérature, de Goethe à Celan, en passant par Novalis, Hölderlin, Mallarmé, Joë Bousquet, Roger Laporte et André du Bouchet, afin d'étudier cette « langue incomparable » qui, de l'intérieur, vient ruiner, briser et désintégrer, comme une tête de mort, la belle totalité et l'ordonnance harmonieuse du poème goethéen.
Un essai de critique littéraire alerte et fascinant.
Langue incomparable de la tête de mort : elle unit l'absence totale d'expression (le noir des orbites) à l'expression la plus sauvage (la grimace de la denture). (Walter Benjamin, Sens unique) 1626, Weimar : Goethe fait exhumer les ossements de son ami Schiller, mort vingt et un ans auparavant. Comme une manière de prolonger le dialogue avec lui, il place le crâne de l'illustre poète sur sa table de travail.
Puisant son inspiration dans cette dépouille macabre, il rédige un magnifique poème imité de Dante, qui fait entendre l'écho de la pensée divine que recèle encore cette muse lugubre. A partir de ce trait historique, Gilles Jallet propose un parcours original dans la littérature, de Goethe à Celan, en passant par Novalis, Hölderlin, Mallarmé, Joë Bousquet, Roger Laporte et André du Bouchet, afin d'étudier cette « langue incomparable » qui, de l'intérieur, vient ruiner, briser et désintégrer, comme une tête de mort, la belle totalité et l'ordonnance harmonieuse du poème goethéen.
Un essai de critique littéraire alerte et fascinant.
Puisant son inspiration dans cette dépouille macabre, il rédige un magnifique poème imité de Dante, qui fait entendre l'écho de la pensée divine que recèle encore cette muse lugubre. A partir de ce trait historique, Gilles Jallet propose un parcours original dans la littérature, de Goethe à Celan, en passant par Novalis, Hölderlin, Mallarmé, Joë Bousquet, Roger Laporte et André du Bouchet, afin d'étudier cette « langue incomparable » qui, de l'intérieur, vient ruiner, briser et désintégrer, comme une tête de mort, la belle totalité et l'ordonnance harmonieuse du poème goethéen.
Un essai de critique littéraire alerte et fascinant.