Le cheminement de la pensée selon Emile Meyerson
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- Nombre de pages160
- FormatePub
- ISBN978-2-13-064076-9
- EAN9782130640769
- Date de parution17/09/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPUF
Résumé
On présente le plus souvent l'ouvre d'Emile Meyerson comme une épistémologie. On fait même crédit à cet auteur d'avoir introduit le terme en français et d'avoir fixé son sens de « philosophie des sciences ». Jusqu'alors, le mot avait cours en anglais, où il était synonyme de « théorie de la connaissance ». Mais on adresse à Meyerson le reproche, surtout en France à la suite de Gaston Bachelard, d'avoir outrepassé illégitimement les limites de l'épistémologie en proclamant la continuité entre la science et le sens commun.
Il semble qu'on fait là un mauvais procès à Meyerson, en méconnaissant l'intention claire et délibérée de son entreprise philosophique. L'auteur se focalise donc sur le dernier grand livre de Meyerson, Du cheminement de la pensée (1931), qui n'entend pas se rapporter spécialement à la philosophie des sciences mais atteint le but affiché dès ses premiers essais : par-delà la philosophie des sciences, Meyerson a effectivement développé une « philosophie de l'intellect ».
Il semble qu'on fait là un mauvais procès à Meyerson, en méconnaissant l'intention claire et délibérée de son entreprise philosophique. L'auteur se focalise donc sur le dernier grand livre de Meyerson, Du cheminement de la pensée (1931), qui n'entend pas se rapporter spécialement à la philosophie des sciences mais atteint le but affiché dès ses premiers essais : par-delà la philosophie des sciences, Meyerson a effectivement développé une « philosophie de l'intellect ».
On présente le plus souvent l'ouvre d'Emile Meyerson comme une épistémologie. On fait même crédit à cet auteur d'avoir introduit le terme en français et d'avoir fixé son sens de « philosophie des sciences ». Jusqu'alors, le mot avait cours en anglais, où il était synonyme de « théorie de la connaissance ». Mais on adresse à Meyerson le reproche, surtout en France à la suite de Gaston Bachelard, d'avoir outrepassé illégitimement les limites de l'épistémologie en proclamant la continuité entre la science et le sens commun.
Il semble qu'on fait là un mauvais procès à Meyerson, en méconnaissant l'intention claire et délibérée de son entreprise philosophique. L'auteur se focalise donc sur le dernier grand livre de Meyerson, Du cheminement de la pensée (1931), qui n'entend pas se rapporter spécialement à la philosophie des sciences mais atteint le but affiché dès ses premiers essais : par-delà la philosophie des sciences, Meyerson a effectivement développé une « philosophie de l'intellect ».
Il semble qu'on fait là un mauvais procès à Meyerson, en méconnaissant l'intention claire et délibérée de son entreprise philosophique. L'auteur se focalise donc sur le dernier grand livre de Meyerson, Du cheminement de la pensée (1931), qui n'entend pas se rapporter spécialement à la philosophie des sciences mais atteint le but affiché dès ses premiers essais : par-delà la philosophie des sciences, Meyerson a effectivement développé une « philosophie de l'intellect ».



















