Le château blanc

Par : Orhan Pamuk

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  • FormatePub
  • ISBN978-2-07-244719-8
  • EAN9782072447198
  • Date de parution20/11/2012
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille522 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Le narrateur est un Italien de vingt ans, féru d'astronomie et de mathématiques. Capturé par des marins turcs et jeté dans la prison d'Istanbul, il se dit médecin, et est offert comme esclave à un hodja, un savant. Le maître oriental et l'esclave occidental se ressemblent de manière effrayante, éprouvent une méfiance immédiate l'un pour l'autre. Mais ils ne se séparent pas, vivent ensemble, travaillent ensemble, quotidiennement, d'abord sur la pyrotechnie, ensuite sur une horloge, enfin sur une redoutable machine de guerre pour Mehmet IV, dit le Chasseur, sultan de 1648 à 1687.
Ensemble encore, ils contribuent à l'éradication d'une épidémie de peste. Tantôt dominant, tantôt dominé, des années durant, chacun raconte sa vie à l'autre. Puis les deux doubles doivent s'engager, avec leur machine de guerre, dans la désastreuse campagne polonaise. Mise à l'essai sur un château blanc, la machine ne fonctionne pas. Craignant pour sa vie, le Maître usurpe l'identité, la personnalité et le passé du narrateur.
Celui-ci reste à Istanbul, devient le Maître. Des années plus tard, il entend parler de l'Autre, comme d'un ancien esclave capturé par des marins turcs, et qui s'est évadé...
Le narrateur est un Italien de vingt ans, féru d'astronomie et de mathématiques. Capturé par des marins turcs et jeté dans la prison d'Istanbul, il se dit médecin, et est offert comme esclave à un hodja, un savant. Le maître oriental et l'esclave occidental se ressemblent de manière effrayante, éprouvent une méfiance immédiate l'un pour l'autre. Mais ils ne se séparent pas, vivent ensemble, travaillent ensemble, quotidiennement, d'abord sur la pyrotechnie, ensuite sur une horloge, enfin sur une redoutable machine de guerre pour Mehmet IV, dit le Chasseur, sultan de 1648 à 1687.
Ensemble encore, ils contribuent à l'éradication d'une épidémie de peste. Tantôt dominant, tantôt dominé, des années durant, chacun raconte sa vie à l'autre. Puis les deux doubles doivent s'engager, avec leur machine de guerre, dans la désastreuse campagne polonaise. Mise à l'essai sur un château blanc, la machine ne fonctionne pas. Craignant pour sa vie, le Maître usurpe l'identité, la personnalité et le passé du narrateur.
Celui-ci reste à Istanbul, devient le Maître. Des années plus tard, il entend parler de l'Autre, comme d'un ancien esclave capturé par des marins turcs, et qui s'est évadé...

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 4 notes dont 2 avis lecteurs
Ennuyeux...
Après "Mon nom est Rouge" et "Neige", dont l'atmosphère m'avait beaucoup plu, c'est avec enthousiasme que je me suis lancée dans la lecture du "Château blanc"...mais j'ai vite déchantée. Les premières pages promettaient beaucoup, mais je n'ai pas réussi à rentrer dans cette histoire de double personnages sur fond de quête d'identité. Je me suis ennuyée...
Après "Mon nom est Rouge" et "Neige", dont l'atmosphère m'avait beaucoup plu, c'est avec enthousiasme que je me suis lancée dans la lecture du "Château blanc"...mais j'ai vite déchantée. Les premières pages promettaient beaucoup, mais je n'ai pas réussi à rentrer dans cette histoire de double personnages sur fond de quête d'identité. Je me suis ennuyée...
  • XVIIe siècle
  • Turquie
  • Ennuyant
Doppelgänger
Au XVIe siècle, un jeune Vénitien est capturé et emmené à Constantinople. Là, il est donné comme esclave au « Maître », un homme de science auquel il ressemble étrangement. Au cours des années qui suivent, l’esclave enseigne au Maître les sciences et technologies occidentales. Ensembles, ils contribuent à l’éradication d’une épidémie de peste, conçoivent une horloge puis une machine de guerre, écrivent de nombreux livres. La 4e de couverture de Gallimard est factuellement correcte, mais elle ne rend absolument pas compte de l’atmosphère du roman. Il s’agit en fait du récit d’une relation fusionnelle, co-dépendante, entre un maître et son esclave, un maître et son élève, où l’un et l’autre ne sont pas forcément ceux que l’on pense. Cette relation complètement malsaine, faite de manipulations conscientes et inconscientes, rappelle un peu les pièces d’Harold Pinter. Les autres personnages sont peu nombreux, et ne servent qu’à accentuer l’extrême insularité de la relation. Le Château blanc est une longue question sur l’identité, sur ce qui fait que je suis moi et pas un autre. Fabuleux !
Au XVIe siècle, un jeune Vénitien est capturé et emmené à Constantinople. Là, il est donné comme esclave au « Maître », un homme de science auquel il ressemble étrangement. Au cours des années qui suivent, l’esclave enseigne au Maître les sciences et technologies occidentales. Ensembles, ils contribuent à l’éradication d’une épidémie de peste, conçoivent une horloge puis une machine de guerre, écrivent de nombreux livres. La 4e de couverture de Gallimard est factuellement correcte, mais elle ne rend absolument pas compte de l’atmosphère du roman. Il s’agit en fait du récit d’une relation fusionnelle, co-dépendante, entre un maître et son esclave, un maître et son élève, où l’un et l’autre ne sont pas forcément ceux que l’on pense. Cette relation complètement malsaine, faite de manipulations conscientes et inconscientes, rappelle un peu les pièces d’Harold Pinter. Les autres personnages sont peu nombreux, et ne servent qu’à accentuer l’extrême insularité de la relation. Le Château blanc est une longue question sur l’identité, sur ce qui fait que je suis moi et pas un autre. Fabuleux !
  • Indispensable
  • Eblouissant
  • XVIe siècle
  • Constantinople
  • Turquie
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