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À découvrir
on retrouve les personnages du premier tome, avec une petite fille qui donne une note de légèreté et d'insouciance.
Les histoires sont toujours émouvantes.
Les prénoms sont parfois difficiles à distinguer à l'instar de la littérature islandaise.
J'ai été touchée par les histoires partagées dans ce livre, qui nous amène aussi nous à nous demander à qui on aimerait dire quelquechose, dans le passé ou le présent ... Qu'est-ce qu'on leur dirait ? L'équipe de ce café respire la patience, la bienveillance, l'humanité. J'imagine ces gens plein de douceur et souriants. Dans une atmosphère douce et cocon, ce livre invite presque à la méditation, au moins au calme.
J'étais toutefois perdue par l'abondance de personnages. C'est quelquechose que j'avais déjà ressenti dans de précédents ouvrages de la littérature asiatique.
Ce livre n'a pas fait exception.
Finalement, une belle découverte qui m'a donné envie de découvrir encore plus la beauté de la littérature asiatique.
Une belle suite
Suite de cette série où, dans un café, on peut remonter le temps. On y retrouve les protagonistes du premier tome et nous avons des éclaircissements sur la femme en blanc, sur qui peut faire les cafés et quand elles ne le peuvent plus. On y suit aussi de nouvelles personnes, cette fois autant de personnes qui vont dans le passé que dans le présent.
J'ai beaucoup aimé ce tome, car il y a moins d'explications sur les consignes pour le café. On s'attarde plus sur la raison et les sentiments de la personne.
J'ai trouvé très beau l'accueil de certains quand ils se rencontrent. Même s'ils comprennent pourquoi ils sont là, ils y prennent part sereinement et cela donne un encouragement à celui qui traverse les époques.
L'auteur nous fait savoir qu'il faut dire les choses, pour ne pas vivre dans le regret et que la disparition d'un être est importante. Même si ce café existe, parlons-nous, car nous n'avons qu'une seule chance, ce qui n'est pas le cas dans la vraie vie. Alors disons les choses avant que le café ne refroidisse.