LA SOLITUDE DES RENAISSANTS. Malheurs et sorcellerie dans les Andes
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- Nombre de pages236
- FormatPDF
- ISBN2-296-36920-0
- EAN9782296369207
- Date de parution01/01/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Les Renaissants, Indiens de Pindilig, village perdu des Andes équatoriennes, sont à la fois coupés de leurs racines anciennes, par une évangélisation multiséculaire, et du monde moderne par l'archaïsme de leurs coutumes. Ces hommes, accrochés aux pentes surpeuplées d'un pauvre terroir, écartelés entre leur fidélité à leur origine et leur désir d'échapper à la malédiction d'être indien, vivent avec une intensité dramatique, qui n'exclut d'ailleurs ni la tendresse ni le rire, les multiples malheurs naturels, biologiques qui s'abattent sur eux.
Ils les attribuent tour à tour au châtiment de Dieu, à la malveillance des sorcières ou au retour sous une forme infernale des vieilles divinités précolombiennes qui viennent les tourmenter dans leur corps. Le langage énigmatique et riche de ces Indiens, les personnages hauts en couleur qui peuplent ces pages, la multitude d'anecdotes étonnantes, l'évocation des hautes terres andines n'appartiennent pas au domaine de la fiction.
Carmen Bernand, l'auteur, a longtemps vécu parmi les Renaissants dont elle nous rend compte avec chaleur : le livre est traversé par l'expérience d'un engagement profond auprès de ces déshérités, grâce à quoi nous sont restitués avec force les événements qui scandent la vie quotidienne des Renaissants, derniers représentants d'un monde désuet où la cruauté et le merveilleux s'entremêlent de façon indissociable.
Ils les attribuent tour à tour au châtiment de Dieu, à la malveillance des sorcières ou au retour sous une forme infernale des vieilles divinités précolombiennes qui viennent les tourmenter dans leur corps. Le langage énigmatique et riche de ces Indiens, les personnages hauts en couleur qui peuplent ces pages, la multitude d'anecdotes étonnantes, l'évocation des hautes terres andines n'appartiennent pas au domaine de la fiction.
Carmen Bernand, l'auteur, a longtemps vécu parmi les Renaissants dont elle nous rend compte avec chaleur : le livre est traversé par l'expérience d'un engagement profond auprès de ces déshérités, grâce à quoi nous sont restitués avec force les événements qui scandent la vie quotidienne des Renaissants, derniers représentants d'un monde désuet où la cruauté et le merveilleux s'entremêlent de façon indissociable.
Les Renaissants, Indiens de Pindilig, village perdu des Andes équatoriennes, sont à la fois coupés de leurs racines anciennes, par une évangélisation multiséculaire, et du monde moderne par l'archaïsme de leurs coutumes. Ces hommes, accrochés aux pentes surpeuplées d'un pauvre terroir, écartelés entre leur fidélité à leur origine et leur désir d'échapper à la malédiction d'être indien, vivent avec une intensité dramatique, qui n'exclut d'ailleurs ni la tendresse ni le rire, les multiples malheurs naturels, biologiques qui s'abattent sur eux.
Ils les attribuent tour à tour au châtiment de Dieu, à la malveillance des sorcières ou au retour sous une forme infernale des vieilles divinités précolombiennes qui viennent les tourmenter dans leur corps. Le langage énigmatique et riche de ces Indiens, les personnages hauts en couleur qui peuplent ces pages, la multitude d'anecdotes étonnantes, l'évocation des hautes terres andines n'appartiennent pas au domaine de la fiction.
Carmen Bernand, l'auteur, a longtemps vécu parmi les Renaissants dont elle nous rend compte avec chaleur : le livre est traversé par l'expérience d'un engagement profond auprès de ces déshérités, grâce à quoi nous sont restitués avec force les événements qui scandent la vie quotidienne des Renaissants, derniers représentants d'un monde désuet où la cruauté et le merveilleux s'entremêlent de façon indissociable.
Ils les attribuent tour à tour au châtiment de Dieu, à la malveillance des sorcières ou au retour sous une forme infernale des vieilles divinités précolombiennes qui viennent les tourmenter dans leur corps. Le langage énigmatique et riche de ces Indiens, les personnages hauts en couleur qui peuplent ces pages, la multitude d'anecdotes étonnantes, l'évocation des hautes terres andines n'appartiennent pas au domaine de la fiction.
Carmen Bernand, l'auteur, a longtemps vécu parmi les Renaissants dont elle nous rend compte avec chaleur : le livre est traversé par l'expérience d'un engagement profond auprès de ces déshérités, grâce à quoi nous sont restitués avec force les événements qui scandent la vie quotidienne des Renaissants, derniers représentants d'un monde désuet où la cruauté et le merveilleux s'entremêlent de façon indissociable.