Chemin faisant. Espagne, guerre civile et exil

Par : Carmen Anton

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  • Nombre de pages236
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-23331-7
  • EAN9782296233317
  • Date de parution01/06/2009
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille8 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurCarmen Bernand

Résumé

L'histoire politique et culturelle de l'Espagne et, par extension de l'Europe, traverse les vingt-trois premières années de la vie de Carmen Anton : la fin de la monarchie d'Alphonse XIII, la proclamation de la République espagnole et surtout l'engagement de la troupe théâtrale itinérante " La Barraca " - créée par Federico Garcia Lorca - dont cette jeune Madrilène, étudiante en médecine, fait partie.
De cette expérience unique, Carmen Antôn livre un témoignage original et émouvant. À Paris, où elle est envoyée par le gouvernement républicain lors de l'Exposition internationale de 1936 pour travailler au pavillon de l'Espagne, elle côtoie Picasso et d'autres peintres et intellectuels. De retour en Espagne, alors en pleine guerre civile, son engagement aux côtés des Républicains l'amène à rester dans son pays qu'elle quitte cependant définitivement après la défaite, faisant partie des derniers réfugiés à passer la frontière pour la France, non sans difficultés.
En 1939, avec son mari le peintre Gori Munoz et sa fille de deux mois, elle quitte la France à bord du " Massilia " pour l'Argentine où elle vivra jus à sa mort, en septembre 2007. Un regard aigu, une personnalité attachante, une écriture dynamique (parfaitement servie par la traduction de l'anthropologue Carmen Bernand, sa fille) soutiennent ce récit autobiographique de Carmen Anton où s'entremêlent morceau d'histoire et de vies, où l'on croise nombre d'artistes et d'intellectuels tant européens que latino-américains, et où l'on assiste depuis Paris aux premiers épisodes de la Seconde-Guerre mondiale.
Un itinéraire de Madrid à Buenos Aires, emblématique de la période.
L'histoire politique et culturelle de l'Espagne et, par extension de l'Europe, traverse les vingt-trois premières années de la vie de Carmen Anton : la fin de la monarchie d'Alphonse XIII, la proclamation de la République espagnole et surtout l'engagement de la troupe théâtrale itinérante " La Barraca " - créée par Federico Garcia Lorca - dont cette jeune Madrilène, étudiante en médecine, fait partie.
De cette expérience unique, Carmen Antôn livre un témoignage original et émouvant. À Paris, où elle est envoyée par le gouvernement républicain lors de l'Exposition internationale de 1936 pour travailler au pavillon de l'Espagne, elle côtoie Picasso et d'autres peintres et intellectuels. De retour en Espagne, alors en pleine guerre civile, son engagement aux côtés des Républicains l'amène à rester dans son pays qu'elle quitte cependant définitivement après la défaite, faisant partie des derniers réfugiés à passer la frontière pour la France, non sans difficultés.
En 1939, avec son mari le peintre Gori Munoz et sa fille de deux mois, elle quitte la France à bord du " Massilia " pour l'Argentine où elle vivra jus à sa mort, en septembre 2007. Un regard aigu, une personnalité attachante, une écriture dynamique (parfaitement servie par la traduction de l'anthropologue Carmen Bernand, sa fille) soutiennent ce récit autobiographique de Carmen Anton où s'entremêlent morceau d'histoire et de vies, où l'on croise nombre d'artistes et d'intellectuels tant européens que latino-américains, et où l'on assiste depuis Paris aux premiers épisodes de la Seconde-Guerre mondiale.
Un itinéraire de Madrid à Buenos Aires, emblématique de la période.