La soif du gain

Par : Michael Walzer

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages64
  • FormatePub
  • ISBN978-2-85197-558-4
  • EAN9782851975584
  • Date de parution01/01/2012
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille358 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurL'Herne
  • TraducteurMyriam Dennehy
  • TraducteurErnst Dupont
  • TraducteurLaurent Thévenot

Résumé

Le 29 septembre 2008, à l'orée d'une crise financière et bancaire majeure, le philosophe américain Michael Walzer publiait dans la revue qu'il a fondée, Dissent, un article important, intitulé : « Une note sur l'avidité : qui est réellement responsable de la crise financière ? » L'argument de Walzer était simple, mais dévastateur : les politiques qui critiquent l'avidité des banquiers sont hypocrites, car c'est sur l'avidité que repose l'ensemble de notre système économique libéral, et cela dès ses fondements, qui remontent au XIXe siècle.
Quand la recherche du profit maximal est le seul dogme, le résultat ne peut qu'être le chaos. C'est pourquoi, à la « main invisible » du marché, Walzer préfère la « main visible » de l'État. Infatigable pourfendeur de la pensée libérale, Walzer prolonge et affine son analyse dans un autre article : « Qu'est-ce que « la Société Idéale » ? » Pour lui, le marché et la démocratie parlementaire ne sont pas les seuls modèles de société valables, car le monde n'est pas fait d'agents libres et autonomes, mais de communautés.
Ces communautés inventent constamment de nouvelles organisations économiques et sociales. Plus encore : une société est d'autant meilleure qu'elle est faite de davantage de contrastes, qu'elle est plurielle. Aux États-Unis, Walzer est le maître à penser de l'école des « communautariens », qui s'opposent aux libéraux : on achèvera ce parcours de sa pensée par un article dense et important, « Exclusion, injustice et démocratie », dans lequel il défend l'idée qu'il faut passer aujourd'hui d'une logique de compétition et d'exclusion, à un dynamique sociale d'« inclusion » des communautés.
Ces trois articles qu'on lira dans l'ordre, du plus incisif au plus théorique, offrent un nouveau visage à la pensée de gauche.
Le 29 septembre 2008, à l'orée d'une crise financière et bancaire majeure, le philosophe américain Michael Walzer publiait dans la revue qu'il a fondée, Dissent, un article important, intitulé : « Une note sur l'avidité : qui est réellement responsable de la crise financière ? » L'argument de Walzer était simple, mais dévastateur : les politiques qui critiquent l'avidité des banquiers sont hypocrites, car c'est sur l'avidité que repose l'ensemble de notre système économique libéral, et cela dès ses fondements, qui remontent au XIXe siècle.
Quand la recherche du profit maximal est le seul dogme, le résultat ne peut qu'être le chaos. C'est pourquoi, à la « main invisible » du marché, Walzer préfère la « main visible » de l'État. Infatigable pourfendeur de la pensée libérale, Walzer prolonge et affine son analyse dans un autre article : « Qu'est-ce que « la Société Idéale » ? » Pour lui, le marché et la démocratie parlementaire ne sont pas les seuls modèles de société valables, car le monde n'est pas fait d'agents libres et autonomes, mais de communautés.
Ces communautés inventent constamment de nouvelles organisations économiques et sociales. Plus encore : une société est d'autant meilleure qu'elle est faite de davantage de contrastes, qu'elle est plurielle. Aux États-Unis, Walzer est le maître à penser de l'école des « communautariens », qui s'opposent aux libéraux : on achèvera ce parcours de sa pensée par un article dense et important, « Exclusion, injustice et démocratie », dans lequel il défend l'idée qu'il faut passer aujourd'hui d'une logique de compétition et d'exclusion, à un dynamique sociale d'« inclusion » des communautés.
Ces trois articles qu'on lira dans l'ordre, du plus incisif au plus théorique, offrent un nouveau visage à la pensée de gauche.
Manuel d'action politique
Michael Walzer
E-book
9,99 €