La renaissance du cinéma brésilien, de l'Atlantide à la Cité de Dieu. Second volume, La complainte du phoenix (1970-2000)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages254
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-44535-2
- EAN9782296445352
- Date de parution01/01/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Voilà bientôt un demi-siècle que le cinéma brésilien vit sur le souvenir du cinema novo. Or son histoire est un véritable roman-feuilleton, scénario à rebondissements dont on dresse ici le panorama critique en mettant l'accent sur la quête d'identité dont elle porte trace. Quête cyclique d'un cinéma implanté dans un pays d'identité nationale, politique, raciale et culturelle métissée. Un cinéma irrégulièrement productif, chaotique et cahoté, divers, riche de contradictions liées aux soubresauts de la nation.
Après soixante années d'envols dignes de l'obstination d'Icare, ce second volume analyse les années 70 marquées par la Dictature militaire et l'organisme étatique Embrafilme, qui célèbre l'histoire d'amour du public brésilien avec son cinéma (Dona Flor et ses deux maris), puis la pornochanchada, comédie érotique médiocre discréditant pour longtemps le cinéma national. Les années 90 commencent par la mort du cinéma brésilien, gelé par le Président Collor.
Carlota Joaquina le ressuscite (1994) et la retomada (reprise toujours actuelle 16 ans après) est couronnée par les succès internationaux de Central do Brasil (1998-Walter Salles) puis Cidade de Deus (2002-Fernando Meirelles). Mais pourquoi le cinéma brésilien a-t-il tant de difficultés intra et extra muros ?
Après soixante années d'envols dignes de l'obstination d'Icare, ce second volume analyse les années 70 marquées par la Dictature militaire et l'organisme étatique Embrafilme, qui célèbre l'histoire d'amour du public brésilien avec son cinéma (Dona Flor et ses deux maris), puis la pornochanchada, comédie érotique médiocre discréditant pour longtemps le cinéma national. Les années 90 commencent par la mort du cinéma brésilien, gelé par le Président Collor.
Carlota Joaquina le ressuscite (1994) et la retomada (reprise toujours actuelle 16 ans après) est couronnée par les succès internationaux de Central do Brasil (1998-Walter Salles) puis Cidade de Deus (2002-Fernando Meirelles). Mais pourquoi le cinéma brésilien a-t-il tant de difficultés intra et extra muros ?
Voilà bientôt un demi-siècle que le cinéma brésilien vit sur le souvenir du cinema novo. Or son histoire est un véritable roman-feuilleton, scénario à rebondissements dont on dresse ici le panorama critique en mettant l'accent sur la quête d'identité dont elle porte trace. Quête cyclique d'un cinéma implanté dans un pays d'identité nationale, politique, raciale et culturelle métissée. Un cinéma irrégulièrement productif, chaotique et cahoté, divers, riche de contradictions liées aux soubresauts de la nation.
Après soixante années d'envols dignes de l'obstination d'Icare, ce second volume analyse les années 70 marquées par la Dictature militaire et l'organisme étatique Embrafilme, qui célèbre l'histoire d'amour du public brésilien avec son cinéma (Dona Flor et ses deux maris), puis la pornochanchada, comédie érotique médiocre discréditant pour longtemps le cinéma national. Les années 90 commencent par la mort du cinéma brésilien, gelé par le Président Collor.
Carlota Joaquina le ressuscite (1994) et la retomada (reprise toujours actuelle 16 ans après) est couronnée par les succès internationaux de Central do Brasil (1998-Walter Salles) puis Cidade de Deus (2002-Fernando Meirelles). Mais pourquoi le cinéma brésilien a-t-il tant de difficultés intra et extra muros ?
Après soixante années d'envols dignes de l'obstination d'Icare, ce second volume analyse les années 70 marquées par la Dictature militaire et l'organisme étatique Embrafilme, qui célèbre l'histoire d'amour du public brésilien avec son cinéma (Dona Flor et ses deux maris), puis la pornochanchada, comédie érotique médiocre discréditant pour longtemps le cinéma national. Les années 90 commencent par la mort du cinéma brésilien, gelé par le Président Collor.
Carlota Joaquina le ressuscite (1994) et la retomada (reprise toujours actuelle 16 ans après) est couronnée par les succès internationaux de Central do Brasil (1998-Walter Salles) puis Cidade de Deus (2002-Fernando Meirelles). Mais pourquoi le cinéma brésilien a-t-il tant de difficultés intra et extra muros ?