La pensée de Gilles Granger
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- Nombre de pages322
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7139-6
- EAN9782705671396
- Date de parution13/09/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
En étendant le concept d'« ouvre » du signe à la connaissance, Gilles-Gaston Granger a su redéfinir l'activité philosophique. En effet, selon lui, un « fait épistémologique » n'est pas seulement un « fait de science » ; il concerne non seulement le devenir de la science mais également la vie humaine dans son ensemble. L'enjeu de son travail a donc été avant tout de définir la tâche et les objectifs de la « discipline philosophique », notamment dans son rapport à l'histoire des sciences et au concept de science, car, comme il le démontre, « le scientifiquement connaissable dépend exclusivement des déploiements de la pensée formelle ».
Granger a ainsi fait porter sa réflexion sur l'émergence du formel à partir de la théorie aristotélicienne de la science, tout en renouvelant sous le nom de « topique comparative » une méthode dont le spectre, couvrant l'histoire de la géométrie depuis Euclide, s'étend jusqu'à Russell et Carnap. S'appliquant également à la linguistique et aux sciences humaines, sa pensée contraste ainsi avec la démarche exclusivement historique de son prédécesseur au Collège de France, Martial Guéroult.
Granger a ainsi fait porter sa réflexion sur l'émergence du formel à partir de la théorie aristotélicienne de la science, tout en renouvelant sous le nom de « topique comparative » une méthode dont le spectre, couvrant l'histoire de la géométrie depuis Euclide, s'étend jusqu'à Russell et Carnap. S'appliquant également à la linguistique et aux sciences humaines, sa pensée contraste ainsi avec la démarche exclusivement historique de son prédécesseur au Collège de France, Martial Guéroult.
En étendant le concept d'« ouvre » du signe à la connaissance, Gilles-Gaston Granger a su redéfinir l'activité philosophique. En effet, selon lui, un « fait épistémologique » n'est pas seulement un « fait de science » ; il concerne non seulement le devenir de la science mais également la vie humaine dans son ensemble. L'enjeu de son travail a donc été avant tout de définir la tâche et les objectifs de la « discipline philosophique », notamment dans son rapport à l'histoire des sciences et au concept de science, car, comme il le démontre, « le scientifiquement connaissable dépend exclusivement des déploiements de la pensée formelle ».
Granger a ainsi fait porter sa réflexion sur l'émergence du formel à partir de la théorie aristotélicienne de la science, tout en renouvelant sous le nom de « topique comparative » une méthode dont le spectre, couvrant l'histoire de la géométrie depuis Euclide, s'étend jusqu'à Russell et Carnap. S'appliquant également à la linguistique et aux sciences humaines, sa pensée contraste ainsi avec la démarche exclusivement historique de son prédécesseur au Collège de France, Martial Guéroult.
Granger a ainsi fait porter sa réflexion sur l'émergence du formel à partir de la théorie aristotélicienne de la science, tout en renouvelant sous le nom de « topique comparative » une méthode dont le spectre, couvrant l'histoire de la géométrie depuis Euclide, s'étend jusqu'à Russell et Carnap. S'appliquant également à la linguistique et aux sciences humaines, sa pensée contraste ainsi avec la démarche exclusivement historique de son prédécesseur au Collège de France, Martial Guéroult.