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  • Nombre de pages165
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-13346-0
  • EAN9782221133460
  • Date de parution23/08/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille819 Ko
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Quand les hommes se transforment en zombies, et qu'un jeune écrivain se trouve seul confrontéà cette violente apocalypse, il n'est finalement pas si surpris. Depuis longtemps l'homme a fait preuve de sa décadence et de sa cruauté. Aujourd'hui, un pas de plus dans l'abomination a été franchi : il est devenu un monstre anthropophage. Face à cette nuit de cauchemar, tel Robinson sur son île, le jeune survivant s'organise.
Il vit reclus dans un appartement et se croit un temps à l'abri, en dépit des attaques répétées des morts-vivants. Mais la folie de ce nouveau monde fait vaciller sa propre raison. Pour échapper au désespoir, il réapprend à vivre et à lutter, Armé d'un fusil, il découvre avec surprise qu'il peut tuer et qu'il a même un certain talent pour ça. En réinterrogant son passé, il se livre aussi à une introspection sensible sur sa propre condition et les raisons de ses échecs passés.
C'est son inadaptation à la société des hommes qui explique peut-être sa survie à cette fin du monde. Un roman d'action, littéraire et psychologique, qui reprend les codes du genre pour mieux les subvertir.
Quand les hommes se transforment en zombies, et qu'un jeune écrivain se trouve seul confrontéà cette violente apocalypse, il n'est finalement pas si surpris. Depuis longtemps l'homme a fait preuve de sa décadence et de sa cruauté. Aujourd'hui, un pas de plus dans l'abomination a été franchi : il est devenu un monstre anthropophage. Face à cette nuit de cauchemar, tel Robinson sur son île, le jeune survivant s'organise.
Il vit reclus dans un appartement et se croit un temps à l'abri, en dépit des attaques répétées des morts-vivants. Mais la folie de ce nouveau monde fait vaciller sa propre raison. Pour échapper au désespoir, il réapprend à vivre et à lutter, Armé d'un fusil, il découvre avec surprise qu'il peut tuer et qu'il a même un certain talent pour ça. En réinterrogant son passé, il se livre aussi à une introspection sensible sur sa propre condition et les raisons de ses échecs passés.
C'est son inadaptation à la société des hommes qui explique peut-être sa survie à cette fin du monde. Un roman d'action, littéraire et psychologique, qui reprend les codes du genre pour mieux les subvertir.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Où l'on aime ce qui veut nous tuer
Placer un personnage de littérature « blanche » au cœur d'une littérature de genre, quel drôle de projet ! L'intérêt ne réside donc pas dans les méandres de la survie testostéronée mais dans les craintes intrinsèques du personnage, ses réflexions d'écrivains « de roman de gare » et la preuve que l'on survit dans ce monde en étant « un raté, un asocial », que les ennemis soient les humains pré-apocalyptique ou ce qu'ils deviennent lorsqu'ils se relèvent de la mort. Un roman où l'on aime ce qui veut nous tuer, cynique sans oublier d'être drôle, émouvant et très attachant.
Placer un personnage de littérature « blanche » au cœur d'une littérature de genre, quel drôle de projet ! L'intérêt ne réside donc pas dans les méandres de la survie testostéronée mais dans les craintes intrinsèques du personnage, ses réflexions d'écrivains « de roman de gare » et la preuve que l'on survit dans ce monde en étant « un raté, un asocial », que les ennemis soient les humains pré-apocalyptique ou ce qu'ils deviennent lorsqu'ils se relèvent de la mort. Un roman où l'on aime ce qui veut nous tuer, cynique sans oublier d'être drôle, émouvant et très attachant.
FabienDecitre Part-Dieu
4/5
La nuit a dévoré le monde
Le personnage principal est écrivain, il est à une soirée chez une amie, mais comme d'habitude l'ennui le gagne, il s'isole dans la bibliothèque en compagnie d'une bouteille de whisky, à son réveil le monde a basculé dans l'horreur. La forme du journal est pleinement justifiée par le fait que le narrateur est un écrivain, prit dans une crise majeure où se joue rien de moins que la disparition de l'humanité, il éprouve le besoin d'écrire sur son expérience. A ses yeux c'est sa misanthropie, son côté asocial, qui l'a sauvé au début du massacre. L'hommage aux films de Romero est limpide, mais ici c'est le côté introspectif qui est mit en avant. Au fil de l'écoulement des jours on voit comment la chimie de sa psychologie va être précipitée en émotions extrêmes, et parfois antagonistes. Ainsi la terreur grouillante que représente la présence physique des zombies, provoque des cauchemars, et se transforme même en une angoisse existentielle qui ronge peu à peu chacune de ses pensées ; mais, lors d'une absence momentané de la masse des zombies, l'écrivain éprouve une angoisse du vide, il se met à faire du bruit pour les faire revenir sous son balcon, il en éprouve même du soulagement. Et si l'aspect introspectif est mit en avant, il y a tout de même quelques passages complétement gore, et d'un humour d'une noirceur dérangeante, par exemple ce jour où son manque de contact physique devient trop fort... L'écrivain en question est un auteur spécialisé dans la littérature populaire de genre, de SF au départ il trempe ensuite sa plume dans la littérature à l'eau de rose, mais toujours il glisse, ici ou là, un soupçon de critique sociale ou de révolte. Pour lui cette disparition du monde qu'il a connu est la bienvenue, tant sa haine des conventions et des pratiques économiques, où la masse devient esclave d'elle-même, le révulse.
Le personnage principal est écrivain, il est à une soirée chez une amie, mais comme d'habitude l'ennui le gagne, il s'isole dans la bibliothèque en compagnie d'une bouteille de whisky, à son réveil le monde a basculé dans l'horreur. La forme du journal est pleinement justifiée par le fait que le narrateur est un écrivain, prit dans une crise majeure où se joue rien de moins que la disparition de l'humanité, il éprouve le besoin d'écrire sur son expérience. A ses yeux c'est sa misanthropie, son côté asocial, qui l'a sauvé au début du massacre. L'hommage aux films de Romero est limpide, mais ici c'est le côté introspectif qui est mit en avant. Au fil de l'écoulement des jours on voit comment la chimie de sa psychologie va être précipitée en émotions extrêmes, et parfois antagonistes. Ainsi la terreur grouillante que représente la présence physique des zombies, provoque des cauchemars, et se transforme même en une angoisse existentielle qui ronge peu à peu chacune de ses pensées ; mais, lors d'une absence momentané de la masse des zombies, l'écrivain éprouve une angoisse du vide, il se met à faire du bruit pour les faire revenir sous son balcon, il en éprouve même du soulagement. Et si l'aspect introspectif est mit en avant, il y a tout de même quelques passages complétement gore, et d'un humour d'une noirceur dérangeante, par exemple ce jour où son manque de contact physique devient trop fort... L'écrivain en question est un auteur spécialisé dans la littérature populaire de genre, de SF au départ il trempe ensuite sa plume dans la littérature à l'eau de rose, mais toujours il glisse, ici ou là, un soupçon de critique sociale ou de révolte. Pour lui cette disparition du monde qu'il a connu est la bienvenue, tant sa haine des conventions et des pratiques économiques, où la masse devient esclave d'elle-même, le révulse.

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Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 5 notes dont 1 avis lecteur
Un robinson crusoé post apocalyptique
Un excellent ouvrage, qui se lit comme nouvelle, sur un homme seul face à un océan de zombies. Caustique et attachant.
Un excellent ouvrage, qui se lit comme nouvelle, sur un homme seul face à un océan de zombies. Caustique et attachant.
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