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  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-13346-0
  • EAN9782221133460
  • Date de parution23/08/2012
  • Copier Coller02 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille819 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

L'humanité a atteint le stade ultime de la décadence et de la cruauté. La prochaine étape était logique : la planète est désormais aux mains de monstres sans pitié et sans conscience. Une épidémie a changé la plupart des êtres humains en créatures avides de chair et de sang. On a vite compris leur nature : ce sont des zombies. Rien n'a pu les arrêter, ni la police ni l'armée. Ils ont tout ravagé.
Antoine Verney est un survivant, par hasard. Il n'a rien d'un héros. Il se retrouve à la fois prisonnier et protégé dans un immeuble parisien, alors que dans les rues les morts-vivants pourchassent les derniers humains. Du haut de sa tour, tel Robinson sur son île, Antoine apprend à survivre et se confronte à la terreur. Armé d'un fusil, il découvre avec surprise qu'il peut tuer, et qu'il a même un certain talent pour ça.
C'est un double combat qu'il va devoir mener, pour s'inventer une nouvelle vie, douce et fantaisiste, et ne pas sombrer dans la folie.
L'humanité a atteint le stade ultime de la décadence et de la cruauté. La prochaine étape était logique : la planète est désormais aux mains de monstres sans pitié et sans conscience. Une épidémie a changé la plupart des êtres humains en créatures avides de chair et de sang. On a vite compris leur nature : ce sont des zombies. Rien n'a pu les arrêter, ni la police ni l'armée. Ils ont tout ravagé.
Antoine Verney est un survivant, par hasard. Il n'a rien d'un héros. Il se retrouve à la fois prisonnier et protégé dans un immeuble parisien, alors que dans les rues les morts-vivants pourchassent les derniers humains. Du haut de sa tour, tel Robinson sur son île, Antoine apprend à survivre et se confronte à la terreur. Armé d'un fusil, il découvre avec surprise qu'il peut tuer, et qu'il a même un certain talent pour ça.
C'est un double combat qu'il va devoir mener, pour s'inventer une nouvelle vie, douce et fantaisiste, et ne pas sombrer dans la folie.

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Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Où l'on aime ce qui veut nous tuer
Placer un personnage de littérature « blanche » au cœur d'une littérature de genre, quel drôle de projet ! L'intérêt ne réside donc pas dans les méandres de la survie testostéronée mais dans les craintes intrinsèques du personnage, ses réflexions d'écrivains « de roman de gare » et la preuve que l'on survit dans ce monde en étant « un raté, un asocial », que les ennemis soient les humains pré-apocalyptique ou ce qu'ils deviennent lorsqu'ils se relèvent de la mort. Un roman où l'on aime ce qui veut nous tuer, cynique sans oublier d'être drôle, émouvant et très attachant.
Placer un personnage de littérature « blanche » au cœur d'une littérature de genre, quel drôle de projet ! L'intérêt ne réside donc pas dans les méandres de la survie testostéronée mais dans les craintes intrinsèques du personnage, ses réflexions d'écrivains « de roman de gare » et la preuve que l'on survit dans ce monde en étant « un raté, un asocial », que les ennemis soient les humains pré-apocalyptique ou ce qu'ils deviennent lorsqu'ils se relèvent de la mort. Un roman où l'on aime ce qui veut nous tuer, cynique sans oublier d'être drôle, émouvant et très attachant.
FabienDecitre Part-Dieu
4/5
La nuit a dévoré le monde
Le personnage principal est écrivain, il est à une soirée chez une amie, mais comme d'habitude l'ennui le gagne, il s'isole dans la bibliothèque en compagnie d'une bouteille de whisky, à son réveil le monde a basculé dans l'horreur. La forme du journal est pleinement justifiée par le fait que le narrateur est un écrivain, prit dans une crise majeure où se joue rien de moins que la disparition de l'humanité, il éprouve le besoin d'écrire sur son expérience. A ses yeux c'est sa misanthropie, son côté asocial, qui l'a sauvé au début du massacre. L'hommage aux films de Romero est limpide, mais ici c'est le côté introspectif qui est mit en avant. Au fil de l'écoulement des jours on voit comment la chimie de sa psychologie va être précipitée en émotions extrêmes, et parfois antagonistes. Ainsi la terreur grouillante que représente la présence physique des zombies, provoque des cauchemars, et se transforme même en une angoisse existentielle qui ronge peu à peu chacune de ses pensées ; mais, lors d'une absence momentané de la masse des zombies, l'écrivain éprouve une angoisse du vide, il se met à faire du bruit pour les faire revenir sous son balcon, il en éprouve même du soulagement. Et si l'aspect introspectif est mit en avant, il y a tout de même quelques passages complétement gore, et d'un humour d'une noirceur dérangeante, par exemple ce jour où son manque de contact physique devient trop fort... L'écrivain en question est un auteur spécialisé dans la littérature populaire de genre, de SF au départ il trempe ensuite sa plume dans la littérature à l'eau de rose, mais toujours il glisse, ici ou là, un soupçon de critique sociale ou de révolte. Pour lui cette disparition du monde qu'il a connu est la bienvenue, tant sa haine des conventions et des pratiques économiques, où la masse devient esclave d'elle-même, le révulse.
Le personnage principal est écrivain, il est à une soirée chez une amie, mais comme d'habitude l'ennui le gagne, il s'isole dans la bibliothèque en compagnie d'une bouteille de whisky, à son réveil le monde a basculé dans l'horreur. La forme du journal est pleinement justifiée par le fait que le narrateur est un écrivain, prit dans une crise majeure où se joue rien de moins que la disparition de l'humanité, il éprouve le besoin d'écrire sur son expérience. A ses yeux c'est sa misanthropie, son côté asocial, qui l'a sauvé au début du massacre. L'hommage aux films de Romero est limpide, mais ici c'est le côté introspectif qui est mit en avant. Au fil de l'écoulement des jours on voit comment la chimie de sa psychologie va être précipitée en émotions extrêmes, et parfois antagonistes. Ainsi la terreur grouillante que représente la présence physique des zombies, provoque des cauchemars, et se transforme même en une angoisse existentielle qui ronge peu à peu chacune de ses pensées ; mais, lors d'une absence momentané de la masse des zombies, l'écrivain éprouve une angoisse du vide, il se met à faire du bruit pour les faire revenir sous son balcon, il en éprouve même du soulagement. Et si l'aspect introspectif est mit en avant, il y a tout de même quelques passages complétement gore, et d'un humour d'une noirceur dérangeante, par exemple ce jour où son manque de contact physique devient trop fort... L'écrivain en question est un auteur spécialisé dans la littérature populaire de genre, de SF au départ il trempe ensuite sa plume dans la littérature à l'eau de rose, mais toujours il glisse, ici ou là, un soupçon de critique sociale ou de révolte. Pour lui cette disparition du monde qu'il a connu est la bienvenue, tant sa haine des conventions et des pratiques économiques, où la masse devient esclave d'elle-même, le révulse.

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Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 5 notes dont 1 avis lecteur
Un robinson crusoé post apocalyptique
Un excellent ouvrage, qui se lit comme nouvelle, sur un homme seul face à un océan de zombies. Caustique et attachant.
Un excellent ouvrage, qui se lit comme nouvelle, sur un homme seul face à un océan de zombies. Caustique et attachant.
Je suis un dragon
Martin Page, Pit Agarmen
Grand Format
19,00 €