La notion de savoir élémentaire à l'école. Doctrines et enjeux
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- Nombre de pages300
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-20842-1
- EAN9782296208421
- Date de parution01/11/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille12 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMichel Fabre
Résumé
L'enseignement des "fondamentaux" constitue traditionnellement la fonction première de l'école dite "élémentaire". Mais savons-nous encore ce que recouvre la notion de savoir élémentaire ? Pourtant cette notion, dont les racines remontent à la pensée antique, est constitutive de la modernité, aussi bien dans le domaine des théories philosophiques de la connaissance que dans celui des doctrines pédagogiques.
Polysémique et ambivalent, le savoir élémentaire est souvent interprété comme l'ensemble des savoir-faire instrumentaux de base (savoir lire, écrire et compter). D'autre part, il fait référence aux principes et aux premières notions des "savoirs savants", à ce que le mouvement encyclopédique avait nommé en son temps les "éléments des sciences". Cette dualité possède un double enracinement philosophique et pédagogique.
Si l'élémentarité est une des caractéristiques fondamentales de l'épistémologie, elle constitue en même temps une exigence pédagogique tout aussi traditionnelle. L'enseignement des savoirs élémentaires devient donc problématique dans la mesure où il est tributaire de la tension inévitable existant entre l'ordre des fondements et celui des commencements.
Polysémique et ambivalent, le savoir élémentaire est souvent interprété comme l'ensemble des savoir-faire instrumentaux de base (savoir lire, écrire et compter). D'autre part, il fait référence aux principes et aux premières notions des "savoirs savants", à ce que le mouvement encyclopédique avait nommé en son temps les "éléments des sciences". Cette dualité possède un double enracinement philosophique et pédagogique.
Si l'élémentarité est une des caractéristiques fondamentales de l'épistémologie, elle constitue en même temps une exigence pédagogique tout aussi traditionnelle. L'enseignement des savoirs élémentaires devient donc problématique dans la mesure où il est tributaire de la tension inévitable existant entre l'ordre des fondements et celui des commencements.
L'enseignement des "fondamentaux" constitue traditionnellement la fonction première de l'école dite "élémentaire". Mais savons-nous encore ce que recouvre la notion de savoir élémentaire ? Pourtant cette notion, dont les racines remontent à la pensée antique, est constitutive de la modernité, aussi bien dans le domaine des théories philosophiques de la connaissance que dans celui des doctrines pédagogiques.
Polysémique et ambivalent, le savoir élémentaire est souvent interprété comme l'ensemble des savoir-faire instrumentaux de base (savoir lire, écrire et compter). D'autre part, il fait référence aux principes et aux premières notions des "savoirs savants", à ce que le mouvement encyclopédique avait nommé en son temps les "éléments des sciences". Cette dualité possède un double enracinement philosophique et pédagogique.
Si l'élémentarité est une des caractéristiques fondamentales de l'épistémologie, elle constitue en même temps une exigence pédagogique tout aussi traditionnelle. L'enseignement des savoirs élémentaires devient donc problématique dans la mesure où il est tributaire de la tension inévitable existant entre l'ordre des fondements et celui des commencements.
Polysémique et ambivalent, le savoir élémentaire est souvent interprété comme l'ensemble des savoir-faire instrumentaux de base (savoir lire, écrire et compter). D'autre part, il fait référence aux principes et aux premières notions des "savoirs savants", à ce que le mouvement encyclopédique avait nommé en son temps les "éléments des sciences". Cette dualité possède un double enracinement philosophique et pédagogique.
Si l'élémentarité est une des caractéristiques fondamentales de l'épistémologie, elle constitue en même temps une exigence pédagogique tout aussi traditionnelle. L'enseignement des savoirs élémentaires devient donc problématique dans la mesure où il est tributaire de la tension inévitable existant entre l'ordre des fondements et celui des commencements.