La mémoire des visages. Le second volume du cycle ""Obéissance au vent""

Par : Jacques Ancet
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-8145-0759-3
  • EAN9782814507593
  • Date de parution22/10/2013
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub sans protection, Mobipocket sans protection et Accès streaming
  • ÉditeurPublie.net

Résumé

Pour la première fois, le cycle complet écrit par Jacques Ancet, « Obéissance au vent », auparavant publié en papier chez Flammarion, Ubacs et Mont Analogue, est désormais disponible en numérique. Comme un voyage, « au jour le jour du mystère d'exister ». Et nous conviés ici à accompagner ces voix, leurs pas dans les jours, qui résonnent ou se tiennent, silencieux, au plus près des bruits du monde - qui sont là, et leur musique de toujours. De se tenir dans les ombres ou les heures, les voix deviennent des visages, nos visages multiples et uns, à l'écoute de ce qui surgit des jours.
En soi, une « dictée », un « éboulement obscur » se laissent entendre. Presque saisir. Et proches. Autour, le bruit du monde ne cesse pas, tout au contraire : « clapotis d'eau », « ce bleu, cette transparence », des passages - autant d'instants comme sauvés : un enfant, un matin, la fin d'une après-midi d'été. Un insecte passe, de l'autre côté de la vitre un feuillage tremble. L'encre finit de sécher sur la page où la main la dépose, et tout à côté, le halo d'une lampe. Voix multipliées, elles aussi incessantes, dans le lent travail de leurs gestes : écrire, peindre, vivre.
Aimer. Serait-ce aussi le craquement d'un radiateur, loin, dans le lieu clos, où l'on se tient à l'ouvert d'écrire. « Une sorte d'album du temps qui passe » , et sonore, où il arrive que même la langue fourche de se chercher, au plus près de ce qui est à dire, et le dire ainsi pour accueillir, il le faut, tout « ce qui n'a pas de nom », quand « une voix nous traverse ». Quand « je t'entends marcher, au matin, un oiseau chante, la page commence, on pourrait croire à la vie ». Toutes voix comme autant « de solitudes qui tissent entre [elles] des fils invisibles.
» Et d'elles toutes, une présence invoquée, inlassablement. - Jean-Yves Fick Ce roman n'en est pas un. Tout juste un témoignage au jour le jour du mystère d'exister ; une sorte d'albuim du temps qui passe où, peu à peu, sont venus se fixer des portraits d'hommes de femmes, sans autre lien qu'une solitude qui tisse entre eux des fils invisibles. Qui est l'autre ? Pourrons-nous jamais parvenir à sentir sa chaleur, entendre par ses oreilles, voir par ses yeux ? Et qu'est-ce, finalement, qu'aimer, loin des passions ou des perversions trop littéraires ou théâtrales, dans les hauts et les bas du quotidien ? Roman d'amour alors ? Peut-être.
Poème, plutôt, poème romanesque. Dans la dernière partie du livre, « Le jour que tu es », une voix parle. Tantôt masculine, tantôt féminine, tantôt neutre, elle s'interroge, dit l'instant d'un contact fugace, l'angoisse d'une rencontre manquée, les gestes, les paroles éphémères, un visage, un souvenir, des ombres, des lumières : long monologue amoureux où elle finit par devenir al voix d'une bouche unique et sans visage... - Jacques Ancet Le cycle complet : 1.
La tendresse (Lien -> http://publiepapier.fr/collection-les-brefs/article/ancet-jacques-la-tendresse)
Pour la première fois, le cycle complet écrit par Jacques Ancet, « Obéissance au vent », auparavant publié en papier chez Flammarion, Ubacs et Mont Analogue, est désormais disponible en numérique. Comme un voyage, « au jour le jour du mystère d'exister ». Et nous conviés ici à accompagner ces voix, leurs pas dans les jours, qui résonnent ou se tiennent, silencieux, au plus près des bruits du monde - qui sont là, et leur musique de toujours. De se tenir dans les ombres ou les heures, les voix deviennent des visages, nos visages multiples et uns, à l'écoute de ce qui surgit des jours.
En soi, une « dictée », un « éboulement obscur » se laissent entendre. Presque saisir. Et proches. Autour, le bruit du monde ne cesse pas, tout au contraire : « clapotis d'eau », « ce bleu, cette transparence », des passages - autant d'instants comme sauvés : un enfant, un matin, la fin d'une après-midi d'été. Un insecte passe, de l'autre côté de la vitre un feuillage tremble. L'encre finit de sécher sur la page où la main la dépose, et tout à côté, le halo d'une lampe. Voix multipliées, elles aussi incessantes, dans le lent travail de leurs gestes : écrire, peindre, vivre.
Aimer. Serait-ce aussi le craquement d'un radiateur, loin, dans le lieu clos, où l'on se tient à l'ouvert d'écrire. « Une sorte d'album du temps qui passe » , et sonore, où il arrive que même la langue fourche de se chercher, au plus près de ce qui est à dire, et le dire ainsi pour accueillir, il le faut, tout « ce qui n'a pas de nom », quand « une voix nous traverse ». Quand « je t'entends marcher, au matin, un oiseau chante, la page commence, on pourrait croire à la vie ». Toutes voix comme autant « de solitudes qui tissent entre [elles] des fils invisibles.
» Et d'elles toutes, une présence invoquée, inlassablement. - Jean-Yves Fick Ce roman n'en est pas un. Tout juste un témoignage au jour le jour du mystère d'exister ; une sorte d'albuim du temps qui passe où, peu à peu, sont venus se fixer des portraits d'hommes de femmes, sans autre lien qu'une solitude qui tisse entre eux des fils invisibles. Qui est l'autre ? Pourrons-nous jamais parvenir à sentir sa chaleur, entendre par ses oreilles, voir par ses yeux ? Et qu'est-ce, finalement, qu'aimer, loin des passions ou des perversions trop littéraires ou théâtrales, dans les hauts et les bas du quotidien ? Roman d'amour alors ? Peut-être.
Poème, plutôt, poème romanesque. Dans la dernière partie du livre, « Le jour que tu es », une voix parle. Tantôt masculine, tantôt féminine, tantôt neutre, elle s'interroge, dit l'instant d'un contact fugace, l'angoisse d'une rencontre manquée, les gestes, les paroles éphémères, un visage, un souvenir, des ombres, des lumières : long monologue amoureux où elle finit par devenir al voix d'une bouche unique et sans visage... - Jacques Ancet Le cycle complet : 1.
La tendresse (Lien -> http://publiepapier.fr/collection-les-brefs/article/ancet-jacques-la-tendresse)
Oeuvres
Sainte Thérèse d'Avila, Jean de la Croix
64,50 €
Oeuvres
Alejandra Pizarnik
Poche
22,00 €
L'Aube
Ramon Gomez de la Serna
E-book
11,99 €
Amnésie du présent
Jacques Ancet
E-book
5,99 €
Le Dénouement
Jacques Ancet
E-book
4,99 €