La guillotine

Par : Benoît Michel
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  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-36575-478-1
  • EAN9782365754781
  • Date de parution13/05/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurMarivole Éditions

Résumé

Née du siècle des Lumières, enfant de pensées utopiques, accouchée un soir de séance à l'assemblée par la voix d'un médecin, député d'une assemblée constituante se voulant réformiste et aux idées égalitaires, la guillotine fut longtemps l'instrument porté par un courant de pensée qui prônait l'égalité devant la mort des condamnés et la non-souffrance devant la peine. Guillotin, qui devait à son grand désespoir, lui donner son nom, ne déclarait-il pas : « Le supplice que j'ai inventé est si doux qu'il n'y a vraiment que l'idée de la mort qui puisse le rendre désagréable.
Aussi, si l'on ne s'attendait pas à mourir, on croirait n'avoir senti sur le cou qu'une légère et agréable fraîcheur. » Appelée Louisette, La Veuve ou encore la Bascule à Charlot, la guillotine fut longtemps tour à tour détestée, vénérée, admirée, voire déifiée ou vouée aux gémonies de l'Histoire. Grande prêtresse du crime, elle fut l'instrument suprême de la justice jusqu'à sa remise aux archives de l'Histoire en 1981.
C'est son histoire, celle des bourreaux l'ayant servie et des condamnés qui subirent son supplice que l'Historien Michel Benoit nous raconte dans ce livre.
Née du siècle des Lumières, enfant de pensées utopiques, accouchée un soir de séance à l'assemblée par la voix d'un médecin, député d'une assemblée constituante se voulant réformiste et aux idées égalitaires, la guillotine fut longtemps l'instrument porté par un courant de pensée qui prônait l'égalité devant la mort des condamnés et la non-souffrance devant la peine. Guillotin, qui devait à son grand désespoir, lui donner son nom, ne déclarait-il pas : « Le supplice que j'ai inventé est si doux qu'il n'y a vraiment que l'idée de la mort qui puisse le rendre désagréable.
Aussi, si l'on ne s'attendait pas à mourir, on croirait n'avoir senti sur le cou qu'une légère et agréable fraîcheur. » Appelée Louisette, La Veuve ou encore la Bascule à Charlot, la guillotine fut longtemps tour à tour détestée, vénérée, admirée, voire déifiée ou vouée aux gémonies de l'Histoire. Grande prêtresse du crime, elle fut l'instrument suprême de la justice jusqu'à sa remise aux archives de l'Histoire en 1981.
C'est son histoire, celle des bourreaux l'ayant servie et des condamnés qui subirent son supplice que l'Historien Michel Benoit nous raconte dans ce livre.