La grande conversion. L'Eglise et la liberté de la Révolution à nos jours
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- Nombre de pages528
- FormatePub
- ISBN978-2-204-15591-5
- EAN9782204155915
- Date de parution26/10/2023
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes éditions du Cerf
Résumé
Avec Vatican II, l'Église catholique se confronte tout à coup à la liberté. Que s'est-il passé ? L'Église n'a pas changé de foi. Elle a opéré une rupture politique radicale en constituant la première synthèse entre les pensées politiques classique et moderne. Comment l'Église catholique est-elle passée du rejet de la liberté politique et religieuse à son acceptation ? Que s'est-il passé lors du concile Vatican II ? Comment s'est opérée cette rupture radicale dont témoigne la déclaration Dignitatis Humanae ?Loin de constituer une interrogation d'ordre purement théologique, la liberté religieuse est d'abord une liberté politique.
Certes, Vatican II constitue un tournant majeur, annoncé par la pensée catholique la plus perspicace (Lubac et Maritain en tête), et toute idée de continuité s'avère démentie par les textes. Toutefois, comme le montre brillamment François Huguenin, cette rupture, cette conversion, ne relève pas de la foi, mais de la pensée politique. En se confrontant réellement à la question de la liberté, l'Église réunit pour la première fois l'héritage de la politique classique, marquée par le souci du bien commun, et celui de la pensée moderne, reposant sur la protection des libertés et des droits individuels.
Une synthèse inédite, magistrale et passionnante.
Certes, Vatican II constitue un tournant majeur, annoncé par la pensée catholique la plus perspicace (Lubac et Maritain en tête), et toute idée de continuité s'avère démentie par les textes. Toutefois, comme le montre brillamment François Huguenin, cette rupture, cette conversion, ne relève pas de la foi, mais de la pensée politique. En se confrontant réellement à la question de la liberté, l'Église réunit pour la première fois l'héritage de la politique classique, marquée par le souci du bien commun, et celui de la pensée moderne, reposant sur la protection des libertés et des droits individuels.
Une synthèse inédite, magistrale et passionnante.
Avec Vatican II, l'Église catholique se confronte tout à coup à la liberté. Que s'est-il passé ? L'Église n'a pas changé de foi. Elle a opéré une rupture politique radicale en constituant la première synthèse entre les pensées politiques classique et moderne. Comment l'Église catholique est-elle passée du rejet de la liberté politique et religieuse à son acceptation ? Que s'est-il passé lors du concile Vatican II ? Comment s'est opérée cette rupture radicale dont témoigne la déclaration Dignitatis Humanae ?Loin de constituer une interrogation d'ordre purement théologique, la liberté religieuse est d'abord une liberté politique.
Certes, Vatican II constitue un tournant majeur, annoncé par la pensée catholique la plus perspicace (Lubac et Maritain en tête), et toute idée de continuité s'avère démentie par les textes. Toutefois, comme le montre brillamment François Huguenin, cette rupture, cette conversion, ne relève pas de la foi, mais de la pensée politique. En se confrontant réellement à la question de la liberté, l'Église réunit pour la première fois l'héritage de la politique classique, marquée par le souci du bien commun, et celui de la pensée moderne, reposant sur la protection des libertés et des droits individuels.
Une synthèse inédite, magistrale et passionnante.
Certes, Vatican II constitue un tournant majeur, annoncé par la pensée catholique la plus perspicace (Lubac et Maritain en tête), et toute idée de continuité s'avère démentie par les textes. Toutefois, comme le montre brillamment François Huguenin, cette rupture, cette conversion, ne relève pas de la foi, mais de la pensée politique. En se confrontant réellement à la question de la liberté, l'Église réunit pour la première fois l'héritage de la politique classique, marquée par le souci du bien commun, et celui de la pensée moderne, reposant sur la protection des libertés et des droits individuels.
Une synthèse inédite, magistrale et passionnante.











