Western pur sang, La fureur des hommes déploie ses territoires comme autant de peintures faites de sang, de trouille et de bravoure.
A hue et à dia, en Technicolor écran géant gros plan sur ces visages râblés d'hommes assoiffés, d'hommes traqués, visages burinés des sels d'existences qui creusent canyons et rios entre les commissures des lèvres et celles des yeux.
Une traque haletante dans des décors majestueux, que l'écriture décille, entre poésie de l'émerveillement et âpreté de la sauvagerie.
Une épopée profondément humaine et abrupte dont la violence n'est jamais gratuite, car la violence est toujours le fruit talé de nos émotions.
Toi qui voudrais retrouver ton père après avoir descendu un de la fratrie Boyd, peut-être devrais tu monter jusqu'au Wisconsin.
Bang bang, you'll kiss the ground !
Western pur sang, La fureur des hommes déploie ses territoires comme autant de peintures faites de sang, de trouille et de bravoure.
A hue et à dia, en Technicolor écran géant gros plan sur ces visages râblés d'hommes assoiffés, d'hommes traqués, visages burinés des sels d'existences qui creusent canyons et rios entre les commissures des lèvres et celles des yeux.
Une traque haletante dans des décors majestueux, que l'écriture décille, entre poésie de l'émerveillement et âpreté de la sauvagerie.
Une épopée profondément humaine et abrupte dont la violence n'est jamais gratuite, car la violence est toujours le fruit talé de nos émotions.
Toi qui voudrais retrouver ton père après avoir descendu un de la fratrie Boyd, peut-être devrais tu monter jusqu'au Wisconsin.
Bang bang, you'll kiss the ground !