LA FOI : UNE HISTOIRE CULTURELLE DU MAL. En danger de croire
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- Nombre de pages142
- FormatPDF
- ISBN2-296-35931-0
- EAN9782296359314
- Date de parution01/01/1997
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Après les guerres de religions, il ne devrait décemment plus être possible de se dire catholique (ou protestant d'ailleurs, les atrocités ont été commises dans les deux camps). Or, on continue à s'afficher catholique (ou protestant). Cette étonnante possibilité s'explique simplement par le fait que les convictions religieuses ne relèvent pas du raisonnement, ni même du bon sens, mais de la foi. L'aphorisme de Dostoïevski peut être entendu à l'envers : " Si Dieu existe, tout est permis ".
Dieu n'existant pas, c'est la foi en Dieu qui permet tout, ce que Dostoïevski, ni personne à son époque, n'aurait osé dire ouvertement, mais que l'histoire sanglante des religions n'a jamais cessé de démontrer. La foi permet tout. Elle excuse tout aussi : " l'influence du diable " est une réponse religieuse qui couvre d'avance toutes les abominations possibles. La foi, c'est précisément l'objet de ce livre.
Si Konrad Lorentz voulait faire de l'agressivité la cause " naturelle " du mal, la foi, qui participe à " l'histoire culturelle " de l'humanité est largement responsable de ses malheurs, passés présents et, hélas, encore à venir.
Dieu n'existant pas, c'est la foi en Dieu qui permet tout, ce que Dostoïevski, ni personne à son époque, n'aurait osé dire ouvertement, mais que l'histoire sanglante des religions n'a jamais cessé de démontrer. La foi permet tout. Elle excuse tout aussi : " l'influence du diable " est une réponse religieuse qui couvre d'avance toutes les abominations possibles. La foi, c'est précisément l'objet de ce livre.
Si Konrad Lorentz voulait faire de l'agressivité la cause " naturelle " du mal, la foi, qui participe à " l'histoire culturelle " de l'humanité est largement responsable de ses malheurs, passés présents et, hélas, encore à venir.
Après les guerres de religions, il ne devrait décemment plus être possible de se dire catholique (ou protestant d'ailleurs, les atrocités ont été commises dans les deux camps). Or, on continue à s'afficher catholique (ou protestant). Cette étonnante possibilité s'explique simplement par le fait que les convictions religieuses ne relèvent pas du raisonnement, ni même du bon sens, mais de la foi. L'aphorisme de Dostoïevski peut être entendu à l'envers : " Si Dieu existe, tout est permis ".
Dieu n'existant pas, c'est la foi en Dieu qui permet tout, ce que Dostoïevski, ni personne à son époque, n'aurait osé dire ouvertement, mais que l'histoire sanglante des religions n'a jamais cessé de démontrer. La foi permet tout. Elle excuse tout aussi : " l'influence du diable " est une réponse religieuse qui couvre d'avance toutes les abominations possibles. La foi, c'est précisément l'objet de ce livre.
Si Konrad Lorentz voulait faire de l'agressivité la cause " naturelle " du mal, la foi, qui participe à " l'histoire culturelle " de l'humanité est largement responsable de ses malheurs, passés présents et, hélas, encore à venir.
Dieu n'existant pas, c'est la foi en Dieu qui permet tout, ce que Dostoïevski, ni personne à son époque, n'aurait osé dire ouvertement, mais que l'histoire sanglante des religions n'a jamais cessé de démontrer. La foi permet tout. Elle excuse tout aussi : " l'influence du diable " est une réponse religieuse qui couvre d'avance toutes les abominations possibles. La foi, c'est précisément l'objet de ce livre.
Si Konrad Lorentz voulait faire de l'agressivité la cause " naturelle " du mal, la foi, qui participe à " l'histoire culturelle " de l'humanité est largement responsable de ses malheurs, passés présents et, hélas, encore à venir.