La fille de la grêle

Par : Delphine Saubaber
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  • Nombre de pages208
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7096-6905-4
  • EAN9782709669054
  • Date de parution12/01/2022
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurJC Lattès

Résumé

Un soir de sa vie, dans un dernier souffle, Marie décide de livrer à sa fille Adèle l'histoire de sa propre enfance, qu'elle lui a toujours tue. Joseph et Madeleine, ses parents, n'ont connu qu'une vie de labeur à la ferme des Glycines. Marie et Jean, son petit frère, ont grandi là, sur une combe d'herbe grasse, les alouettes pour seuls témoins de leurs jeux.  Mais Jean est différent. Il a beau converser avec les grillons, il ne parle pas, n'entend pas, et ça ne plaît pas à Joseph.  Quand la grêle s'abat sur les Glycines, la démence s'empare du père jusqu'à gagner la famille tout entière.
Poétique et bouleversant,  La fille de la grêle  raconte la brûlure de l'enfance et la grande vieillesse, la folie et la culpabilité. C'est aussi un chant d'amour d'une mère à sa fille. Et une ode magnifique à la toute-puissance de la nature.« J'ai tué la grêle, l'injustice et la violence du monde, j'ai tué la détresse d'un homme qui pleurait avec ses poings.  »Avis de lecture« Il y a longtemps, très longtemps que je n'ai pas lu un texte aussi prenant, aussi juste, aussi bouleversant et dont certains passages me font venir les larmes.
» Jacques  « II y a la folie du père paysan face aux intempéries, la pauvreté les années de mauvaises récoltes, mais aussi le lien indéfectible entre la sour et le frère, et le souvenir de pommes de terre cuites dans les cendres au goût de paradis. Un mélange doux amer d'une grande beauté. »  Avantages
Un soir de sa vie, dans un dernier souffle, Marie décide de livrer à sa fille Adèle l'histoire de sa propre enfance, qu'elle lui a toujours tue. Joseph et Madeleine, ses parents, n'ont connu qu'une vie de labeur à la ferme des Glycines. Marie et Jean, son petit frère, ont grandi là, sur une combe d'herbe grasse, les alouettes pour seuls témoins de leurs jeux.  Mais Jean est différent. Il a beau converser avec les grillons, il ne parle pas, n'entend pas, et ça ne plaît pas à Joseph.  Quand la grêle s'abat sur les Glycines, la démence s'empare du père jusqu'à gagner la famille tout entière.
Poétique et bouleversant,  La fille de la grêle  raconte la brûlure de l'enfance et la grande vieillesse, la folie et la culpabilité. C'est aussi un chant d'amour d'une mère à sa fille. Et une ode magnifique à la toute-puissance de la nature.« J'ai tué la grêle, l'injustice et la violence du monde, j'ai tué la détresse d'un homme qui pleurait avec ses poings.  »Avis de lecture« Il y a longtemps, très longtemps que je n'ai pas lu un texte aussi prenant, aussi juste, aussi bouleversant et dont certains passages me font venir les larmes.
» Jacques  « II y a la folie du père paysan face aux intempéries, la pauvreté les années de mauvaises récoltes, mais aussi le lien indéfectible entre la sour et le frère, et le souvenir de pommes de terre cuites dans les cendres au goût de paradis. Un mélange doux amer d'une grande beauté. »  Avantages

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5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
COUP DE COEUR
#Chronique COUP DE COEUR : La fille de la grêle de Delphine Saubaber - Éditions JC Lattès​
#Chronique COUP DE COEUR : La fille de la grêle de Delphine Saubaber - Éditions JC Lattès​
La fille à la Grêle
Il y a longtemps, très longtemps que je n’ai pas lu un texte aussi prenant, aussi juste, aussi bouleversant et dont certains passages me font venir les larmes. Et Dieu sait (ce con de Dieu!, comme dit l’un des personnages) que pour me faire pleurer, il en faut ! Seulement voilà, comme la fille de la grêle, je suis sans doute aussi un enfant brûlé qui, arrivé devant l’escalier dégringolant de la vieillesse se pose les mêmes questions, ressent depuis sa ville d’exil qu’il ne supporte plus, les odeurs des foins mouillés de l’enfance, entendant les cloches tintinnabulantes d’un troupeau de Marguerite qu’il allait garder dans le Grand Pré avec les petits du métayer. La couleur des nuages, les odeurs de pluie, la peur des gros nuages noirs porteurs de grêle, « vous les parlez », vous les tutoyez avec vos mots qui sortent de votre cœur pour venir effleurer le nôtre. Surtout, vous donnez à la vie l’épaisseur dramatique de l’amour des choses qui passent, la beauté intérieure des douleurs tues. Vous donnez du sens au tragique quand la tragédie de la vie est là, présente, sans que nul ne puisse en saisir la raison, mais juste la souffrance. C’est terrible cette souffrance qui paraît normale et qu’on n’ose pas contredire. Terrible de voir tous les soir les mêmes étoile dans le ciel de son toit. Terrible cette envie d’aller voir ailleurs pour, un jour, n’avoir qu’une envie, revenir là-bas, sous les mêmes étoiles qu’on n’a jamais oubliées. Il est magnifique votre livre. Il y a tout. Le travail qui tue les hommes et les hommes qui se tuent au travail, sans même oser faire autrement, dans ce temps de vie où les saisons s’enchaînent, faisant revenir sans cesse les mêmes gestes, les mêmes peurs. jusqu’à cette rupture de la mort acceptée par la seule qui aura les mots pour couvrir à elle-même son secret et n’en jamais rien dire. Il y a tant d’amour dans ce que vous racontez. Tant d’amour qui brûle et qui me brûle. Tant d’amour que vous faites jaillir de ces vies déchirées et déchirantes. Il y a chez vous des phrases magnifiques qui ouvrent tout un monde et font exploser l’obscur rideau des convenances comme un poing planté dans l’infini. Et moi, lecteur, je me trouve soulevé, bouleversé par ce que vous insufflez. Jacques FAURE.
Il y a longtemps, très longtemps que je n’ai pas lu un texte aussi prenant, aussi juste, aussi bouleversant et dont certains passages me font venir les larmes. Et Dieu sait (ce con de Dieu!, comme dit l’un des personnages) que pour me faire pleurer, il en faut ! Seulement voilà, comme la fille de la grêle, je suis sans doute aussi un enfant brûlé qui, arrivé devant l’escalier dégringolant de la vieillesse se pose les mêmes questions, ressent depuis sa ville d’exil qu’il ne supporte plus, les odeurs des foins mouillés de l’enfance, entendant les cloches tintinnabulantes d’un troupeau de Marguerite qu’il allait garder dans le Grand Pré avec les petits du métayer. La couleur des nuages, les odeurs de pluie, la peur des gros nuages noirs porteurs de grêle, « vous les parlez », vous les tutoyez avec vos mots qui sortent de votre cœur pour venir effleurer le nôtre. Surtout, vous donnez à la vie l’épaisseur dramatique de l’amour des choses qui passent, la beauté intérieure des douleurs tues. Vous donnez du sens au tragique quand la tragédie de la vie est là, présente, sans que nul ne puisse en saisir la raison, mais juste la souffrance. C’est terrible cette souffrance qui paraît normale et qu’on n’ose pas contredire. Terrible de voir tous les soir les mêmes étoile dans le ciel de son toit. Terrible cette envie d’aller voir ailleurs pour, un jour, n’avoir qu’une envie, revenir là-bas, sous les mêmes étoiles qu’on n’a jamais oubliées. Il est magnifique votre livre. Il y a tout. Le travail qui tue les hommes et les hommes qui se tuent au travail, sans même oser faire autrement, dans ce temps de vie où les saisons s’enchaînent, faisant revenir sans cesse les mêmes gestes, les mêmes peurs. jusqu’à cette rupture de la mort acceptée par la seule qui aura les mots pour couvrir à elle-même son secret et n’en jamais rien dire. Il y a tant d’amour dans ce que vous racontez. Tant d’amour qui brûle et qui me brûle. Tant d’amour que vous faites jaillir de ces vies déchirées et déchirantes. Il y a chez vous des phrases magnifiques qui ouvrent tout un monde et font exploser l’obscur rideau des convenances comme un poing planté dans l’infini. Et moi, lecteur, je me trouve soulevé, bouleversé par ce que vous insufflez. Jacques FAURE.
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