La fabrique des mondes communs. Réconcilier le travail, le management et la démocratie
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- Nombre de pages413
- FormatePub
- ISBN978-2-7492-7619-9
- EAN9782749276199
- Date de parution23/02/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEres
Résumé
Depuis des décennies, le monde du travail est pointé du doigt comme le lieu d'un mal-être croissant, sous l'effet d'un management qui isole et dépersonnalise. L'entreprise s'épuise de la « culture du résultat », qui malmène l'activité de travail, faute d'en comprendre les ressorts. Face à ces dérives, Pierre-Olivier Monteil invite à changer de regard et à envisager le travail comme une source essentielle d'humanisation.
Cela suppose de réorienter l'action du management au bénéfice d'une écologie de la relation qui mette chacun en capacité de construire des mondes communs. En constant dialogue avec les sciences humaines, cet essai revisite le management sous le prisme successif des grandes fonctions économiques auxquelles il contribue : produire, coopérer, innover. S'y déploie une réflexion sur le pouvoir, à la recherche des conditions, notamment institutionnelles, qui permettent à l'agir managérial de se comporter loyalement. De la sorte, tout concourt à ce que, devenu pédagogie du vivre-ensemble, le travail humanise.
Pourvu que le management s'affirme comme une école de civisme au bénéfice de la démocratie, qui en a grand besoin.
Cela suppose de réorienter l'action du management au bénéfice d'une écologie de la relation qui mette chacun en capacité de construire des mondes communs. En constant dialogue avec les sciences humaines, cet essai revisite le management sous le prisme successif des grandes fonctions économiques auxquelles il contribue : produire, coopérer, innover. S'y déploie une réflexion sur le pouvoir, à la recherche des conditions, notamment institutionnelles, qui permettent à l'agir managérial de se comporter loyalement. De la sorte, tout concourt à ce que, devenu pédagogie du vivre-ensemble, le travail humanise.
Pourvu que le management s'affirme comme une école de civisme au bénéfice de la démocratie, qui en a grand besoin.
Depuis des décennies, le monde du travail est pointé du doigt comme le lieu d'un mal-être croissant, sous l'effet d'un management qui isole et dépersonnalise. L'entreprise s'épuise de la « culture du résultat », qui malmène l'activité de travail, faute d'en comprendre les ressorts. Face à ces dérives, Pierre-Olivier Monteil invite à changer de regard et à envisager le travail comme une source essentielle d'humanisation.
Cela suppose de réorienter l'action du management au bénéfice d'une écologie de la relation qui mette chacun en capacité de construire des mondes communs. En constant dialogue avec les sciences humaines, cet essai revisite le management sous le prisme successif des grandes fonctions économiques auxquelles il contribue : produire, coopérer, innover. S'y déploie une réflexion sur le pouvoir, à la recherche des conditions, notamment institutionnelles, qui permettent à l'agir managérial de se comporter loyalement. De la sorte, tout concourt à ce que, devenu pédagogie du vivre-ensemble, le travail humanise.
Pourvu que le management s'affirme comme une école de civisme au bénéfice de la démocratie, qui en a grand besoin.
Cela suppose de réorienter l'action du management au bénéfice d'une écologie de la relation qui mette chacun en capacité de construire des mondes communs. En constant dialogue avec les sciences humaines, cet essai revisite le management sous le prisme successif des grandes fonctions économiques auxquelles il contribue : produire, coopérer, innover. S'y déploie une réflexion sur le pouvoir, à la recherche des conditions, notamment institutionnelles, qui permettent à l'agir managérial de se comporter loyalement. De la sorte, tout concourt à ce que, devenu pédagogie du vivre-ensemble, le travail humanise.
Pourvu que le management s'affirme comme une école de civisme au bénéfice de la démocratie, qui en a grand besoin.