La chasse en quête de sens. Tome 2, Nature, chasse et société

Par : Paul Havet

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  • Nombre de pages162
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-17927-1
  • EAN9782296179271
  • Date de parution01/09/2007
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierVictor Scherrer

Résumé

La nature est le lieu d'émergence de l'humanité, au point d'être parfois déifiée. Elle n'est pas pour beaucoup d'entre nous une fin en soi ; mais elle offre déjà, par sa beauté et ses richesses, un cadre extraordinaire d'épanouissement. Elle est aussi un chemin spirituel qui nous relie à nos origines. Dès la préhistoire, la chasse apparaît comme un phénomène essentiel de l'évolution de l'homme. Nous l'avons abordé dans le premier volume, les leçons de l'histoire.
Les rapports de l'homme à la nature vont progressivement se modifier avec le temps. A tout rapport de domination de la nature s'opposent des valeurs symboliques et des mécanismes d'autorégulation. Traiter de mécanismes écologiques et sociaux est cependant insuffisant. La confrontation à la mort et à la souffrance est au cœur de la vie, même si l'homme d'aujourd'hui tente d'enfouir ces interrogations fondamentales.
Les diverses confessions se sont intéressées au rapport de l'homme à la création, à la nature, à l'animal et se sont prononcées. Il y a un prix à payer pour compenser les effets négatifs de la technique. L'acquisition de la maîtrise de soi est incontournable pour éviter les échecs d'une surexploitation de la nature. Si le chasseur tue des animaux sauvages, il n'ignore pas pour autant les souffrances qu'il provoque.
Il vit son animalité : Sa violence est tempérée parce que biologiquement, comme d'autres êtres vivants, il doit aussi miser sur la coopération et pas uniquement l'agressivité. Spirituellement, il peut situer ses actes dans une perspective de " co-création " de son environnement, de réconciliation personnelle, d'utilité sociale, de respect de la pluralité et de contemplation.
La nature est le lieu d'émergence de l'humanité, au point d'être parfois déifiée. Elle n'est pas pour beaucoup d'entre nous une fin en soi ; mais elle offre déjà, par sa beauté et ses richesses, un cadre extraordinaire d'épanouissement. Elle est aussi un chemin spirituel qui nous relie à nos origines. Dès la préhistoire, la chasse apparaît comme un phénomène essentiel de l'évolution de l'homme. Nous l'avons abordé dans le premier volume, les leçons de l'histoire.
Les rapports de l'homme à la nature vont progressivement se modifier avec le temps. A tout rapport de domination de la nature s'opposent des valeurs symboliques et des mécanismes d'autorégulation. Traiter de mécanismes écologiques et sociaux est cependant insuffisant. La confrontation à la mort et à la souffrance est au cœur de la vie, même si l'homme d'aujourd'hui tente d'enfouir ces interrogations fondamentales.
Les diverses confessions se sont intéressées au rapport de l'homme à la création, à la nature, à l'animal et se sont prononcées. Il y a un prix à payer pour compenser les effets négatifs de la technique. L'acquisition de la maîtrise de soi est incontournable pour éviter les échecs d'une surexploitation de la nature. Si le chasseur tue des animaux sauvages, il n'ignore pas pour autant les souffrances qu'il provoque.
Il vit son animalité : Sa violence est tempérée parce que biologiquement, comme d'autres êtres vivants, il doit aussi miser sur la coopération et pas uniquement l'agressivité. Spirituellement, il peut situer ses actes dans une perspective de " co-création " de son environnement, de réconciliation personnelle, d'utilité sociale, de respect de la pluralité et de contemplation.