Lucien d'AZAY, né en 1966, est écrivain et traducteur de l'anglais et de l'italien au français. Il a notamment publié aux Belles Lettres Keats, keepsake (2014), Trois excentriques anglais (2011) (Prix de la Revue des Deux Mondes 2012) et Le Faussaire et son double, vie de Thomas Chatterton (2009), ainsi que Sur les Chemins de Palmyre (La Table Ronde, 2012).
La Belle Anglaise. Vie de "Perdita" Robinson
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages348
- FormatePub
- ISBN978-2-251-91758-0
- EAN9782251917580
- Date de parution08/04/2022
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
Résumé
Contemporaine de W. A. Mozart, d'Élisabeth Vigée Le Brun, de William Blake, de Marie-Antoinette d'Autriche et du marquis de La Fayette, Mary Robinson fut une comédienne talentueuse, une courtisane célèbre, une icône de la mode, une écrivaine accomplie et prolixe, auteure de sept romans, une démocrate et une féministe engagée, une amante passionnée, une hôtesse généreuse, charmante et spirituelle, une fille et une mère dévouée, charitable, sensible, piquante et parfois difficile en raison de son handicap.
Elle brillait surtout par son extraordinaire polyvalence et méritait les lauriers qu'elle se décernait dans la presse. Il est arrivé qu'on la compare à Marie Madeleine et aussi à Madonna (« the Queen of Pop »). Elle tenait son surnom, « Perdita », du rôle qu'elle avait interprété sur scène dans Le Conte d'hiver de William Shakespeare. À travers elle, c'est son temps et sa nation que j'ai cherché à restituer ici de manière allégorique.
Mary Robinson est en somme le motif d'un tableau historique. Une sorte de Dame à la licorne.
Elle brillait surtout par son extraordinaire polyvalence et méritait les lauriers qu'elle se décernait dans la presse. Il est arrivé qu'on la compare à Marie Madeleine et aussi à Madonna (« the Queen of Pop »). Elle tenait son surnom, « Perdita », du rôle qu'elle avait interprété sur scène dans Le Conte d'hiver de William Shakespeare. À travers elle, c'est son temps et sa nation que j'ai cherché à restituer ici de manière allégorique.
Mary Robinson est en somme le motif d'un tableau historique. Une sorte de Dame à la licorne.
Contemporaine de W. A. Mozart, d'Élisabeth Vigée Le Brun, de William Blake, de Marie-Antoinette d'Autriche et du marquis de La Fayette, Mary Robinson fut une comédienne talentueuse, une courtisane célèbre, une icône de la mode, une écrivaine accomplie et prolixe, auteure de sept romans, une démocrate et une féministe engagée, une amante passionnée, une hôtesse généreuse, charmante et spirituelle, une fille et une mère dévouée, charitable, sensible, piquante et parfois difficile en raison de son handicap.
Elle brillait surtout par son extraordinaire polyvalence et méritait les lauriers qu'elle se décernait dans la presse. Il est arrivé qu'on la compare à Marie Madeleine et aussi à Madonna (« the Queen of Pop »). Elle tenait son surnom, « Perdita », du rôle qu'elle avait interprété sur scène dans Le Conte d'hiver de William Shakespeare. À travers elle, c'est son temps et sa nation que j'ai cherché à restituer ici de manière allégorique.
Mary Robinson est en somme le motif d'un tableau historique. Une sorte de Dame à la licorne.
Elle brillait surtout par son extraordinaire polyvalence et méritait les lauriers qu'elle se décernait dans la presse. Il est arrivé qu'on la compare à Marie Madeleine et aussi à Madonna (« the Queen of Pop »). Elle tenait son surnom, « Perdita », du rôle qu'elle avait interprété sur scène dans Le Conte d'hiver de William Shakespeare. À travers elle, c'est son temps et sa nation que j'ai cherché à restituer ici de manière allégorique.
Mary Robinson est en somme le motif d'un tableau historique. Une sorte de Dame à la licorne.