Sur la petite île japonaise de Naoshima, Antoine Choplin tisse un récit peuplé de mers intérieures, d’architectures intimes qui se dévoilent et se resserrent le long d'un fil imaginaire et des îlots qui se font lien.
Une géographie fragile et sensorielle, infiniment belle et délicate d’où se dégage une mélodie mêlée de pudeur et de mélancolie ouvrière, où l’on parle d’art et de poésie, de paysages habités de souvenirs et de possibles, des sillons sinueux d'une vie comme de troués qui se comblent à nouveau.
La barque de Masao est une histoire ouatée de douceur et de silences, sur les rivages flottants d'une existence, d’un amour et d’une absence. Une histoire en pointillés comme un tableau impressionniste qui s’épaissit devant nous.
Quelques pages précieuses, d’une rare sensibilité, polies discrètement à l’épure d’une langue qui elle, se déplie, cotonneuse, envoûtante, infiniment sensuelle, où ce qui se laisse entendre entre les mots est parfois bien plus fort.
Un texte à la lisière de mondes, une caresse traversée de lueurs, qui tranche avec la brutalité des temps...
Sur la petite île japonaise de Naoshima, Antoine Choplin tisse un récit peuplé de mers intérieures, d’architectures intimes qui se dévoilent et se resserrent le long d'un fil imaginaire et des îlots qui se font lien.
Une géographie fragile et sensorielle, infiniment belle et délicate d’où se dégage une mélodie mêlée de pudeur et de mélancolie ouvrière, où l’on parle d’art et de poésie, de paysages habités de souvenirs et de possibles, des sillons sinueux d'une vie comme de troués qui se comblent à nouveau.
La barque de Masao est une histoire ouatée de douceur et de silences, sur les rivages flottants d'une existence, d’un amour et d’une absence. Une histoire en pointillés comme un tableau impressionniste qui s’épaissit devant nous.
Quelques pages précieuses, d’une rare sensibilité, polies discrètement à l’épure d’une langue qui elle, se déplie, cotonneuse, envoûtante, infiniment sensuelle, où ce qui se laisse entendre entre les mots est parfois bien plus fort.
Un texte à la lisière de mondes, une caresse traversée de lueurs, qui tranche avec la brutalité des temps...