L'odyssée du cinéma brésilien, de l'Atlantide à la Cité de Dieu. Premier Volume
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- Nombre de pages268
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-44536-9
- EAN9782296445369
- Date de parution01/01/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'Odyssée du cinéma brésilien trace, en douze chants dont six composent ce premier volume Les Rêves d'Icare. le parcours initiatique d'un cinéma labyrinthique et cyclothymique, à la lumière de l'histoire socio-raciale et économico-culturelle d'un pays démesuré. Souvent en crise existentielle, de rêves utopiques en désillusions, fasciné par des modèles étrangers (musical hollywoodien, nouvelle vague), il est constamment en quête d'identité nationale.
Après une ère de balbutiements, naît à Rio en 1941 la première grande compagnie locale, Atlantida, créatrice d'un genre, la chanchada. Dans les années 50 à Sâo Paulo, le cosmopolite Alberto Cavalcanti dirige le plus grand studio sud-américain, l'éphémère Vera Cruz aux films primés internationalement (le nordestern O Cangaceiro). Face à ce cinéma d'imitation, surgit le cinema novo dont la caméra coup de poing heurte les réalités du pays : Pereira dos Santos, Ruy Guerra et Glauber Rocha font sensation en Europe avec la trilogie du sertao puis une génération s'exprime à travers des héros-métaphores du Brésil, esclave Ganga Zumba (Diegues) ou allégorique Macunaïma (De Andrade).
En 1964, Histoire (dictature militaire) et histoire (du cinéma) se mêlent : cerner ces relations, en débroussailler les entrelacs, voici le propos de ce livre ambitieux, nécessaire et enthousiaste.
Après une ère de balbutiements, naît à Rio en 1941 la première grande compagnie locale, Atlantida, créatrice d'un genre, la chanchada. Dans les années 50 à Sâo Paulo, le cosmopolite Alberto Cavalcanti dirige le plus grand studio sud-américain, l'éphémère Vera Cruz aux films primés internationalement (le nordestern O Cangaceiro). Face à ce cinéma d'imitation, surgit le cinema novo dont la caméra coup de poing heurte les réalités du pays : Pereira dos Santos, Ruy Guerra et Glauber Rocha font sensation en Europe avec la trilogie du sertao puis une génération s'exprime à travers des héros-métaphores du Brésil, esclave Ganga Zumba (Diegues) ou allégorique Macunaïma (De Andrade).
En 1964, Histoire (dictature militaire) et histoire (du cinéma) se mêlent : cerner ces relations, en débroussailler les entrelacs, voici le propos de ce livre ambitieux, nécessaire et enthousiaste.
L'Odyssée du cinéma brésilien trace, en douze chants dont six composent ce premier volume Les Rêves d'Icare. le parcours initiatique d'un cinéma labyrinthique et cyclothymique, à la lumière de l'histoire socio-raciale et économico-culturelle d'un pays démesuré. Souvent en crise existentielle, de rêves utopiques en désillusions, fasciné par des modèles étrangers (musical hollywoodien, nouvelle vague), il est constamment en quête d'identité nationale.
Après une ère de balbutiements, naît à Rio en 1941 la première grande compagnie locale, Atlantida, créatrice d'un genre, la chanchada. Dans les années 50 à Sâo Paulo, le cosmopolite Alberto Cavalcanti dirige le plus grand studio sud-américain, l'éphémère Vera Cruz aux films primés internationalement (le nordestern O Cangaceiro). Face à ce cinéma d'imitation, surgit le cinema novo dont la caméra coup de poing heurte les réalités du pays : Pereira dos Santos, Ruy Guerra et Glauber Rocha font sensation en Europe avec la trilogie du sertao puis une génération s'exprime à travers des héros-métaphores du Brésil, esclave Ganga Zumba (Diegues) ou allégorique Macunaïma (De Andrade).
En 1964, Histoire (dictature militaire) et histoire (du cinéma) se mêlent : cerner ces relations, en débroussailler les entrelacs, voici le propos de ce livre ambitieux, nécessaire et enthousiaste.
Après une ère de balbutiements, naît à Rio en 1941 la première grande compagnie locale, Atlantida, créatrice d'un genre, la chanchada. Dans les années 50 à Sâo Paulo, le cosmopolite Alberto Cavalcanti dirige le plus grand studio sud-américain, l'éphémère Vera Cruz aux films primés internationalement (le nordestern O Cangaceiro). Face à ce cinéma d'imitation, surgit le cinema novo dont la caméra coup de poing heurte les réalités du pays : Pereira dos Santos, Ruy Guerra et Glauber Rocha font sensation en Europe avec la trilogie du sertao puis une génération s'exprime à travers des héros-métaphores du Brésil, esclave Ganga Zumba (Diegues) ou allégorique Macunaïma (De Andrade).
En 1964, Histoire (dictature militaire) et histoire (du cinéma) se mêlent : cerner ces relations, en débroussailler les entrelacs, voici le propos de ce livre ambitieux, nécessaire et enthousiaste.