L'intégration-alibi : une guillotine sociale. Réplique pour une Sociéthique
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages200
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-21998-4
- EAN9782296219984
- Date de parution01/06/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Une réflexion en prise critique sur le système pluriel qui a failli, ce partout au monde. Un Bug social l'on enregistre. A son origine notamment l'homme dit moderne, souvent d'instinct absolu -en son pouvoir purement humain avec seule règle ses caprices-, l'iniquité dans l'option politique, économique, financière et socioreligieuse à l'impact mondial indéniable, migration etc. Dans notre pays, l'intégration dans la perception collective, c'est selon parce que portée par des ressorts psychologiques d'identification presque absolue à soi -un verrou mental-, ce qui travestit la finalité de la conception officielle, le vivre ensemble.
Ainsi l'immigration dans son interprétation tendancieuse depuis bientôt un siècle, conduit au parti pris, à l'arbitraire et finit par faire de l'intégration un alibi par là même une guillotine sociale à effets boomerang des plus inattendus... alors même que c'est à la société du pays d'accueil d'intégrer l'idée d'une présence autre, admise institutionnellement. Depuis le temps que l'on est à la constatation / contestation de l'immigration, il est d'une objectivité certaine de passer à la gestion de sa dynamique contributive.
La France sinon l'Occident, dans leur rapport à l'Afrique constitue le noeud critique du phénomène de migration ; et l'une et l'autre sont interpellées pour traduire davantage au plan opérationnel l'équité sociétale. Ce qui mène à convoquer une " Réplique pour une Sociéthique ".
Ainsi l'immigration dans son interprétation tendancieuse depuis bientôt un siècle, conduit au parti pris, à l'arbitraire et finit par faire de l'intégration un alibi par là même une guillotine sociale à effets boomerang des plus inattendus... alors même que c'est à la société du pays d'accueil d'intégrer l'idée d'une présence autre, admise institutionnellement. Depuis le temps que l'on est à la constatation / contestation de l'immigration, il est d'une objectivité certaine de passer à la gestion de sa dynamique contributive.
La France sinon l'Occident, dans leur rapport à l'Afrique constitue le noeud critique du phénomène de migration ; et l'une et l'autre sont interpellées pour traduire davantage au plan opérationnel l'équité sociétale. Ce qui mène à convoquer une " Réplique pour une Sociéthique ".
Une réflexion en prise critique sur le système pluriel qui a failli, ce partout au monde. Un Bug social l'on enregistre. A son origine notamment l'homme dit moderne, souvent d'instinct absolu -en son pouvoir purement humain avec seule règle ses caprices-, l'iniquité dans l'option politique, économique, financière et socioreligieuse à l'impact mondial indéniable, migration etc. Dans notre pays, l'intégration dans la perception collective, c'est selon parce que portée par des ressorts psychologiques d'identification presque absolue à soi -un verrou mental-, ce qui travestit la finalité de la conception officielle, le vivre ensemble.
Ainsi l'immigration dans son interprétation tendancieuse depuis bientôt un siècle, conduit au parti pris, à l'arbitraire et finit par faire de l'intégration un alibi par là même une guillotine sociale à effets boomerang des plus inattendus... alors même que c'est à la société du pays d'accueil d'intégrer l'idée d'une présence autre, admise institutionnellement. Depuis le temps que l'on est à la constatation / contestation de l'immigration, il est d'une objectivité certaine de passer à la gestion de sa dynamique contributive.
La France sinon l'Occident, dans leur rapport à l'Afrique constitue le noeud critique du phénomène de migration ; et l'une et l'autre sont interpellées pour traduire davantage au plan opérationnel l'équité sociétale. Ce qui mène à convoquer une " Réplique pour une Sociéthique ".
Ainsi l'immigration dans son interprétation tendancieuse depuis bientôt un siècle, conduit au parti pris, à l'arbitraire et finit par faire de l'intégration un alibi par là même une guillotine sociale à effets boomerang des plus inattendus... alors même que c'est à la société du pays d'accueil d'intégrer l'idée d'une présence autre, admise institutionnellement. Depuis le temps que l'on est à la constatation / contestation de l'immigration, il est d'une objectivité certaine de passer à la gestion de sa dynamique contributive.
La France sinon l'Occident, dans leur rapport à l'Afrique constitue le noeud critique du phénomène de migration ; et l'une et l'autre sont interpellées pour traduire davantage au plan opérationnel l'équité sociétale. Ce qui mène à convoquer une " Réplique pour une Sociéthique ".