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  • Nombre de pages399
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7436-5166-4
  • EAN9782743651664
  • Date de parution03/03/2021
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurÉditions Rivages
  • TraducteurGérard de Chergé

Résumé

Sur l'ïle de Vancouver, se dresse un hôtel aux murs de verre, seulement accessible par la mer. Il est fréquenté par une clientèle exclusive qui veut rompre avec "la civilisation connectée". Là, pas de wifi, pas de portable, on est au bout du monde.  Paul, aspirant compositeur, et sa soeur Vincent, vidéaste amateure, travaillent tous à l'hôtel Caiette. Un soir, alors qu'on attend l'arrivée du milliardaire new-yorkais Jonathan Alkaitis, le gérant découvre avec horreur un tag gravé sur l'une des parois transparentes: "Et si vous avaliez du verre brisé?" Qui est l'auteur de ce graffiti menaçant? Est-il destiné à quelqu'un?  Dans ce havre de luxe, des gens se croisent, des destins se font et se défont.
A l'hôtel Caiette, mais aussi à Vancouver et à New York, des vies vont prendre un tour imprévu et souvent dramatique. Comme un papillon au Brésil peut causer une tempête au Texas, un verre au bar de l'hôtel Caiette peut ruiner une existence... 
Sur l'ïle de Vancouver, se dresse un hôtel aux murs de verre, seulement accessible par la mer. Il est fréquenté par une clientèle exclusive qui veut rompre avec "la civilisation connectée". Là, pas de wifi, pas de portable, on est au bout du monde.  Paul, aspirant compositeur, et sa soeur Vincent, vidéaste amateure, travaillent tous à l'hôtel Caiette. Un soir, alors qu'on attend l'arrivée du milliardaire new-yorkais Jonathan Alkaitis, le gérant découvre avec horreur un tag gravé sur l'une des parois transparentes: "Et si vous avaliez du verre brisé?" Qui est l'auteur de ce graffiti menaçant? Est-il destiné à quelqu'un?  Dans ce havre de luxe, des gens se croisent, des destins se font et se défont.
A l'hôtel Caiette, mais aussi à Vancouver et à New York, des vies vont prendre un tour imprévu et souvent dramatique. Comme un papillon au Brésil peut causer une tempête au Texas, un verre au bar de l'hôtel Caiette peut ruiner une existence... 

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Virginie B. - 10Decitre Annemasse
3/5
Polar psychologique
L'hôtel de verre, c'est là où travaillent Paul et sa sœur, Vincente. Après de nombreuses galères, ils s'y sont retrouvés. Vincente est barmaid. Un soir un mystérieux graffiti va venir perturber sa vie sans intérêt. Ce même soir, elle va rencontrer un richissime financier, escroc de grande envergure. Elle va le suivre au "pays de l'argent", pays des criminels en col blanc. L'auteur nous fait découvrir par petites touches un scénario machiavélique. Le récit est addictif et nous poursuit encore longtemps, tout comme les fantômes qui hantent les personnages.
L'hôtel de verre, c'est là où travaillent Paul et sa sœur, Vincente. Après de nombreuses galères, ils s'y sont retrouvés. Vincente est barmaid. Un soir un mystérieux graffiti va venir perturber sa vie sans intérêt. Ce même soir, elle va rencontrer un richissime financier, escroc de grande envergure. Elle va le suivre au "pays de l'argent", pays des criminels en col blanc. L'auteur nous fait découvrir par petites touches un scénario machiavélique. Le récit est addictif et nous poursuit encore longtemps, tout comme les fantômes qui hantent les personnages.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Jeu de dupes
Une femme, Vincent, tombe de nuit d’un porte-conteneurs malmené par la tempête. Treize ans plus tôt, elle travaillait avec son frère Paul à l’hôtel Caiette, un luxueux établissement isolé sur l’île de Vancouver. Son destin basculait le soir où, juste quand le milliardaire new yorkais Jonathan Alkaitis pénétrait dans l’hôtel, un mystérieux et inquiétant tag apparaissait sur la façade vitrée : « Et si vous avaliez du verre brisé »… Le récit commence là où il finira, dans un plongeon à pic et un tumulte d’images ultimes. Happé par la frénésie de l’incipit, le lecteur apprendra bientôt ce qui s’est enclenché un quart de siècle plus tôt, préparant Vincent à se laisser emporter par une illusion qui la perdra, en même temps que presque tous les personnages. Ce mirage a un nom et un visage : Jonathan Alkaitis, alter ego romanesque de Bernard Madoff, organisateur d’une gigantesque escroquerie construite sur le principe de la pyramide de Ponzi. Comment une arnaque aussi massive, que d’aucuns avaient pourtant publiquement percée à jour, a-t-elle pu prendre autant d’ampleur et durer si longtemps ? Emily St John Mandel met en évidence les mécanismes humains qui ont conduit les protagonistes à se laisser enfermer, plus ou moins consciemment, dans une vulnérable mais séduisante bulle d’irréalité, à l’image de cet hôtel de verre, cocon douillet et exclusif à l’écart du monde, dont on en vient à oublier qu’il pourrait voler en éclats comme du cristal. Choisissant de ne voir que ce qu’il veut bien, selon l’opportuniste principe qu'"il est possible de savoir quelque chose et en même temps de ne pas le savoir", chacun s’aveugle en jouant du flou entre réel et virtuel, entre mensonge et apparences, pour apprendre à s’arranger avec ses craintes et ses scrupules, dans un complexe jeu de dupes où l’illusion finit par prendre corps. Cette exploration psychologique construit peu à peu une galerie de portraits nuancés, souvent ambivalents, d’une grande humanité. Il s’en dégage une mélancolie de plus en plus prégnante, au fur et à mesure que s’estompe l’effet hypnotique du mirage qui maintenaient les personnages dans leurs illusions et leurs faux-semblants. Bientôt ne subsistent plus que la réalité crue du malheur et de la déchéance pour les uns, l’insupportable hantise de la culpabilité pour les autres, dans une évocation où affleurent émotion et poésie. Savamment enchevêtrés, les éléments narratifs de cette histoire s’assemblent en un tableau désenchanté d’une société tellement obsédée par l’argent, qu’elle en arrive collectivement à se convaincre de la réalité de fantasmes insensés. Une lecture troublante sur la plasticité de nos représentations mentales, lorsque l’intérêt parvient à ce point à distordre notre perception du réel.
Une femme, Vincent, tombe de nuit d’un porte-conteneurs malmené par la tempête. Treize ans plus tôt, elle travaillait avec son frère Paul à l’hôtel Caiette, un luxueux établissement isolé sur l’île de Vancouver. Son destin basculait le soir où, juste quand le milliardaire new yorkais Jonathan Alkaitis pénétrait dans l’hôtel, un mystérieux et inquiétant tag apparaissait sur la façade vitrée : « Et si vous avaliez du verre brisé »… Le récit commence là où il finira, dans un plongeon à pic et un tumulte d’images ultimes. Happé par la frénésie de l’incipit, le lecteur apprendra bientôt ce qui s’est enclenché un quart de siècle plus tôt, préparant Vincent à se laisser emporter par une illusion qui la perdra, en même temps que presque tous les personnages. Ce mirage a un nom et un visage : Jonathan Alkaitis, alter ego romanesque de Bernard Madoff, organisateur d’une gigantesque escroquerie construite sur le principe de la pyramide de Ponzi. Comment une arnaque aussi massive, que d’aucuns avaient pourtant publiquement percée à jour, a-t-elle pu prendre autant d’ampleur et durer si longtemps ? Emily St John Mandel met en évidence les mécanismes humains qui ont conduit les protagonistes à se laisser enfermer, plus ou moins consciemment, dans une vulnérable mais séduisante bulle d’irréalité, à l’image de cet hôtel de verre, cocon douillet et exclusif à l’écart du monde, dont on en vient à oublier qu’il pourrait voler en éclats comme du cristal. Choisissant de ne voir que ce qu’il veut bien, selon l’opportuniste principe qu'"il est possible de savoir quelque chose et en même temps de ne pas le savoir", chacun s’aveugle en jouant du flou entre réel et virtuel, entre mensonge et apparences, pour apprendre à s’arranger avec ses craintes et ses scrupules, dans un complexe jeu de dupes où l’illusion finit par prendre corps. Cette exploration psychologique construit peu à peu une galerie de portraits nuancés, souvent ambivalents, d’une grande humanité. Il s’en dégage une mélancolie de plus en plus prégnante, au fur et à mesure que s’estompe l’effet hypnotique du mirage qui maintenaient les personnages dans leurs illusions et leurs faux-semblants. Bientôt ne subsistent plus que la réalité crue du malheur et de la déchéance pour les uns, l’insupportable hantise de la culpabilité pour les autres, dans une évocation où affleurent émotion et poésie. Savamment enchevêtrés, les éléments narratifs de cette histoire s’assemblent en un tableau désenchanté d’une société tellement obsédée par l’argent, qu’elle en arrive collectivement à se convaincre de la réalité de fantasmes insensés. Une lecture troublante sur la plasticité de nos représentations mentales, lorsque l’intérêt parvient à ce point à distordre notre perception du réel.
Puzzle intelligent
Ce roman noir aborde avec intelligence les conséquences de la crise des subprimes, s'intéresse aux dommages collatéraux, à ces hommes et à ces femmes pris dans l'engrenage... En mêlant les perspectives et les époques, Emily St. John Mandel parvient à ménager un certain suspense et à ne révéler que tardivement les liens qui unissent les bribes de son récit (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/07/25/lhotel-de-verre-emily-st-john-mandel/)
Ce roman noir aborde avec intelligence les conséquences de la crise des subprimes, s'intéresse aux dommages collatéraux, à ces hommes et à ces femmes pris dans l'engrenage... En mêlant les perspectives et les époques, Emily St. John Mandel parvient à ménager un certain suspense et à ne révéler que tardivement les liens qui unissent les bribes de son récit (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/07/25/lhotel-de-verre-emily-st-john-mandel/)
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