L'honneur perdu de François 1er. Pavie, 1525
2e édition revue et augmentée
Par : Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages558
- FormatPDF
- ISBN978-2-13-086889-7
- EAN9782130868897
- Date de parution29/01/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurPUF
Résumé
« Tout est perdu, for l'honneur et la vie » : voilà ce qu'écrivait François Ier après sa capture inattendue à Pavie en février 1525. Patient, le roi s'attendait à ce que Pavie lui revienne pour devenir duc de Milan et aller se faire couronner empereur à Rome. Mais la fortune en a décidé autrement, et les Français doivent mobiliser toutes les ressources de l'idéologie chevaleresque pour magnifier la grandeur du vaincu.
C'est autour de Pavie qu'est valorisée l'image d'une roi chevalier plus soucieux d'honneur que de victoire. Alors, qu'est ce qui a conduit François Ier, retenu prisonnier de Charles Quint en Espagne du 24 février 1525 au 17 mars 1526, à abandonner la Bourgogne et ses fils (livrés en otages) pour recouvrer la liberté sans finalement tenir parole et perdre son honneur : la détérioration de la situation politique en France, l'isolement impérial du Saint Empire ou la mobilisation italienne ? Pavie fut cette bataille où se joua pour deux siècles, dans une Europe secouée par de violentes révoltes (guerre des paysans en Allemagne, esquisse d'un mouvement d'unité italienne, révolte fiscale en Angleterre), l'hégémonie de deux grandes puissances.
C'est en saisissant au jour le jour les espérances, les incertitudes, les inquiétudes d'acteurs qui ne savent pas de quoi demain sera fait, que l'ouvrage prend l'allure d'un magistral essai d'imaginaire politique, proposé ici dans sa deuxième édition.
C'est autour de Pavie qu'est valorisée l'image d'une roi chevalier plus soucieux d'honneur que de victoire. Alors, qu'est ce qui a conduit François Ier, retenu prisonnier de Charles Quint en Espagne du 24 février 1525 au 17 mars 1526, à abandonner la Bourgogne et ses fils (livrés en otages) pour recouvrer la liberté sans finalement tenir parole et perdre son honneur : la détérioration de la situation politique en France, l'isolement impérial du Saint Empire ou la mobilisation italienne ? Pavie fut cette bataille où se joua pour deux siècles, dans une Europe secouée par de violentes révoltes (guerre des paysans en Allemagne, esquisse d'un mouvement d'unité italienne, révolte fiscale en Angleterre), l'hégémonie de deux grandes puissances.
C'est en saisissant au jour le jour les espérances, les incertitudes, les inquiétudes d'acteurs qui ne savent pas de quoi demain sera fait, que l'ouvrage prend l'allure d'un magistral essai d'imaginaire politique, proposé ici dans sa deuxième édition.
« Tout est perdu, for l'honneur et la vie » : voilà ce qu'écrivait François Ier après sa capture inattendue à Pavie en février 1525. Patient, le roi s'attendait à ce que Pavie lui revienne pour devenir duc de Milan et aller se faire couronner empereur à Rome. Mais la fortune en a décidé autrement, et les Français doivent mobiliser toutes les ressources de l'idéologie chevaleresque pour magnifier la grandeur du vaincu.
C'est autour de Pavie qu'est valorisée l'image d'une roi chevalier plus soucieux d'honneur que de victoire. Alors, qu'est ce qui a conduit François Ier, retenu prisonnier de Charles Quint en Espagne du 24 février 1525 au 17 mars 1526, à abandonner la Bourgogne et ses fils (livrés en otages) pour recouvrer la liberté sans finalement tenir parole et perdre son honneur : la détérioration de la situation politique en France, l'isolement impérial du Saint Empire ou la mobilisation italienne ? Pavie fut cette bataille où se joua pour deux siècles, dans une Europe secouée par de violentes révoltes (guerre des paysans en Allemagne, esquisse d'un mouvement d'unité italienne, révolte fiscale en Angleterre), l'hégémonie de deux grandes puissances.
C'est en saisissant au jour le jour les espérances, les incertitudes, les inquiétudes d'acteurs qui ne savent pas de quoi demain sera fait, que l'ouvrage prend l'allure d'un magistral essai d'imaginaire politique, proposé ici dans sa deuxième édition.
C'est autour de Pavie qu'est valorisée l'image d'une roi chevalier plus soucieux d'honneur que de victoire. Alors, qu'est ce qui a conduit François Ier, retenu prisonnier de Charles Quint en Espagne du 24 février 1525 au 17 mars 1526, à abandonner la Bourgogne et ses fils (livrés en otages) pour recouvrer la liberté sans finalement tenir parole et perdre son honneur : la détérioration de la situation politique en France, l'isolement impérial du Saint Empire ou la mobilisation italienne ? Pavie fut cette bataille où se joua pour deux siècles, dans une Europe secouée par de violentes révoltes (guerre des paysans en Allemagne, esquisse d'un mouvement d'unité italienne, révolte fiscale en Angleterre), l'hégémonie de deux grandes puissances.
C'est en saisissant au jour le jour les espérances, les incertitudes, les inquiétudes d'acteurs qui ne savent pas de quoi demain sera fait, que l'ouvrage prend l'allure d'un magistral essai d'imaginaire politique, proposé ici dans sa deuxième édition.