L'homme flexible et ses appartenances

Par : Frédéric De Coninck

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages176
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-23975-7
  • EAN9782296239753
  • Date de parution01/07/2001
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La flexibilité a envahi pratiquement tous les domaines de l'existence aujourd'hui. C'est évident et bien connu dans le monde du travail. Mais, d'une manière générale, les appartenances sont partout plus souples, plus réversibles, plus nombreuses. Les opinions changent plus vite. Les phases de transition dans la vie s'allongent. L'espace des possibles s'élargit et le temps obéit à des rythmes moins préformés : cela c'est la poursuite d'un processus pluriséculaire.
La modernité s'est nourrie, en effet, d'un élargissement des horizons et d'une remise en question de la tradition. La flexibilité est donc le résultat d'une émancipation ; on est moins lié à un cercle, à un lieu, à un rythme. D'un autre côté elle produit de la fragilité. A côté de ceux qui surfent sur la vague du moment, les laissés pour compte de la flexibilité s'enfoncent dans un isolement d'autant plus difficile à surmonter que les liens sociaux sont devenus friables.
Comment alors reconstruire des appartenances sans tomber dans la nostalgie communautariste ? Comment vivre des convictions et donner du sens à ce que l'on fait dans un temps aussi déstructuré ? Frédéric de Coninck montre comment des groupes même minoritaires peuvent mettre en pratique des convictions dans différents lieux sociaux (entreprises, associations, institutions) et entrer dans un dialogue constructif avec l'espace public global dont l'existence reste un acquis indépassable des sociétés démocratiques.
La flexibilité a envahi pratiquement tous les domaines de l'existence aujourd'hui. C'est évident et bien connu dans le monde du travail. Mais, d'une manière générale, les appartenances sont partout plus souples, plus réversibles, plus nombreuses. Les opinions changent plus vite. Les phases de transition dans la vie s'allongent. L'espace des possibles s'élargit et le temps obéit à des rythmes moins préformés : cela c'est la poursuite d'un processus pluriséculaire.
La modernité s'est nourrie, en effet, d'un élargissement des horizons et d'une remise en question de la tradition. La flexibilité est donc le résultat d'une émancipation ; on est moins lié à un cercle, à un lieu, à un rythme. D'un autre côté elle produit de la fragilité. A côté de ceux qui surfent sur la vague du moment, les laissés pour compte de la flexibilité s'enfoncent dans un isolement d'autant plus difficile à surmonter que les liens sociaux sont devenus friables.
Comment alors reconstruire des appartenances sans tomber dans la nostalgie communautariste ? Comment vivre des convictions et donner du sens à ce que l'on fait dans un temps aussi déstructuré ? Frédéric de Coninck montre comment des groupes même minoritaires peuvent mettre en pratique des convictions dans différents lieux sociaux (entreprises, associations, institutions) et entrer dans un dialogue constructif avec l'espace public global dont l'existence reste un acquis indépassable des sociétés démocratiques.