La ville ne se définit pas d'abord par sa structure ou son architecture : elle se définit par la densité et la relation de ceux qu'elle rassemble.
communauté sans cesse en mouvement, elle est le lieu où s'applique évidemment le pouvoir (il ne se maintient que s'il contrôle la ville), et où se fomente son éventuel renversement. La ville, parce qu'elle est communauté agissante, est le lieu de ce qui se produit, de ce qui se vend.
Paradoxe pourtant que le collectif ne peut s'y exprimer que par et dans la relation indiiduelle.
De même, l'expérience des camps de concentration qui devient littérature, via Robert Antelme et David Rousset, qui s'en saisissent par les bords, là où le maître et l'esclave se regardent oeil pour oeil.
La ville, dans sa contemporanéité, ses cinétiques, ses structures, est un élément récurrent du travail de Bozier, notamment dans FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)
La ville ne se définit pas d'abord par sa structure ou son architecture : elle se définit par la densité et la relation de ceux qu'elle rassemble.
communauté sans cesse en mouvement, elle est le lieu où s'applique évidemment le pouvoir (il ne se maintient que s'il contrôle la ville), et où se fomente son éventuel renversement. La ville, parce qu'elle est communauté agissante, est le lieu de ce qui se produit, de ce qui se vend.
Paradoxe pourtant que le collectif ne peut s'y exprimer que par et dans la relation indiiduelle.
De même, l'expérience des camps de concentration qui devient littérature, via Robert Antelme et David Rousset, qui s'en saisissent par les bords, là où le maître et l'esclave se regardent oeil pour oeil.
La ville, dans sa contemporanéité, ses cinétiques, ses structures, est un élément récurrent du travail de Bozier, notamment dans FB (Lien -> http://www.tierslivre.net)